Confessions De Philippe 3


by Frenchspanker <Frenchspanker@HotMail.com>

Il faut maintenant que je vous raconte la partie la plus scabreuse de toute cette aventure. Un jour, Michel (c'était le prénom du prof de gym) me demanda :

— Cà te plairait de voir fesser un gars ?

— Oh oui !

— Petit vicieux ! Si tu veux, demain, viens à six heures au vestiaire. Je dois donner une correction à Xavier...

— Pourquoi ?

— Je sais pas ce qui lui arrive, çà fait quatre matchs qu'on perd à cause de lui, il dirige plus l'équipe, je crois qu'il a une copine et qu'il pense plus qu'à çà.

Je passai une nuit torride à imaginer l'humiliation de Xavier. C'était un gars baraqué, pas très grand mais très costaud, belle gueule, type méditerranéen, qui était capitaine de l'équipe de juniors. Il m'avait toujours plu physiquement et déplu moralement.

Le lendemain j'entrai au vestiaire à l'heure indiquée par le prof, je me cachai dans l'armoire métalique du bureau, et j'attendis la fin de l'entraînement. A travers les fentes supérieures de l'armoire, je pouvais tout voir.

Enfin le prof entra dans le bureau. Il ouvrit l'armoire, et me fit baisser mon pantalon et mon slip.

— Tu te touches si tu veux, mais pas d'éjaculation, d'accord ? Je promis, il referma la porte, et cria

— Xavier, viens me voir, s'il te plaît.

Le garçon entra, surpris dans son déshabillage : il était torse nu, en short et chaussettes. Je retins ma respiration. La porte claqua.

— Xavier, j'en ai assez. On a déjà perdu quatre matchs, et tu penses à autre chose pendant les entraînements. Je t'ai déjà averti deux fois, et tu ne changes pas de comportement. Je te relève du poste de capitaine de l'équipe. Vincent sera bien meilleur que toi.

— Oh non, faites pas çà, je vous jure que j'vais m'y remettre...

— Mais tu me dis çà à chaque fois. Maintenant c'est trop tard. Dans deux semaines on a le match contre les Pigeons, il faut remettre l'équipe sur les rails.

— Mais... vous pouvez pas faire çà, qu'est-ce que va dire mon père, et les autres ?

— Quoi ton père, tu lui diras la vérité, que t'es plus bon à rien... Qu'est-ce que tu crains ? Qu'il t'engueule, qu'il te foute une râclée ? Mais c'est ce que tu mérites, mon vieux, il faut te remettre les idées en place. C'est justement ce que je veux.

— Oh non faites pas çà, çà va être horrible.

— Mon vieux il fallait prendre tes responsabilités avant. Maintenant, si tu veux, je peux te donner encore une chance : c'est moi qui m'occupe de te remettre les idées en place, et tu continues à diriger l'équipe...

Je haletai ; le piège était en train de se refermer ; je sentis que je commençai à bander. Le regard de Xavier s'était remis à briller, et il dit :

— Tout ce que vous voulez, oui, pourvu que mon père le sache pas.

— Très bien. Va te doucher et reviens quand tout le monde sera parti.

Xavier ne demanda pas son reste. Quand il fut sorti, le prof ouvrit l'armoire et saisit mon membre déjà un peu dur.

— Alors çà te plaît ? Attends, t'as encore rien vu ... Le silence régnait maintenant dans le vestiaire. On entendit Xavier sortir de la douche. Le prof le laissa juste enfiler un slip et l'appela sur le champ. Quelle jolie vision ! Encore un peu mouillé, le cheveu hirsute, en slip, interloqué. Quand il aperçut le martinet sur le bureau, il comprit ce que signifiait " remettre les idées en place ". Il lança un regard de protestation, mais il n'eut pas le temps de dire un mot.

— Cà c'est ma manière de te remettre du plomb dans la cervelle. Mais si tu préfères, tu sais ce que je t'ai dit.

Il n'avait pas le choix. J'eus une des érections les plus formidables de toute ma vie, la tête en feu, les jambes tremblantes, quand je le vis, les mains accrochées aux portemanteaux, le slip sur les chevilles. Les coups de martinet ne se firent pas attendre. Il gémissait à chaque coup. Il avait beau avoir la peau brune, son petit cul duveté devint bientôt cramoisi. Le pauvre ! comme il essaya de se protéger avec les mains, il fut con_d_a_m_n_é à recevoir encore plus de coups, cette fois appuyé contre le bureau. Dans cette position, je le voyais de profil : son petit cul rouge, son visage écarlate, sa petite queue qui ne réagissait pas comme la mienne ! On voyait que pour lui ce n'était absolument pas une partie de plaisir. Le prof le fit se remettre debout et l'obligea à jurer qu'il gagnerait le prochain match. Il le lui fit répéter dix fois, chacun étant ponctuée d'un bon coup de martinet. Il lui fit également répéter de la même manière que s'il perdait, il mériterait le même punition. Puis il lui fit remettre son slip, qu'il enfila en chancelant, et le renvoya se rhabiller.

Il ouvrit alors la porte de l'armoire, et me fit sortir de ma cachette. Il examina mon état, déjà fort avancé, et me dit :

— Tu n'a pas honte, petit vicieux ! Allez, à ton tour, tu mérites aussi une correction !

Je dus me mettre nu et, accroché aux portemanteaux comme mon copain Xavier, je reçus le martinet. Mais quelle différence ! quelle jouissance ! J'hurlais de plaisir, j'écartais les cuisses autant que je pouvais, et finalement je me retrouvai empalé sur le pieu de mon athlète ; tout se termina dans des secousses de tremblement de terre. Puis ce furent de grands rires aux dépens de ce pauvre Xavier.


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