Nous sommes en mai, un mercredi après-midi. Après l'entrainement de foot, Antoine et moi sommes restés en shorts (photos) et allons au supermarché : nous avons une idée derrière la tête : nous avons décidé de voler des cds. Des mecs en avaient parlé au vestiaire, disant que c'était facile. Qu'il suffisait d'enlever discrétement l'étiquette au dos du disque car ainsi, cela ne pouvait pas sonner à la sortie. C'était simple. Nous avions nos sacs de sport, légérement ouverts à nos pieds. Je prends un disque, regarde à droite puis à gauche, je décolle l'autocollant et laisse tomber le cd dans mon sac. Antoine fait pareil. Nous répétons l'opération deux fois chacun. Nous nous dirigeons ensuite vers la sortie sans achat et commençons à marcher derrière les caisses. Effectivement, c'était très simple, trop simple.
A ce moment la, deux hommes jeunes, plutot baraqués, les cheveux très courts se tiennent face à nous un talki-walki dans la main. Le gars qui porte un jean s'adresse à nous : "Bonjour Messieurs, service de surveillance du magasin, pouvez vous ouvrir vos sacs s'il vous plait ?". Une douche froide s'abbat sur nous deux. Que faire : courrir vite mais ils ont l'air rapide, refuser d'ouvrir le sac mais ils risquent d'appeler la police car cela fait suspect, ouvrir le sac en s'excusant et promettre de ne plus recommencer. C'est cette voie qui me parait la meilleure. Je me penche pour ouvrir mon sac, les trois cds sont visibles. L'agent de sécurité les attrappe : "vous aussi ouvrez votre sac" puis "vous avez le ticket de caisse de ces produits ?". Je me lance dans mon argumentaire : "s'il vous plait, Monsieur, on a fait une bétise mais on vous les redonne, on ne recommencera plus c'est promis, hein Antoine ?". Mais à cet instant, le gars en jean m'attrappe par le bras avec fermeté : "Désolé mais maintenant c'est trop tard. Vous allez nous suivre au poste de surveillance". Antoine et moi échangeons un regard : nous sommes dans la merde.
Nous pénétrons dans une pièce à l'écart des rayons, il y a deux bureaux, des chaises, deux fauteuils et des tas d'écrans de télé surlesquels on voit tous les coins du magasins. Les agents de surveillance avaient pu voir sans aucun problème notre petit manège. L'agent en survétement s'installe derrière le bureau : "quel est ton nom ?". "Christophe". Puis il reprend : "quel est le numéro de téléphone de ton père ?". A l'idée que l'on appelle mon père sur son lieu de travail pour lui apprendre que j'ai volé me fait paniquer : "Pourquoi vous voulez appeler mon père, je vous promets que je ne recommencerai pas, s'il vous plait". L'autre agent me regarde droit dans les yeux : "Nous devons prévenir vos pères pour qu'ils viennent vous chercher et sachent ce que vous avez fait : c'est tout".
Maintenant c'est Antoine qui craque : "Si vous le dites à nos pères, ils vont nous flanquer une raclée terrible. Pas une petite fessée, une vraie correction à coups de martinet". Le visage du gars en survétement s'illume : "Tu vois Mickael, il y a encore des pères qui utilisent le martinet". Puis vers nous deux : "Ca fais vachement mal les lanières de martinet. Je le sais bien, j'ai recu pas mal de trempes avec quand j'étais môme. Mais, je suis désolé pour vous mais vous mériter une correction pour avoir voler". Antoine redoute la colère de son père et pense attirer la pitié des deux agents : "vous n'avez qu'à nous punir vous même, comme vous voulez, nous acceptons tous les deux". Les agents se regardent : "Qu'est ce que tu en penses, Mickael ?".
Mickael s'assied : "ce n'est pas une mauvaise idée. Au moins, on sera sur qu'ils auront été puni ces deux la. Olivier, qu'est ce qu'il aurait fait ton père si tu avais volé quand tu étais gamin ? ". Olivier se relève et s'approche de nous : "il m'aurait donné une bonne fessée à la main d'abord pour me chauffer le cul puis il m'aurait mis tout nu pour finir la correction avec le martinet. On n'a pas de martinet mais je crois que ton ceinturon de cuir fera l'affaire. Bon les mômes, vous avez encore le choix, vous acceptez qu'on vous corrige ou on appelle vos paternels ?" . Notre réponse est rapide : "on accepte votre proposition". Aussitot, Mickael dégraffe son ceinturon de cuir (photo). Il semble pressé et curieux de voir comment cela va se passer. Il le tend à Olivier qui le plie en deux et le pose sur le bureau.
