Antoine et moi étions dans la même classe. Nous nous étions connu l'année avant la 6ème et nous nous entendions très bien. Après l'école, nous avions plaisir à jouer ensemble pour faire des cabanes, du vélo, nous habitions le même immeuble. Le dimanche, nous jouions dans la même équipe de foot. Il avait deux frères : l'un plus grand de 3 ans, l'autre avit presque 2 ans de moins.
Je me doutais bien qu'il devait lui aussi recevoir de temps en temps des fessées car je me souviens que, au mur de sa cuisine, pendait un martinet. Je ne lui avis jamais posé de question à ce sujet.
Un soir d'avril, nous étions rentré de l'école et nous jouions dans la chambre d'antoine lorsque son père est entré visiblement en colère. IL tient à la main le carnet de note d'antoine. Je regarde mon ami pour deviner sur son visage une vraie anxiété. Après des remarques du genre : "tu as vu ces notes", "quand vas tu te mettre à travailler?","tu ne fais pas tes devoirs", "tu ne feras rien dans la vie", son père lance "je t'avais prévenu, tu vas recevoir la fessée que je t'ai promis depuis longtemps". La dessus très géné par la tournure des événements, je me lève pour quitter la pièce et rentrer chez moi. Le père d'antoine, franck, tire la chaise au milieu de la chambre et me lance "non christophe, reste ici, assiet toi sur le lit et regarde la punition qu'à mériter ton copain". J'hésite, je peux partir mais sa voix est très autoritaire et puis j'ai envie de voir si une fessée chez eux se passe comme chez moi. J'obeis donc et m'assies sur le lit juste en face de la chaise.
Franck frappe ses cuisses en disant "allez amène toi qu'on commence". Antoine s'approche lentement, conscient de ce qui va se passer et particuluèrement géné que j'assiste à ce spectacle. Franck tire antoine par le bras et l'oblige à s'allonger sur ses genoux. Il ajuste la position. Antoine tourne la tête de mon coté, on se regarde dans les yeux. Je suis aussi géné que lui. La première claque tombe sur le jean. Ca fait un bruit sec. Antoine sursaute. Puis un deuxième coup, puis un troisième. La pièce est silencieuse à l'exception des bruits secs qui sont suivis d'un "hun !". De temps en temps, franck lance une remarque du genre "tu vas voir si tu ne vas pas mieux travailler", "je vais t'aider à faire tes devoirs, moi !"
Après quelques minutes, d'une fessée régulière, franck s'arréte et tire antoine pour le relever. Dans ma tête, je pense que c'est terminé et que mon pote ne s'en tire pas trop mal vu l'énervement de son père et l'état minable de son carnet de note. Franck se relève et indique "enlève ton tee-shirt et baisse ton jean". Je m'étais trompé, la correction va continuer. Franck sort de la pièce. Je demandfe à voix basse à antoine si ca va. Il me répond par un signe de la tête par l'affirmative tout en retirant son tee-shirt. Il est torse nu lorsque franck revient dans la pièce. "Tu te dépêches un peu ou c'est moi qui vais le baisser ton pantalon !". Il se rassiet, antoine dégraffe sa ceinture, descent la fermeture éclair de son pantalon et le baisse jusqu'aux chevilles, laissant apparaître un slip blanc. "allez ramène toi, j'en ai pas encore fini avec toi". Antoine s'approche, géné dans son déplacement par son panatalon et s'allonge à nouveau sur les genoux paternels.
Nous échangeons le même regard. Ce n'est plus un regard géné mais un regard d'anxiété. Il a accepté d'être corrigé en face de son meilleur ami mais il a maintenant peur de la dureté des coups. La main de franck s'abat lourdement sur le slip d'antoine. A chaque coup, les jambes d'antoine bougent. Il se crispe de plus en plus. Franck prend son temps. Les claques tombent régulièrement. Désormais, il lâche un gémissement qui montre que la fessée commence à faire de l'effet. Je ne le quitte pas des yeux, satisfait d'être à ma place de spectateur. Cela me semble long et j'imagine que les minutes semblent encore plus longues à antoine. Plus de 50 claques sont tombées, je ne les ai pas compté. Puis franck ordonne à antoine de se relever.
