Ma première expérience de fessée, je l'ai eue à la piscine, où je prenais des cours de natation. J'étais alors un garçon très turbulent, nerveux, et je ne retrouvais mon calme qu'en présence de personnalités fortes qui m'en imposaient. Malgré mes quatorze ans révolus, il m'arrivait encore de me conduire comme un enfant. Tout dépendait des circonstances et des gens qui m'entouraient. Or, dans ces cours, il y a avait de l'excitation dans l'air, à cause de trois ou quatre autres garçons prêts à faire les cons dès qu'ils le pouvaient. Un jour, particulièrement surexcité, je me mis à pousser mes camarades dans la flotte. Un première fois : le maître nageur, qui était en train d'expliquer quelque chose, se fâcha et m'avertit que je n'avais pas intérêt à recommencer, ce qui accrut mon excitation. Une deuxième fois, autre camarade dans l'eau : le maître nageur me dit que si je recommençais, il m'expulserait. Cela ne m'empêcha pas de recommencer, tout à la fin de la séance, à un moment où je croyais qu'il ne me verrait pas. Mais rien ne lui échappait : il courut vers moi, me prit le bras et me dit :
- Maintenant, mon petit bonhomme, tu vas immédiatement dans mon bureau et tu m'attends, OK ?
Je montai donc les escaliers qui conduisaient à l'étage des bureaux, et j'entrai dans le sien. Tout était silencieux, car c'était le dernier cours. Les autres profs étaient partis, cette partie de la piscine était déserte. À travers la fenêtre qui donnait sur le bassin, je vis mes compagnons sortir de l'eau et se diriger vers le vestiaire. Je commençai à être un peu angoissé, l'excitation était retombée et je n'avais plus que le sentiment d'avoir fait une connerie. Le maître nageur, qui s'appelait Marc, 30 ans, champion de natation, beau comme un dieu évidemment, rentra dans le bureau, ferma la porte, baissa les stores de la fenêtre et alluma la lampe.
- J'en ai vraiment marre de tes conneries. Je ne veux plus que tu viennes à ces cours, tu perturbes tout, c'est insupportable. Je vais téléphoner à tes parents pour leur expliquer.
Et il sortit ma fiche, où se trouvait le numéro de téléphone de mes parents. Je fus pris de panique, car mon père en avait également assez de tous les problèmes que je posais au collège , et cette histoire allait confirmer que j'étais insupportable partout et justifier une très sévère punition qu'il m'avait déjà annoncée en cas de nouveaux problèmes. Je me lançai donc dans un grand discours pour le persuader de n'en rien faire, en lui jurant que je ne recommencerai jamais. Mais il ne céda pas, et déjà sa main était sur le téléphone. C'est alors que j'eus un geste incroyable, je me précipitai sur lui, je lui pris le bras pour le détourner du téléphone, en hurlant :
- Non ! je ne veux pas !
Il reposa le téléphone, me regarda fixement et me dit, très lentement :
- Bon, je veux bien ne pas appeler, mais tu mérites une correction de toute façon. - Oui, tout ce que tu veux, mais n'appelle pas. - OK, mais je te préviens que quand je corrige, on s'en souvient. - Oui, mais je préfère, - Très bien. Moi, les petits cons comme toi, je sais comment il faut les calmer, mais çà va cuire, j'aime autant t'avertir. Là, je ne dis plus rien, car je ne voyais pas bien où il voulait en venir, bien que je percevais confusément que si çà devait cuire, je devais m'attendre à quelque chose de physique. Il m'ordonna de venir près de lui et me demanda, tout en palpant mes fesses à travers mon slip de bain : - Tu as déjà reçu une déculottée ? - Non....