Olivier enlève son tee-shirt (photo) : "pour bien punir, il faut se mettre à l'aise". Puis il approche une chaise au milieu de la pièce et s'assiets : "toi, christophe, approche toi. Je vais commencer par une fessée classique afin de lui chauffer un peu les fesses à ce petit Monsieur". Je m'avance vers lui. Puis il me baisse mon short (photo) : "Regarde Mickael tu feras pareil tout à l'heure avec l'autre voleur".
Ensuite il m'ordonne : "allonge toi sur mes genoux, je commence la punition". Comme j'en ai l'habitude, je me place sur les genoux d'olivier. Mes mains touchent le sol et j'attends la première claque pour mesurer la force de ce fesseur. Elle ne tarde pas à atterir sur mon short. Il frappe fort et je commence à me demander si nous avons fait le bon choix car ce gars est sévère. la douleur est supportable car le tissu de mon slip atténue un peu les coups. En fait, la situation est assez humiliante car je suis puni par un inconnu, en face d'un autre inconnu et devant mon meilleur pote.
Au bout d'une vingtaine de claques bien sonores, Olivier me tire par l'épaule : "allez, relève toi, il est temps que je frappe tes fesses avec la ceinture". Je me redresse, j'ai du mal à me déplacer car je suis géné dans mes mouvements par mon short descendu jusqu'aux chevilles. Il me pousse alors vers la chaise : "Penches toi bien en avant, je vais commencer". Mickael tend la ceinture à Olivier qui la plie en deux. Il lance son bras et la ceinture à pleine volée sur mon cul. La douleur est instantanée. Je lance un "aye" pas très convaincu mais pour donner à mon fesseur l'impression que cela est très douloureux. Mais celui-ci n'est pas dupe : "Si tu cries déjà maintenant, tu risques de hurler tout à l'heure. A ton age, je pouvais supporter au moins 30 coups sans râler. Alors tu la boucles ou je frappes encore plus fort".
La punition continue et j'essaye effectivement de ne pas crier pour ne pas l'énerver plus car ce mec sait de quoi il parle : il frappe de façon régulière, avec la même intensité, change de coté pour varier le point d'impact. Il a effectivement de l'expérience. A la manière dont il est en train de me corriger, la punition est douloureuse mais supportable. Si Mickael ne l'avait pas interrompu, il aurait pu continuer comme cela un bon moment : "Allez, Olivier, à mon tour de m'occuper de l'autre. J'ai envie de lui montrer qu'il y a des choses à ne pas faire". Olivier lui redonne la ceinture : "Tu as raison. Il mérite une pause avant que je le punisse cul nu ! Tu vas au coin, les mains sur la tête et tu regardes la punition de ton pote".
Mickael s'assied sur la même chaise qu'Olivier. Il frappe ses mains sur ses cuisses : "Amène toi, bonhomme. Au fait, comment tu t'appelles ?". Mon pote s'approche, baisse machinalement son short et s'allonge sur les genoux du vigile : "Antoine". Mickael ajuste la position et se lance dans une leçon de morale : "Tu es dans cette position car tu as volé et que c'est mal. Tu mérites cette punition et je n'ai aucun plaisir à te frapper. Tu as compris ?". Antoine relève la tête : "Oui Monsieur". La première claque tombe, puis la seconde et ainsi de suite. Je vois mon pote bouger sous les coups mais cela semble peu douloureux. Je jette un oeil discret sur le coté et je constate qu'Olivier à la main dans son survétement; il semble qu'il se touche la queue en regardant la scène mais je ne suis pas certain.
Au bout de quelques minutes, Mickael frappe un dernier coup de la main : "Après l'échauffement, il faut passer aux choses sérieuses. Tu fais comme ton ami et tu te places contre le dossier pour être chatié avec mon ceinturon de cuir". Antoine se relève comme un automate et s'installe dans la position indiquée. Il me jette un oeil au passage. Dans son regard, je devine "pour l'instant ca va". Le vigile saisie l'instrument de la fessée : "Olivier, si je m'en sers pas bien tu me le dis. On continue Antoine".
Je ne quitte pas la ceinture des yeux; son vol attéris sur le slip de mon pote. Antoine reste muet au fur et à mesure que les coups tombent, avec son père, il a l'habitude de ce genre de séance. Mais, rapidemment, je constate qu'il serre les mains de plus en plus forts sur les barreaux de la chaise. En effet, j'ai l'impression que les coups arrivent toujours au même endroit. Mais Mickael ne se rend compte de rien : "Voler, c'est mal. Tu ne voleras plus après cette correction". En revanche, Olivier a compris qu'il était temps de donner un peu de répis à ce jeune garçon qui résiste bien mais déguste un peu trop à son goût. Il retire la main de son survètement et la bosse qui déforme le tissu me montre qu'il bande dur : "Tu t'en sors très bien Mickael, on croirait que tu as fait ça toute ta vie. Je recommence avec l'autre".
