Pour les vacances de Pâques, mon père m'a envoyé chez mon oncle Julien. J'ai deux cousins l'un William est du même âge que moi (photo owb056), l'autre Bertrand est plus vieux de deux ans. Je n'aime pas aller chez lui pour les vacances car il est très sévère. Quand j'étais plus jeune et qu'il venait chez nous avec ses enfants, il lui arrivait souvent de prendre un de ces gamins sous le bras pour lui flanquer une bonne fessée. Parfois même, il leur baissait la culotte et l'on assistait à leur punition cul nu. Je savais aussi qu'il avait un martinet car il en parlait régulièrement. Dès mon arrivée dans la maison, j'ai vu l'instrument accroché par le manche qui pendait près de l'escalier qui mène du garage à la cuisine.
On m'installe dans la chambre de William sur un matelas posé à coté de son lit. L'après-midi, alors que mon oncle et sa femme étaient partis faire des courses, je discute avec mon cousin : " tu as déjà fumé une cigarette ? ". Il me répond non et qu'il n'a pas le droit de le faire. Comme pour l'impressionner, je sors un paquet de clopes de mon sac pour m'en allumer une. William n'est pas d'accord : " Tu ne devrais pas fumer, papa va le savoir à cause de l'odeur et il va te filer une dérouillée ". J'ouvre la fenêtre et m'allume la cigarette (photo nasty27) : " De cette façon, cela ne sentira rien dans la pièce, tu veux essayer ? ". Mon cousin s'allonge sur son lit et prend une revue en se désintéressant de moi.
Après ma clope, je suis tout content d'avoir jouer le rebelle face à mon cousin. Peu de temps après, nous entendons mon oncle rentrer la voiture dans le garage et nous crier : " venez m'aider à sortir les courses ". Nous descendons dans le garage, au passage je regarde le martinet sur son mur (photo martinet6), il a l'air d'avoir pas mal servi. Au moment où je m'approche de mon oncle, il a l'air dérangé (photo j-074) et me dit : " Approche toi de moi, Christophe et souffle un peu pour voir ". Mon haleine va me trahir mais je souffle quand même. Il est très mécontent : " Je m'en doutais, depuis quand tu fumes ? ". Je bafouille devant le ton dur de sa voix : " Je ....ne fume pas ". Mon oncle est furieux : " Tu ne fumes pas. Tu es un menteur en plus ".
Il m'attrape par le bras et me tire en se dirigeant vers la cuisine. Avec sa main libre, il décroche le martinet de son clou : " Chez moi, les garçons qui fument et qui mentent, je les fouette. Mon frère n'est pas assez sévère avec toi. Je vais te mater, moi ". Mes deux cousins sont dans le garage et assistent à la scène, ma tante est retournée dans la cuisine. Mon oncle me pousse vers un tréteau dans le fond de la pièce : " Retire ton tee-shirt et baisse ton pantalon et ton caleçon : tu recevras le martinet cul nu ". Je m'exécute et baisse mon jean (photo rene03) et me tourne pour baisser mon caleçon (photo brg11) Puis, vers mes cousins : " Vous deux, mettez-vous à coté et regardez Christophe qui croit qu'il peut me mentir. J'espère que cela vous donnera la bonne idée de ne pas fumer ".
Je suis maintenant nu au milieu de la pièce. Mon oncle arrange le tréteau : " Maintenant, penche-toi en avant". Il me donne quelques claques sur les fesses (photo sr1-2-3). Ensuite, il pose un cousin sur le tréteau et me penche complétement en avant (photo spank3.2) : "Je veux t'entendre compter les coups à haute voix. Si je n'entends pas bien, je recommence le coup ". Il se place sur ma gauche, mes cousins sont debout sur la droite. Je tourne ma tête sur la gauche juste au moment où mon oncle lance les lanières de cuir sur mes fesses. Elles ne sont pas trop lourdes, mais frappent sèchement. La douleur est instantanée car il a lancé les lanières avec force. Je lance " un ". Mon oncle juste avant de recommencer me dit : " Cela fait plus mal que les fessées de ton père. Je pense que tu vas te souvenir de Martin, le martinet ".
Et vlan " deux ". Je me tiens fermement au tréteau pour mieux encaisser le coup. En regardant sur la droite, je vois Bertrand qui se caresse la queue (photo 11), il a l'air excité par la situation et j'ai l'impression qu'il commence à bander. De mon coté, je m'attends à recevoir le troisième coup, mon oncle s'applique, il tombe presque au même endroit amplifiant la douleur : " trois ". Mon oncle regarde ses garçons et Bertrand arrête aussitôt de se toucher : " Il est endurant votre cousin. Vous pensez qu'il supportera les trente coups que je lui réserve ? ". C'est Bertrand qui répond le premier : " Non, je crois qu'il va pleurnicher avant la fin ". William n'est pas de son avis : " J'y arrive bien moi, je ne vois pas pourquoi il en serait pas capable ".
Mon oncle poursuit la séance et il prend son temps entre chaque coup. " Quatre ", " Cinq ", " Six ". Pour moi, cela semble durer des heures. En plus, je suis très humilié d'être ainsi nu devant mes cousins en train de recevoir cette volée. La douleur est supportable car je suis plus habitué au martinet de Franck dont les lanières sont plus lourdes. Mon oncle frappe toujours au même endroit alors que Franck frappe les cuisses, le bas du dos. " sept ", " huit ", " neuf ". Mon oncle regarde le martinet : " Ils en ont reçu tes cousins des trempes avec Martin. Ses lanières sont un peu usées, mais elles produisent toujours le même effet ".