Machinalement, celui-ci pose ses mains sur ses fesses comme pour atténuer la douleur. Franck à son rejeton : "tu connais la suite". Antoine supplie presque "oh non, s'il te plait, pas cul nu, pas devant lui". Franck, ni une ni deux, baisse le slip de son fils. "Un carnet pareil, ca mérite une fessée déculottée et tu le sais". Dans le même mouvement, il le rallonge sur ses genoux et prend quelques secondes pour admirer son travai passé. Les fesses de mon pote sont bien rouges, cela contraste avec le reste de son corps nu plutot blanc.
Les claques repartent : une fesse puis l'autre. Antoine cherche à se protéger avec sa main et à éviter les coups. Son père ressere sa prise et tape plus fort. Antoine ne peut retenir ses larmes et pleure en laissant échapper des "arrètes, j'ai compris, promis". Mais son père ne faibli pas, au contraire les claques tombent plus vite, plus fortes : une sorte de bouquet final. Mes sentiments sont partagés : d'un coté c'est vrai, son carnet est très mauvais mais, de l'autre, la punition est très dure. J'ai tout de même pitié pour mon pote et je ne peux rien faire pour l'aider.
La punition s'achève enfin pour antoine. Il se lève, essayed'arréter de pleurer. Son père se lève aussi : "bon christophe, dis en revoir à ton ami et rentre chez toi. J'espère que tu as retenu la leçon. Antoine, tu te couches maintenant je viendrais te dire bonsoir". Il sort de la pièce. Je demande à antoine si ça va, il me répond que oui et me dit à demain. Je le laisse, il doit préférer rester seul.
Le lendemain, après la récréation, à l'écart des autres, je lui demande si il n'a pas trop mal. Il m'explique que non, qu'il a l'habitude et que son grand frère lui a passé des glacons sur les fesses pour calmer la douleur. Antoine me demande : "et toi, ton père, il te donne des fessées aussi ?" "Oui moi aussi, je reçois le même genre de fessée mais c'est rarement cul nu". D'un coup, notre amitié s'est encore renforcée de ce point commun que nos pères nous éduquaient à la dure tous les deux.
Un peu plus tard, en mai je crois, après un match de foot du dimanche après-midi, mon pere a invité celui d'antoine à venir prendre un pot dans l'appartement. Mon pére fait visiter les lieux à franck alors qu'antoine et moi filont dans le salon pour regarder la télévision.
J'entends mon pere hurler mon prénom du couloir. Evidemment je rapplique suivi par antoine qui comme moi se _d_a_m_n_de ce qui se passe. Mon pere me regarde fixement "combien de fois je t'ai dis cette semaine de ranger cette chambre ? combien de fois m'as tu répondu que tu allais le faire ? qu'est ce que je t'avais promis si je te le répétai encore une fois ?". Je ne réponds pas tellement la réponse me semblait évidente. Et mon pére d'ajouter "ce coup ci, tu ne l'auras pas volé, tu es bon pour le martinet". Je baisse la tête pour éviter le regard de nos deux invités et souhaitant qu'on change vite de sujet de conversation.
Mais franck saisie la perche tendue : "ah bon, vous aussi vous êtes un adepte du martinet ?" "oui, je l'ai acheté récemment. Au départ plus pour faire peur que pour m'en servir mais je crosi bien qu'on va vite le rentabiliser. Vous en avez un aussi ?". "vous savez avec trois garçons à éduquer, il ne faut pas avoir peur d'utiliser la manière forte". Et ils poursuivent la discussion en se dirigeant vers le salon ou ils s'offrent une bière.
