Cette histoire est authentique, seul les prénoms ont été changé par discrétion.
J'avais vingt ans, au cours d'un voyage en Angleterre je me retrouvais sans hôtel à tenter de dormir dans la gare de Waterloo.
Un jeune homme d'environ trente ans, blond l'air très synpathique, s'approche de moi et me demande si je sais ou dormir, je lui réponds que non car je n'ai pas trouvé hôtel.
Il m'invite alors à venir chez lui dans Kensington. Il m'emmène et m'introduit dans une pièce, pendant qu'il va nous chercher à boire. En regardant autour de moi je m'aperçois qu'il n'y a encadré que des photos de jeunes mecs dont les fesses sont rouges, comme s'ils avaient reçus une fessée.
Mon sang de fessé ne fait qu'un tour et une immense espérance se fait jour, serait'il un fesseur?
Lorsqu'il revient avec les boissons, deux verres de whisky, il me regarde et me dit " est ce que tu aimerais faire partie de la collection"? un peu gêné tout de même je lui réponds que oui bien sur.
Il s'assied en face de moi et me dit qu'il aime punir les garçons, et que toutes les photos au mur sont des punis qu'il a photographié après leur correction. Certaine photos en effet montre des traces de coups de badine très visibles et très marquées.
Il me demande si je suis endurant car il a pour habitude de punir très sévèrement et que c'est lui seulement qui arrête la punition quand il a décidé que le mec a été assez corrigé.
Je lui réponds que je comprend, il me demande alors si je suis prêt, et j'acquièce de la tête en me levant et en déboutonnant mon jean, que je baisse à mi cuisse.
Ace moment je suis très ému et excité au plus haut point, j'attends ses ordres, il me prend par le bras et lentement me fait mettre en travers de ses genoux, je me positionne confortablement pour ce que je sais qui va suivre.
Il me caresse doucement les fesses, que j'ai épilée en permanence car je pense qu'une main qui s'abat sur des fesses imberbes permet mieux au fessé de sentir sa correction.
Andrew m'indique que je vais être fessé très sévèrement pour toutes les fautes que j'ai commises durant ces deux dernières semaines et que mes pleurs sou supplications ne saurait arrêter la punition.
Pendant tout ce temps je suis de plus en plus nerveux et ai hâte que la correction commence, il doit le sentir car il abat sa main très claquante une vingtaine de fois sur chaque fesse.
Je ressent la douleur et le plaisir d'être fessé par quelqu'un qui maîtrise parfaitement l'art de fesser un garçon, les claques sont de force différentes mais ont parfaitement couvert l'ensemble de mon derrière seulement et encore protégé par mon slip.
Je sens ses doigts s'insinuer dans l'élastique du slip et commencer à le baisser, je me soulève légèrement pour le passage jusqu'aux milieu des cuisses, c'est probablement l'un des meilleurs instants d'une fessée.
Le deculottage à toujours été pour moi, le moment privilégie ou le fesseur me met les fesses à l'air, quelle humiliation d'être ainsi dans une position de soumission et d'être le seul qui montre son postérieur nu.
Andrew m'ayant bien repositionné commence alors une fessée magistrale qui me fait gigoter les jambes en tous sens et me fait crisper les mâchoires pour ne pas hurler.
Mais au bout de quelques minutes d'un tel traitement je commence à sentir les larmes qui coulent sur mes joues, je le supplie arrêter la punition, sans effet bien entendu, les claques pleuvent de plus en plus fort sur mes fesses nues, qui me semblent en feu.
Il concentre les claques sur les deux tiers inférieures des fesses et le haut des cuisses, et souvent sur la jonction des cuisses et des fesses, un endroit particulièrement sensible.
Durant plus de vingt cinq minutes les claques cuiront mes fesses sans désemparer, je ne suis plus qu'un fessier puni et cuisant, je ne peux plus penser à autre chose qu'a l'avalanche qui tombe sur mon pauvre derrière.
Je pleure, crie, gesticule, pendant qu'Andrew fait son travail méthodiquement sans s'occuper d'autre chose que de punir très sévèrement le derrière qu'il a à sa disposition.
En fin la fessée s'arrête et je peux reprendre mon souffle tout en restant allongé en travers de ses genoux, pendant qu'il caresse le haut de mes cuisses.
Il me relève et m'ordonne d'enlever complètement mon jean et mon slip, m'indiquant que jusqu'à mon départ, je n'aurai le droit de rien porter de la ceinture aux socquettes. J'apprend à ce moment que la correction aura trois parties et que pour les deux autres il utilisera le ceinturon et enfin la cane.
Il me fait mettre au coin mains sur la tête sans possibilité de me frotter les fesses, et pour une demiheure.
A suivre