Puni à Deux


by Chris <Fessee2@yahoo.com>

Franck me regarde et dit "Maintenant que je vais devoir te corriger comme les autres, tu auras ton martinet comme Antoine et Julien. Vas y, choisis en un ! Et choisis bien car j'ai bien l'intention de m'en servir !". Je suis hésitant et assez mal à l'aise face aux deux autres gars. Je regarde les martinets sans bouger : "je sais pas". Franck en saisi un qui a une douzaine de lanières marrons d'environ 30 centimètres. Il me frappe d'un coup sec sur le jean avec l'instrument et indique "je crois que celui la fera l'affaire". Et il le place dans le caddie. En allant jusqu'à la caisse, j'ai l'impression de ne voir que le martinet au milieu des courses et je n'ose pas regarder les gens qui nous entourent. Le plus humiliant, c'était de faire la queue à la caisse, de le voir avancer sur le tapis roulant puis voir la caissière le prendre pour taper le prix. Enfin, il fini dans un sac : mon supplice s'arréte.

On range les courses dans la cuisine, on vide les sacs et l'instruments est posé sur la table. Franck va chercher un marteau et un clou. Il ajoute devant nous un troisième clou au mur près de la porte. Une fois terminé, Franck reprend tout fier "Allez va accrocher ton martinet à coté de celui de Julien et d'Antoine". Je suis silencieux, je prend l'instrument et glisse le petit cordon du manche au clou, les lanières pendent dans le vide. Franck me regarde et dit "Désormais, tu fais partie de la famille, il me tarde de l'essayer. Bon allez, filer". J'avais effectivement l'impression d'être maintenant logé à la même enseigne que mon pote et son frère. Je savais également qu'à la première occasion, Franck aurait envie de me corriger avec. C'était bien fini de la fessée à la main. Une page se tournait.

L'occasion allait arriver assez vite. Une dizaine de jours plus tard, j'ai ramener une copie à signer à mon père : 0/20 en dictée : la honte. Il a signé la note sans autant de commentaire que j'imaginais. Je pensais que je m'en étais bien tiré mais le samedi matin, mon père m'informe : "j'ai croisé Franck tout à l'heure. Tu iras chez lui à deux heures cet après-midi, je pense que tu sais pourquoi ?". Je ne répond pas mais je me doute bien. "Tu lui diras que tu as eu un zéro en dictée cette semaine et que tu viens pour la punition. Compris ?" Oh oui j'avais compris que mon répit avait été de courte durée.

A 14h, je sonne à la porte, la trouille au ventre, je sais bien que je viens recevoir une trempe. Le coup était préparé, c'est Franck qui m'ouvre la porte. Il porte un bas de survétement noir adidas, des baskets et un tee-shirt "Bonjour Christophe". Il a l'air d'attendre que je parle. Alors, j'enchaine : "papa m'a envoyé vous voir parce que j'ai eu 0 en dictée et il pense que je dois être puni". Le visage de Franck s'illumine "Ah oui, il m'en a parlé ce matin". Il me laisse entrer et referme la porte. Impossible de repartir maintenant. Il me regarde et annonce : "quand tu viens recevoir une punition, je veux que tu t'habile en short, caleçon, tee-shirt, chaussette blanche et chaussure de sport. C'est la tenue pour les corrections ici. Pour cette fois, tu vas prendre les fringues d'Antoine. Une fois habillé, tu vas dans la chambre de Julien. Il doit recevoir une bonne trempe aussi. Allez bouge !".

Dans la chambre, Antoine est à son bureau et travaille. Je lui explique que je dois m'habiller avec ces vêtements pour la fessée. Il me prépare tout : les chaussettes blanches, les baskets nike, un short de foot bleu, un tee-shirt blanc. J'ai un caleçon blanc que je garde car Antoine me dit que c'est ce genre qu'il faut porter. Il me souhaite bonne chance et me dit à tout à l'heure. J'entre dans la chambre de Julien. Il est face au mur, les mains sur la tête dans la même tenue que moi. Il tourne la tête vers la porte et me dit "Je crois qu'il faut que tu te mettes à coté de moi, les mains sur la tête. On a plus qu'à attendre". Je m'approche et me mets à coté de lui face au mur.