Mon père semble vouloir approfondir le sujet : "et vous vous en servez souvent du martinet ?". Franck précise : "je ne l'utilise pas encore avec antoine et benjamin, avec eux, la bonne vieille fessée à la main est encore suffisante. Mais pour l'ainé, julien qui a 12 ans, j'ai souvent recours au martinet". "Souvent ? c'est à dire ?" . "je ne sais pas, peut-être 2 ou 3 fois par mois, ca dépend de la fréquence des bétises mais a bien y réfléchir, je le décroche bien une fois par semaine : ca devient vite un réflexe. Au début, comme vous, je le sortais seulement pour faire peur et pour menacer. Mais puisque vous ne l'utilisez pas, ca ne l'impressionne plus alors on fini par l'utiliser. De toute façon, il est à portée de main et vous êtes certain du résultat".
Mon père semble content d'avoir rencontré un expert de la fessée et d'approfondir ses connaissances. "En général, vous le corriger habillé ou cul nu, comme on dit ?" . "J'essaye d'être juste quand les fautes ne sont pas très graves, j'administre la fessée dans la tenue dans laquelle ils sont : si ils sont en jean, en survetement ou en pyjama, je donne la fessée sur les vétements. Si la faute est plus grave, mon fils doit être torse nu, il ne conserve que son slip ou son caleçon. Et puis quand vraiment je veux marquer le coup et qu'ils retiennent la leçon, je fesse cul nu. Je crois vraiment qu'il faut doser la sanction à la faute. Ils doivent savoir ce qu'ils risquent lorsqu'ils enfreignent une règle".
Mon père insiste, ce qui semble ne pas déplaire à franck qui s'ouvre une nouvelle bière. "en ce qui concerne le nombre de coups, combien en donnez vous avec le martinet ? et dans quelle position ?" . "Le nombre de coups, c'est comme la tenue du puni, cela dépend de la gravité de la faute. Je pense qu'"il ne faut pas donner moins de dix coups. A l'inverse, je peux vous dire qu'au dessus d'une centaine, c'est très douloureux. Une fois, j'ai filé une trempe à mon ainé. Il a bien du recevoir plus de 100 coups mais j'avais pris mon temps et pour les 50 premiers, il avait conservé son pantalon : ça avait amorti la douleur. Mais il doit encore s'en souvenir. Pour la position, ce n'est pas comme pour une fessée à la main, ce n'est pas très pratique qu'il soit allongé sur vos genoux. Non, le mieux, c'est courbé, les mains posées sur un bureau ou allongé sur un lit. Vous verez ce qui vous convient le mieux".
Mon père ajoute "je m'excuse de vous demander toutes ces précisions, mais vous voyez, c'est la première fois que je vais devoir m'en servir vraiment et je voudrais qu'il s'en souvienne. Alors comme vous avez l'air de bien maîtriser l'instrument, j'en profite". Franck est comblé : "oh, vous savez, c'est juste une question d'habitude, ca vient vite". Et ce que je voulais éviter à tout prix arriva : Franck lance :"si vous voulez le corriger maintenant et que je vous indique ma méthode pour administrer une bonne correction avec un martinet ..." puis en me rgardant "...à un jeune garçon désobéissant..." puis vers mon père " ...je n'y vois pas d'inconvénient" . "Je n'osais pas vous le demander. Mais ce n'est pas embétant que votre fils reste là ?" . "Vous savez cela ne lui fera pas de mal d'assister à la punition d'un copain et de comprendre ce qu'il lui arriverait aussi si il faisait la même bétise".
Antoine allait à son tour assister à la raclée que j'allais me prendre. Franck reprend la parole : "bon, vous savez que vous allez utiliser le martinet, il vous reste à décider le nombre de coups à infliger et la tenue du puni. Quelle est la faute" "chambre pas rangée, nombreuses remarques, promesses, rien de fait". "si vous voulez mon avis, je pense que cela ne mérite pas une correction cul nu". Me regardant : "il a encore son short de foot, c'est très bien, c'est moins resistant qu'un jean mais plus qu'un slip. Le short ça ira. Pour le nombre de coups, je pense qu'une série de cinq fois cinq coups est une bonne chose pour lui indiquer que vous ne plaisantez pas et lui montrer de façon forte la douleur provoquée par le martinet. Qu'en pensez vous ?" "Tout cela me semble assez juste". "Bon alors, pour commencer, vous devez l'envoyer chercher l'instrument. C'est assez humiliant et pendant le trajet, il réfléchi à la sanction qui va lui être administrer" . " Christophe, tu as entendu, va chercher le martinet ! Tu sais ou il est ?"
