Confessions De Philippe 4


by Frenchspanker <Frenchspanker@HotMail.com>

Michel me promit que je pourrais assister à d'autres " exécutions ", comme il disait. Cela ne tarda pas. Quelques semaines plus tard, deux élèves de terminale s'étaient battus comme des forcenés pendant un match de foot. Michel les convoqua le mercredi suivant, après m'avoir caché dans l'armoire métallique. Après leur avoir donné hypocritement, comme toujours, le choix entre la procédure normale, avec comparution devant le proviseur et avis aux parents, et une " correction discrète ", et comme ils avaient bien entendu opté pour la seconde solution, il leur expliqua que, comme ils aimaient se battre, ils se corrigeraient mutuellement. Je frémis de plaisir en entendant ces paroles machiavéliques. Les deux gars se retrouvèrent donc bien vite en slip et chaussettes, et ce fut le plus grand, un beau brun aux jambes fortes et poilues, qui dut s'accrocher aux portemanteaux après avoir exhibé son petit cul musclé et duveté. L'autre, qui avait plus l'air d'un gosse mais qui était aussi un beau paquet de muscles, le martinet à la main, hésitait à frapper. Il restait bouche bée; les yeux fixés sur le cul de son ex-copain, sur le slip baissé à mi cuisses, sur ce dos qui attendait, tendu, les coups qu'on lui avait promis. Mais une injonction violente de Michel le réveilla, et il se mit à actionner le martinet, d'une manière tellement molle que Michel prit en main l'instrument et lui montra comment il fallait faire. Peu à peu, le petit se mit à s'échauffer et à frapper de plus en plus fort, Michel commentait les coups en disant :

— Bien, comme çà, plus fort, allez, çà va vous calmer, çà etc.

Moi, évidemment, je jouissais du spectacle, la queue raide.

Quand le cul du grand fut bien rouge et qu'il commença à gémir entre ses dents serrées, les rôles furent inversés. Le petit fut immédiatement soumis à des coups beaucoup plus rudes. On sentait que l'autre se vengeait. Un détail m'avait plu : comme il avait voulu remonter son slip, Michel lui avait ordonné de n'en rien faire, ce qui fait qu'on voyait maintenant deux culs à l'air et en mouvement.

—Jean-Paul, tu n'as pas honte ? dit soudain Michel. Je ne m'étais aperçu de rien. Mais quand il se recula un peu, je vis la queue du garçon dans un état assez voisin du mien.

— Eh bien mon salaud, çà te fait vraiment plaisir de corriger ton petit copain, hein ? Eric, retourne-toi, regarde un peu dans quel état tu mets Jean-Paul...

— Il est dégueulasse, ce mec...

— Attends, on va lui apprendre, puisqu'il aime tellement çà. Quant à toi j't'autorise pas à l'insulter. Allez, remets-toi en position, voilà, et toi, mets-toi à genoux, comme çà, et tu vas lui soulager le cul en le léchant bien tendrement, allez, voilà, très bien. Cà va mieux Eric, hein, c'est plus doux, non ? Allez, ajouta-t-il en prenant Philippe par les cheveux, lèche bien, la raie maintenant, rentre bien, voilà, encore, applique-toi, lèche-moi bien ce petit cul, avec la langue, plus loin, oui, comme çà.

Eric commençait à se tortiller, visiblement atteint dans son intimité par les coups de langue de plus en plus pénétrants de Jean-Paul. Celui-ci, rouge, haletant, excité, la queue dure comme un pieu, s'adonnait maintenant sans frein à sa besogne. Il écartait même les fesses de l'autre pour se frayer plus aisément son chemin, le visage enfoui. Comme il travaillait ce petit cul certainement vierge ! Michel ordonna ensuite à Eric de se coucher sur le bureau, les jambes en l'air.

— Tu vas échapper à la fessée, mais il faut une compensation ! dit-il en ouvrant un tiroir. Il y plongea la main et la ressortit luisante de lubrifiant. La main s'approcha du cul complètement ouvert du garçon, qui essaya de protester, mais qui fut vite contraint de reconnaître qu'il préférait cela à toute punition officielle. Il se mit à gémir quand Michel força son petit trou vierge. Il lui ordonna de se branler. Puis, au bout d'un moment, il ordonna à Jean-Paul de l'enculer. Il rentra sans difficulté dans un cul aussi bien préparé. Alors Michel reprit le martinet, signalant à Jean-Paul qu'il n'était quand même pas là pour seulement jouir, et pendant que le garçon infligeait à l'autre ses secousses d'étalon en rut, il recommença à lui administrer de grands coups de lanières. Moi, je n'en pouvais plus ; j'essayais de me retenir, mais je ne pus m'empêcher d'éjaculer, avant même les deux mecs que je voyais entre les rainures de la porte.

Quand ceux-ci eurent fini, Michel les renvoya au vestiaire, titubants, et ouvrit mon armoire. Quand il vit que j'avais joui, il se mit dans une colère froide, et m'annonça qu'il allait me punir. Il rappela les deux mecs, et leur dit :

— Regardez le petit voyeur ! — Les autre s'exclamèrent. Moi, le pantalon sur les genoux, la queue à l'air, je me sentais perdu ; Michel me trahissait.

— Fouettez-le !

J'eus beau crier et me débattre, je me retrouvai bientôt nu comme un ver, maîtrisé par Michel et Jean-Paul, et soumis au feu du martinet, qu'Eric mania sans pitié pendant un bon quart d'heure. Puis les trois me baisèrent sauvagement à tour de rôle. Ah, les deux frères ennemis avaient déjà retrouvé toutes leurs forces, et Michel, qui depuis plus d'une heure bandait à tout rompre, me défonça comme jamais il ne l'avait fait. Je sentais, en outre, que mon règne finissait, car je vis qu'il était plein d'attentions pour Jean-Paul. En effet, quelques jours plus tard, je compris que je ne devais plus rien attendre de Michel, et que Jean-Paul m'avait remplacé.


More stories byFrenchspanker