Ma fesse droite sur laquelle aboutissent systématiquement les extrémités des lanières commence à me chauffer. " dix ", " onze ", " douze ". Mon oncle commente son travail : " Tes fesses commencent à bien rougir, on voit même certaines traces laissées par des lanières ". Puis " On est bientôt à la moitié, j'apprécie les garçons courageux ". Bertrand s'étonne des compliments que son père m'adresse : " Papa, tu nous frappes plus fort quand tu nous punis ". Son père le regarde : " Evidemment, je suis obligé de te fouetter quasiment toutes les semaines, tu es devenu très résistant. Mais si tu veux prendre sa place, vas-y installe-toi ". En signe de réponse, mon cousin baisse la tête. " Treize ", " Quatorze ".
A " quinze ", mon oncle change de coté et demande à mes cousins de se mettre à son ancienne place. En passant devant moi, je n'ai plus de doute sur l'état de Bertrand, il trique un max et me regarde avec un petit sourire. Il m'énerve et la situation me révolte. J'ai envie de ne pas craquer pour leur montrer que je suis aussi fort qu'eux mais dans le même temps, je souhaite me lever et retourner chez moi. " seize ", " dix-sept ", " dix-huit ". Je tourne la tête vers mes cousins. Bertrand a un large sourire avec sa main qu'il pose sur son pantalon de manière à ce que je vois son _s_e_x_e gonflé. " Dix-neuf ". Le coup me fait mal, la douleur est forte. Je me relève (photo youngs) : " J'en ai marre, je ne mérite pas une fessée pareille, je veux rentrer chez moi ".
Mon oncle m'attrape par l'épaule : " Ton père m'a donné carte blanche. Et il est d'accord pour que je te corrige comme mes fils. Alors remets toi en position ". Il m'appuie sur le dos. Je me résigne et me penche à nouveau en avant. Il se place en face de moi : " De temps en temps, tes cousins ont aussi du mal à supporter toute la punition. Alors, je les attache. Avec ces sangles, tu ne pourras plus bouger " (photo bench3). Il se baisse et boucle les courroies : " J'ai décidé que tu méritais trente coups de martinet, tu recevras trente coups. Fais- moi confiance. Tu peux crier, pleurer, j'ai pour habitude de ne pas céder ".
" Vingt ", " vingt et un ", " vingt-deux ". La punition est encore plus humiliante pour moi qui suis attaché comme un esclave dans une position inconfortable et dans l'impossibilité de me dégager. Je ne pleure pas, mais pousse des plaintes lorsque le coup tombe, juste avant d'annoncer le nombre : " ahhh, vingt-trois, ahhh, vingt-quatre, ahhh, vingt-cinq ". Mon oncle s'interrompt un instant : " Les cinq derniers. Je crois qu'après cette tu jetteras à la poubelle ton paquet de cigarettes. Sinon, cela ne me posera aucun problème de te fesser à nouveau si tu recommences. La punition sera d'ailleurs plus forte ". " vingt-six, vingt-sept, vingt-huit ".
Il n'en reste plus que deux, mais je m'attends au pire. Mon oncle se place devant moi, je relève la tête pour le voir caresser les brins de cuir de l'instrument. Je penche la tête vers le sol, il me la relève avec le manche du martinet : " C'est presque terminé mais je te promets que je n'hésiterai pas à te fouetter aussi souvent que tu le mérites. De la même manière, tu assisteras aux punitions de tes cousins. L'occasion se présentera sans doute rapidement ". Il se replace derrière moi et frappe le vingt neuvième coups. Dans ma tête, je me dis plus qu'un et ce sera fini. Le dernier tombe avec la même puissance que les autres. Je lâche le libérateur : " Trente ".
Mon oncle me détache : " Ta punition n'est pas tout à fait terminée. Tu vas remettre Martin à sa place sur son clou. Puis tu vas dans le salon, au coin, tu attends que je te dise de te rhabiller les mains sur la tête. Tout le monde doit pouvoir vérifier que tu as été bien puni ". Je me redresse et attrape le martinet qu'il me tend. J'ai à peine le temps de me toucher les fesses pour estimer les dégâts. Je file vers la cuisine et raccroche le manche de Martin au clou. Mes cousins me suivent de près. J'ai l'impression que Bertrand n'a pas débandé de toute ma punition. Je vais donc me coller le nez contre le mur les mains sur la tête.
Au coin (photo f251), j'imagine Bertrand en train de se masturber en ce moment dans sa chambre en repensant à la fessée que j'ai reçue. Je pense aussi que j'aurai sans doute bientôt l'occasion de voir les fesses de Bertrand zébrées par le martinet. A ce moment-là, c'est moi qui me toucherai la bite et qui me branlerai alors qu'il sera au coin. J'oubli la douleur, je commence même avoir la trique. William est dans la pièce en train de regarder la télé. En fait, j'ai l'impression qu'il me regarde.
Au bout d'une demi-heure au moins, mon oncle revient : " Vas chercher tes vétements et rhabilles toi. Je pense que tu as compris que tu as intérêt à jeter ton paquet de cigarettes qui est dans ton sac. Si j'en trouve un, la punition est doublée tu es prévenu". Je retourne dans le garage puis file vers la chambre.