Evidemment je le savais, cela faisait 15 jous qu'il est accroché dans la cuisine. Franck avait raison, en marchant vers la cuisine, et encore plus en attrapant le manche du martinet, je commence à comprendre que je vais bientôt recevoir une bonne trempe. En entrant dans le salon ou ils sont assis tous les trois, je réalise maintenant qu'il est impossible de reculer et tout ça pour une chambre pas rangée.
Franck : "donne le amrtinet à ton père". Je m'exécute machinalement. Franck scrute la pièce. "Pour une première fois, vous devriez lui demander de se placer face à la table et de poser ses mains dessus". "Christophe, tu as compris ?" . Je me déplace vers le meuble en passant devant mon meilleur ami qui me regarde avec pitié. Je me penche en attendant le début de la correction. Qu'on commence pour qu'on en finisse enfin. Franck se place à ma droite, mon père à ma gauche. Franck prend son temps et précise : "rectifier la position pour que les fesses soient bien en vue" et il m'appuie sur le dos, m'obligeant à mieux me pencher. "Profiter en aussi pour redire la faute et la sanction comme cela il réfléchira à ses erreurs pendant la punition. "Christophe, tu n'as pas rangé ta chambre malgré mes nombreuses remarques, tu vas recevoir 25 coups de martinet".
Comme un bourreau, franck lance : "allez y maintenant !" et "vlan" : un. Les lanières de cuir claquent un peu partout. Ce n'est pas très fort, pas très douloureux. Pourvu que cela dure ainsi. Franck rectifie le geste : "tenez le manche d'une main et les lanières de l'autre. Vous enverrez ainsi les lanières exactement là ou vous vouler". Et "vlan" : deux. Effectivement ce coup-ci, le tir est plus concentréet forcément plus douloureux.
Franck est fier de son éléve : "c'est mieux. Maintenant doser la force pour donner des coups plus ou moins forts. Ca lui évite de s'habituer à la douleur". Et "vlan" : trois, quatre, cinq. 3Changer de coté de temps en temps car sinon les lanières frappent aux même endroit, vous le verrez bien quand vous le punirez cul nu". La fesse gauche reçoit ainsi six, sept, huit, neuf, dix. Là, j'ai vraiment mal. Je jette un oeil vers antoine qui ne me quitte pas des yeux et qui doit me trouver stoique.
Franck glisse un mot aux oreilles de mon père. Je compris vite de quoi il s'agissait en recevant onze et douze juste en dessous du short, en haut des cuisses. A quinze, je lache un long "aih !" A ce moment là, j'ai vraiment mal et à l'idée qu'il reste dix coups à venir, je suis abattu. A seize, j'approche une main de mes fesses comme pour constater les dégats et aussi intérrompre la séance. Franck d'un ton sec "remet tes mains sur la table ou tu es bon pour cinq coups de plus".
A tous les autres coups, je crie un "aih" car la douleur est persistante. Je ne pleure pas mais j'ai les larmes aux yeux. J'ai souvent envie de me redresser mais je sais qu'ils ne plaisantent pas et que je risque de recevoir plus de coups. Alors, j'encaisse. Arrivé à 25, franck indique à mon père qu'il doit me demander de me redreser. Je me retourne et vois les deux hommes visiblement satisfaits de la séance. Mon père me tend le manche du martinet, me demande de le remettre à sa place et d'aller dans ma chambre. Je n'ai revu antoine que le lendemain après une nuit pendant laquelle j'ai caresser en permance mes fesses. Nous n'en avons peu parlé. Antoine m'a juste dit qu'il savait que dans peu de temps son père allait aussi changer de mèthode à son égard et passer de la fessée classique à la main à la fessée au martinet.