Julien parle doucement : "Qu'est ce que tu as fait". Je lui réponds que j'ai eu un zéro en dictée. J'enchaine "Et toi, qu'est ce que tu as fait ?". Il me répond "Je me suis fait coller parce qu'on m'a surpris plusieurs fois en train de fumer à l'école". Je rebondi sur sa réponse "Et qu'est ce que tu penses que Franck va te faire ?". Julien, d'un air résigné, me rétorque : "Oh, pour ça, cela doit varier entre 20 et 50 coups de martinet. J'insiste : "cul nu ?". Julien : "Biensur, c'est devenu rare les fois ou il me permet de garder mon short ou mon caleçon. Question d'habitude." Je veux en savoir plus : "Il te puni souvent ?" Julien me dit : "en ce moment, je sais pas ce qu'il a mais j'ai droit à une trempe toutes les semaines". Je reviens à mon cas : "Tu penses que je risque quoi pour un zéro ?" Julien réfléchi un peu : "c'est la première fois qu'il te puni. Pour cela , il va vouloir marquer le coup mais tu devrais t'en tirer avec maximum 30 coups de martinet". Et pour être! complet, j'ajoute : "Tu crois q ue ce sera cul nu comme toi ?" Julien n'hésite pas et dit : "Je veux pas te faire peur mais ça me parait évident".

L'attente est longue et les remarques de Julien ne m'ont pas rassuré. Franck fini par entrer dans la pièce et j'entend d'un ton sec : "Retournez-vous". Toujours mains sur la tête, nous faisons face à Franck qui ajoute : "Bon voici les punitions : Julien pour ta colle et les cigarettes, tu vas recevoir 40 coups de martinet cul nu. Et christophe, pour ton zéro, je vais être indulgent pour cette fois, 25 coups de martinet cul nu aussi. Allez cherchez les martinets, je vous attend". On sort de la pièce en bous dirigeant vers la cuisine. On détache chacun notre instrument. Le martinet de Julien a le même manche jaune mais plus sombre et une douzaine de lanière d'un cuir qui à l'air usé : il est clair qu'il a pas mal déjà servi !

De retour dans la pièce, Franck indique qu'il va comencer par Julien et nous ordonne d'enlever nos tee-shirts et de poser les instruments sur le bureau. Julien s'approche du bureau et Franck me demande de me tenir sur la droite du bureau, légérement en face de Julien, mains sur la tête pour assister au spectacle. Julien pose les mains sur le bureau en se courbant. Franck se place derrière Julien. D'un geste rapide, il descend le short puis le caleçon de son fils jusqu'aux chevilles. Je vois un peu le _s_e_x_e de Julien qui dépasse par moment, il me semble plus long que le mien. Franck saisi le manche du martinet de Julien et se place à gauche : "Bon comme d'habitude, je veux que tu comptes les coups". Franck lève le bras, les lanières volent d'en l'air et s'abattent sur les fesses de Julien. Il bouge un peu en avant et lance "un".

Franck reprend les lanières dans sa main gauche, il laisse passer quelques dizaines de seconde et rejette les lanières. Il prend son temps entre chaque coup. Julien résiste bien, on voit qu'il a l'habitude de ne pas craquer aussi vite. Le bruit des lanières lorsque qu'elles tombent sur les fesses m'excite beaucoup ; si je ne savais pas que c'était mon tour après, je crois bien que j'aurais la trique. En plus par moment, je vois la queue de Julien qui se balance .Je sais que cela sera moi qui serait dans quelques minutes dans la même position et j'ai la trouille. Arrivé à dix, Franck change de coté pour mieux atteindre la fesse gauche. Par moment, il me regarde comme pour me dire qu'il était impatient de me faire subir le même chatiment. Après 20 coups, les fesses de Julien sont déjà rouges mais il résiste bien. Ce n'est qu'à partir des dix derniers coups qu'il a commencé à se raidir de plus en plus. Sa voix est moins assurée qu'au début de la correction mais il ne pleurs ! pas. Enfin, le quarantième coup tombe, bien fort comme pour finir en beauté. Les fesses sont d'un beau rouge qui ne cache pas la sévérité de la punition.

Franck indique "Allez christophe, viens prendre la place de Julien. Je vais m'occuper sérieusement de ton cas". Julien lève les mains du bureau, son visage transpire. Il ne remonte pas son short et son caleçon. Il se dirige, géné dans ses mouvements par ses vétements, vers moi. Je me dirige torse nu devant le bureau et, suivant le modèle de Julin, je me penche et pose les mains sur le bureau. En tournant la tête vers la droite, je constate que maintenant c'est Julien qui mate, les mains sur la tête, la bite à l'air. Le silence est lourd, le temps semble arrété. Soudain, je sens que Franck me baisse mon short, puis mon caleçon : je suis nu et je dois me soumettre. L'attente continue. Je sens qu'il a le martinet dans la main mais qu'il prend son temps. Franck précise "Comme Julien, tu comptes les coups, je dois bien t'entendre sinon je recommence. Tu m'as compris ?" et moi de répondre "oui Franck".

