La discussion téléphonique avait été rapide mais claire : "Ton pseudo m'intéresse. Appelles-moi demain après 17h00. Ciao. Stéphane".
Il était alors 23h30. Je n'vais pas plus de détails... Mais la voix m'avait... enchanté.
D'autres mecs répondirent à mon message que j'avais voulu le reflet exact de ce que je cherchais : "Jeune mec recherche jeune petit cul de mec à corriger maintenant". Je n'aime pas tourner autour d'un pot dont on ne connait même pas le contenu. Ainsi j'attirai à moi des mecs branchés plan correction/fessée.
Ce Stéphane m'a donné envie de stopper la recherche sur rezo ce soir-là. Je me suis endormi en me promettant de lui téléphoner dès 17h01 le soir suivant.
Et c'est ce qui arriva. Sa voix était très charmante.
"Salut, moi c'est Bruno. Tu m'as filé ton tél. hier soir sur le rezo"
"Ah oui. Tu cherchais un petit cul à corriger, non ?"
"Je cherche toujours, tu sais. T'es comment ?"
"Moi j'ai 30ans, 1m75, 60kgs, brun, cheveux courts. Et toi ?"
"Moi j'en ai 32. Pour le reste c'est identique à toi. Tu aimes te faire claquer les fesses ?"
"Ouais, plutôt ! Tu t'y prends comment ?"
"Direct. J'aime pas trop les plans trop élaborés. Bien que... Mais là, j'ai envie de la donner sans tralala... Tu vois ? Tu as l'habitude ?"
"Oui et non. Mais c'est un truc qui me plaît bien. C'est pas toujours facile dans ce coin de trouver des fesseurs... Le plan direct me branche super !"
"OK. Tu es libre quand ?"
"Ce soir, après 22 heures. C'est bon pour toi ?"
"OK. Chez toi ?"
"Oui. Je suis dans la rue d'Angoulême. La porte juste à côté du café "Le Bureau". Dernière sonnerie à partir du bas."
"OK. Tu me reçois en jean et slip seulement. On commence immédiatement. Si on discute, ce sera après, OK ?"
"OK. Je préfère çà aussi. C'est quoi ton prénom ?"
"Bruno"
" OK ! A tout à l'heure !"
"Ciao !"
Woaw ! La discussion s'était hyper bien déroulée. Il avait l'air coquin, ce Stéphane ! Et en plus, pas compliqué. C'était de bon augure... Il fallait simplement attendre quelques heures maintenant.
Ce ne fut pas long. Pas difficile non plus de trouver son coin et sa rue. "Le Bureau" était connu. Je trouve aussi la sonnette. "Dring..."
"Allo ?"
"Oui c'est Bruno"
"Salut. C'est au troisième"
La porte s'ouvre. Je commence vraiment à être excité maintenant. Me défouler sur une paire de fesses, c'est toujours super excitant. Je prends l'ascenseur. Vite le troisième est là. Lumière. 3 portes. Une est entrouverte. Je la pousse. Il est là. Un mec mignon, en Levi's 501, torse nu, le regard un peu vers le sol, juste assez pour que je vois bien sa frimousse.
Intérieur simple mais de bon goût. C'est une grande pièce qui fait salon à salle à manger. Des sofas. Une table ronde et deux chaises... "Tout ce qu'il faut" me dis-je.
Je me lance... !
"Bon, eh bien tu sais pourquoi on est là tous les deux, hein ?"
"Oui."
"Alors dis-le moi !"
"Tu es venu me donner une correction" répondit-il. Il était mignon. Les bras pliés sur son ventre. Ses petits pecs bien apparents. Il n'avait pas de chaussures mais juste des chaussettes. les jambes légèrement écartées.
"Viens là !" je lui prends le bras et l'amène contre la table. Je le fais se pencher, les coudes sur le bois. Je lui écarte les jambes.
"SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK8 SPANK! SPANK! SPANK! SPANK!"
Une claque moyenne sur chaque fesse. Régulières. Bien pesées. Il les as prises sans broncher... C'est très prometteur...
J'approche la chaise. Pour qu'elle soit bien au centre de la pièce. En le tirant par le bras, il arrive très vite à atterrir contre mes genoux. J'ai volontairement écarter mes jambles. Il n'a ainsi aucun pied par terre. il est plus instable et cela évite qu'il ne se débatte trop, au cas où...