- C'est bien ce qu'il me semblait. C'est çà qui t'a manqué. Viens ici. Sur mes genoux. Voilà. La tête en bas. Bien, appuie les mains sur le sol. Très bien, bonne position. Tout alla tellement vite que je me retrouvai dans cette position sans pouvoir réagir. Ma tête bourdonnait, je sentais que tout était bizarre, d'autant plus bizarre que le contact de mon ventre avec les cuisses duvetées de mon athlète favori (car je l'aimais beaucoup au fond) ne me déplaisait pas du tout. La tête au raz du sol, je voyais ses pieds nus, ses mollets bronzés. J'eus la sensation de glisser dans un gouffre dont le plaisir n'était pas absent. J'eus un commencement d'érection. Pendant ce temps, ses mains continuaient à se balader sur mon slip, à masser mes fesses, et il me dit : - Eh bien, on va inaugurer çà. Dis-moi, à ton avis, une bonne correction, çà dois se donner sur le slip ou sur le cul nu ? Réponds-moi. - Je....je sais pas - Mais si tu sais, allez, réponds-moi, une bonne fessée çà se donne comment ? Hein ? Dis-moi Je sentais bien qu'il fallait que je réponde, et je savais ce que je devais répondre, et une nouvelle fois je me sentis glisser dans le gouffre, car en disant ce qu'il voulait, c'était comme un consentement. Je me sentais pris au piège, mais je sentis aussi que je bandais davantage. Je balbutiai : - Cul nu....- Ah ! bonne réponse, dit-il ironiquement en introduisant un doigt sous l'élastique du slip, qu'il fit glisser lentement sous mes fesses. Sa main recommença son massage, mais le contact direct avec ma peau me fit frémir. Ses doigts glissèrent entre les fesses, et il m'obligea à bien écarter les jambes, de façon à lui dévoiler toute mon intimité. Les doigts s'insinuèrent partout. Il baissa mon slip jusqu'à mi-cuisse. Puis la fessée commença. Au début, c'était supportable, mais peu à peu, çà commença à chauffer, puis à brûler, puis à cuire. Je me mis à geindre à chaque coup. Il m'ordonna de me taire, sans quoi j'en recevrais davantage. Il frappait régulièrement, à gauche puis à droite. J'essayais de ne pas crier. Mais soudain, je sentis que je bandais à nouveau, que le plaisir m'envahissait, et j'eus envie de me donner à lui, de m'offrir comme une chose, comme une bête. Alors je recommençai à geindre, et en même temps, je m'ouvrais de plus en plus, j'écartai le jambes de façon indécente. Il s'arrêta de frapper, et commença à jouer avec mon anus qu'il finit par ouvrir complètement. Je haletai, tout mon corps tremblait. Son doigt commença à jouer à l'intérieur, à aller et venir dans me petit trou vierge. Alors, avec un grand cri, j'éjaculai comme un fou. Ce furent cinq secousses terribles. Il y en avait partout, sur le sol, sur ses cuisses, sur la chaise, partout. Il me releva, me regarda dans les yeux, et me dit : - Toi et moi, je crois qu'on a pas mal de choses à faire ensemble. Je le regardai à mon tour, mes yeux s'embuèrent, et je ne sais comment, nos bouches se rejoignirent. Sa langue me pénétra à fond, pendant que ses mains se remettaient à travailler mon entrejambe. A nouveau je sentis son doigt entrer dans mon cul, ma queue durcir, ma respiration se précipiter. Brusquement, il appuya sur mes épaules, me força à m'agenouiller, et en quelques secondes, sans avoir le temps de m'étonner, je me retrouvai avec une queue énorme, vibrante et chaude dans la bouche. - Si tu me suces, on arrête la fessée et on n'en parle plus, d'accord. Je ne pus rien dire, mais j'étais d'accord. C'était tellement bon ! Il me prit par les cheveux et guida toute l'opération, me forçant à sucer ses couilles, ses cuisses, son entrejambe, puis à nouveau sa queue, sur toute la longueur, puis le gland, de plus en plus doucement. - Moins vite, moins vite, attends, ah, ah. aaaargggggoooouuuuuhhhhhhhh ! Il éjacula, répandant trois fois plus de sperme que moi. Mon corps en était couvert. Voyant mon érection, il saisit vigoureusement ma queue et me fit éjaculer à nouveau. Voilà comment je fus initié à des plaisirs qui me tournaient dans la tête depuis un certain temps, mais que je croyais totalement inaccessibles. Inutile de dire que par la suite, j'eus une attitude exemplaire aux cours de natation, non certes par crainte d'être puni, mais plutôt par peur de décevoir mon maître, maître nageur, maître fesseur, maître _s_e_x_uel. Pendant un an, je fus sa chose trois fois par semaine.