J'entend le bruit des lanières qui volent dans l'air et aussitôt elles s'abattent sur mes fesses. Cela fait mal, je lâche le "un" que veux entendre Franck. Il laisse environ 30 secondes avant d'envoyer le deuxième coup avec la même force que le premier, la douleur est instantannée mais c'est supportable. Julien ne perd rien du spectacle, en plus comme c'est fini pour lui, il doit être excité de me voir ainsi. Le troisième coup tombe avec le même bruit sec. Je me demande comment je vais tenir jusqu'à 25 à ce rytme. Par moment, le bout des lanières atteignent le bas du dos, ou le haut des jambes. Ce qui fait le plus mal, c'est entre les jambes. Il fait exprès de varier le point de chutes des 12 brins de cuis pour m'empécher d'anticiper la douleur.

Arrivé à 10, comme pour Julien, Franck change de coté. C'est une bonne idée, car j'imagine qu'à certains endroits c'est déjà bien rouge car la douleur persiste. Les 5 coups suivants, il les envoi au même endroit, bien au centre des fesses. La répétition rend cette partie de mon corps très sensible et j'ai maintenant du mal à retenir le "ahhh" qui précéde désormais l'annonce du nombre de coups : ça donne quellque chose comme "schlak ! ahh ! seize"'. C'est vers le vingtième coup, que Franck m'a carressé les fesses comme pour estimer le résultat de son travail : ça me chauffe bien ! Maintenant, je pense qu'il n'en reste plus que cinq et que cela sera bientôt terminé. Cela m'aide d'ailleurs à ne pas pleurer car je veux faire comme Julien et me montrer aussi digne que lui. Franck administre 22 et 23 sans laisser de temps entre les deux, je suis très surpris par cet enchainement rapide : l'enfoiré se défoule. Mais 24 et 25 me semblent encore plus douloreux, il les tape en effet ! avec force; pas de toutes ses fo rces, je pense qu'il peut faire encore plus mal.

Franck reprend la parole après cette dizaine de minutes de silence marquée simplement par des claquements, mes plaintes et l'énoncé des coups "C'est bien, tu es presque aussi endurant que Julien. Retourne là-bas, retournez vous contre le mur, je veux que vous réfléchissiez à vos fautes et à la punition que vous avez reçu : cela vous évitera peut-être de refaire les mêmes erreurs". Je me poste lentement contre le mur à gauche de Julien déjà tourné contre le mur, les mains sur la tête". Franck sort de la pièce en fermant la porte, nous avons toujours le short et le caleçon aux chevilles. Dans cette position et en regardant discrétement sur la droite, j'appercois la queue de Julien qui me paraît bien plus grosse que la mienne. Je ne peux m'empécher de le mater ainsi et petit à petit, je pers mon contrôle et commence à triquer.

Julein s'en apperçoit "Et ben, t'as une belle tige pour ton âge" et joignant le geste à la parole, il approche une main et fait un rapide va et vient sur ma queue bandée. Je suis surpris mais je me laisse faire : "oh, c'est rien à coté de la tienne, elle doit être immense quand tu bandes ?". Franck répond avec fierté : "19cm. Attends tu vas voir !". Avec sa main maintenant, il commence à s'astiquer le _s_e_x_e qui grossis rapidement. Je lui demande "tu n'as pas peur que Franck te surprenne ?". Julien ne change rien à son activité et me rassure "Si tu entends le bruit de la porte, tu remets tes mains sur la tête. Et puis, il va nous demander de nous rhabiller. Alors, tu remontes vite fais ton short et ton caleçon. Au pire, il vera une bosse qui déformera ton short : ça lui fera les pieds de voir que sa fessée ne te prive pas de plaisir". Son raisonnement me parait rès logique.

Au bout d'une minute ou deux, il tire bien à la base de son pénis, met ainsi bien en évidence un gros gland rouge, et tiens la pause en disant : "pas mal hein ?". Je tire comme lui à la base comme pour comparer la taille de nos queues. La mienne est plus petite. Il me rassure : "T'es un vrai mec ! Tu vas voir, bientôt ta bite aura la même taille que la mienne". Et il reprend le mouvement de branlette, et je le copie. Nous sommes tous les deux en train de nous masturber, à peu près à la même vitesse. La fessée me semble loin. Julien s'arrète : "hé, évite de juter, si tu balances ta purée contre le mur, là, il risque de le voir et te foutre une nouvelle raclée !".

Le bruit de la porte annonce l'arrivée de Franck. Nous remettons à toute vitesse nos mains sur la tête. Franck nous lance "Allez les gars, remontez vos vétements et remettez les martinets à leur place. J'espère que je n'aurai pas à m'en reservir rapidement, mais j'en doute avec des garçons comme vous qui ne font que des conneries. A croire que vous aimez être puni et recevoir des trempes !". On remonte caleçons et shorts. On se retourne pour récupérer les petits fouets posés sur le bureau et sortir de la pièce en passant devant Franck. Il ne peut pas ne pas voir la bosse dans nos shorts. Et c'est avec un sourire complice que nous accrochons les instruments de la fessée aux clous de la cuisine. fessee2@yahoo. com


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