Je le positionne, je lui prends le cou et lui penche sa tête vers le sol... Je lève ma main droite... Il sent que la prochaine volée est imminente. Je sens son petit cul se tendre sous son jean... Que c'est bon d'attendre un peu... Et puis, brutalement, une flopée de coups s'abattent, cette fois-ci plus forts que tout à l'heure, ils parcourent toutes la zone du haut des fesses jusqu'au haut des cuisses. Les jambes dans le vide dansent !
Une main s'approche pour parer les coups... Je change la pose. J'approche mes genoux l'un de l'autre, ses genoux touchent presque terre. Je continue ma pression sur le cou : la tête touche presque terre. Je chevauche le derrière de ses mollets de ma jambe droite : cette fois-ci, fini d'essayer de se débarasser de cette fessée en agitant les jambes. Il a le cul bien en l'air. D'un coup, mes claques s'abattent encore plus fort. Il suffoque un peu. J'entends ses "Han", "ohhh", "Oua", "Heee".
"Tu es SPANK! ici pour recevoir SPANK! une SPANK! correction SPANK!. Compris SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! J'ai dit SPANK! COMPRIS ? SPANK!"
"Oui, j'ai compris. Pardon, pardon !"
"Moi, SPANK! je SPANK! crois SPANK! que tu SPANK! la mérites SPANK! vraiment SPANK! cette SPANK! fessée ! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! sPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! Non ?"
"Oui, c'est vrai, je la mérite" dit-il d'une voix timide.
"Et bien, ce n'est pas fini alors. SPANK ! Debout !"
Il tombe de mes genoux, il se tient les fesses, le regard à terre. Je le prends par le menton et je l'emmène vers un des coins de la pièce... Il est très obéissant. Les mains derrière le dos, il se met face au mur.
"Mains sur la tête" lui dis-je.
Il s'exécute...
"Ne bouges pas d'un pouce sinon ton repos sera vraiment de courte durée !"
Je m'installe dans l'un des sofas et je feullète un bouquin. Du droit... Bouahhhh.
J'aime être sur le territoire d'un autre mec, user de son appartement ainsi pendant qu'il est à mes ordres, dans un coin, les mains sur la tête et le cul chauffé.
Très vite je le rappelle.
"Allez, passons à des choses moins terre-à-terre !". Approches-toi et baisses-moi ce jean "
Il me regarde, puis baisse de nouveau la tête. Il baisse ses mains, défait sa boucle de cainture, déboutonne lentement son jean qu'il fait baisser à ses chevilles. Il porte un boxer noir en lycra. Des fesses bien dessinées. Un semi-érection est bien visible. Sa queue remontée vers le haut de la ceinture de son boxer... Je le dirige de suite vers la table.
Hummmmmmmm ! ce petit cul tendu, penché contre cette table ronde... Le bas des fesses qui sortent un peu du boxer vu que Stéphane est bien penché. Les jambes écartées moyennement... C'est le moment pour quelque chose de plus sérieux maintenant. Il le sait. Il tremble un peu. Mais c'est lui qui l'a voulu.
Je me met sur son côté gauche. Ma main droite aura ainsi tout le loisir de le corriger, ce petit cul !
SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! sPANK! SPANK! SPANK! SPANK!
Son cul se cabre. Il grimace.
SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SpANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK! SPANK!
Il gémit. Ses "Han" sont devenus des "Aie", "Ouille", "OHHHHHHH!", "Woawwwww!" J'en profite pour claquer aussi ces bas de fesses débordant du slip. Il apprécie beaucoup le coquin, même s'il laisse échapper ses petits cris de plainte.
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Les grimaces de sa bouche et sa détermination à receoir ses fessées prouvent bien qu'il en a besoin. Il reçoit çà comme un mec... Il est pris au piège de son désir : il se prend la déculottée à laquelle il a rêvé depuis longtemps et il est content d'être parvenu à çà, lui, Stéphane, 30a, professeur de droit... Il est là, le cul en l'air dans son slip, penché contre sa table de salle à manger, en train de se faire claquer sévèrement le cul par un mec qu'il ne connaît pas. Hummmmmmmmm !
Je le prends par le bras de nouveau... Il a entendu que j'ai fait avancer la chaise sur laquelle il a déjà reçu une fessée à l'instant. Il grimace toujours, la bouche à moitié ouverte, presque sur le point de sangloter. Mais il est résigné. Il sait que ce n'est pas terminé. Le plus humiliant, c'est maintenant !