Il prends la ceinture de la main de son collègue : "Antoine, vas prendre la place de ton ami, mains sur la tête aussi. Et toi approche toi". Toujours géné par mon caleçon aux chevilles, je m'exécute. Olivier me regarde droit dans les yeux : "Voilà le moment que je préfére, le plus humiliant : baisse ton slip, allez à poil". Je jette un regard autour de moi et le constate que trois pairs d'yeux sont braqués sur moi. Un peu honteux, je baisse mon caleçon (photo). Olivier me pousse dans le dos : "reprends la position, petite bite". Je n'ai pas le choix, je me penche sur le dossier. Le premier coup tombe aussitôt.
La douleur qui s'était estompée pendant la pause revient très vite. Maintenant, quand je crie, je ne simule pas. Mais Olivier ne semble pas inquiété par mes réactions : "Tu peux toujours gueuler, personne ne peut t'entendre. C'est normal de crier pendant une raclée. Moi, il m'est arrivé de pleurer et de supplier mon père pour qu'il arrète de me frapper. Je n'irai pas jusque là avec toi. Mais tes cris ne me font ni chaud, ni froid. Ca fait du bien de gueuler". Il a raison ce con : la douleur est forte et je crie par réflexe. Je le regarde préparer la volée et je constate qu'il a toujours la trique.
Après une trentaine de coups : "J'en ai fini avec toi". Je me redresse. Mickael s'approche : "laisse le moi encore un peu, je ne l'ai pas corrigé celui-là". Et moi qui pensais que s'était fini. Olivier hésite : "écoute, je crois qu'il a eu son compte avec la ceinture". Mickael insiste " OK, alors, juste quelques claques sur ses fesses pour finir la fessée". Et il s'installe sur la chaise : "C'est parti pour 10 claques". Il les compte à haute voix (photo). Je transpire maintenant et soupire lorsque j'entends "10". Je me relève et un brin insolent : "Je sais, je vais au coin, main sur la tête". Je crois que si je n'avais pas reçu ces 10 derniers coups, Oliviers m'aurait rallongé sur ces genoux pour m'apprendre à ne pas le provoquer.
Mickael saisie le ceinturon : "Antoine, tu sais ce qu'il te reste à faire. Tu baisses ton slip et tu te penches. C'est un mauvais moment à passer et la prochaine fois, tu réfléchiras à deux fois avant de voler dans un magasin". Antoine lui jette un regard interrogateur du genre : "tu y vas pour qu'on en finisse" (photo). La correction commence et Antoine lâche par moment des petits cris "haa". Mickael déplie la ceinture : "Pour varier les plaisirs, et finir par le bouquet final, je vais de donner quelques coups sans plier la ceinture". Le résultat est immédiat, le bout de la ceinture s'enroule sur les fesses d'Antoine et frappe pas loin de son _s_e_x_e.
Olivier qui a plus d'expérience intervient : "Attends Mickael, si tu veux vraiment finir en beauté, j'ai une meilleure idée". Et il file vers son placard pour retirer sur un jean une autre ceinture : "On va frapper en alterné : chacun sa fesse. Tu te mets à droite, moi à gauche. Je propose un bouquet final de 20 coups". Mickael replie sa ceinture en deux et immédiatement frappe "c'est parti". La pluie de coups de ceinture tombe très vite (photo). Antoine sait que c'est bientot la fin et ne craque pas mais râle assez fort. Je vois maintenant ses fesses bien rouges. J'imagine que les miennes sont de la même couleur.
Olivier lance sa ceinture sur le bureau : "Je crois qu'ils ont compris. Vas rejoindre ton pote au coin pendant quelques minutes pour repenser à tout cela". Mickael remet sa ceinture sur son jean : "Tournez vous vers le mur, je veux admirer le résultat de notre travail sur vos fesses". Nous sentons les regards des deux mecs sur nos culs. Ils commentent "j'en connais deux qui ne vont pas s'assoir de si tôt. On devrait les punir tous comme cela. Notre travail serait plus marrant".
Au bout d'environ dix minutes, Olivier nous passe la main sur la tête : "vous avez été courageux, les mecs et je m'y connais. Rhabillez vous et rentrer chez vous. On espère ne pas vous revoir ici. Mais si vous recommencez, je descendrai chercher un martinet dans le magasin, je vous le promet. Considérez qu'on vous a donné une chance aujourd'hui. Vous avez d'ailleurs évité la trempe de vos parternels". Nous nous penchons pour remonter nos caleçons et shorts. Je constate que les deux vigiles ont la trique. Et nous quittons la pièce.
Sur le parking du magasin, je demande à Antoine "ca va". Il se touche les fesses avec la main "ouais, mais je vais me tenir à carreau à la maison, parce que si mon père découvre mes fesses dans cet état, il va me demander des explications. T'as vu, les mecs étaient excités comme des fous, ils avaient la trique quand on est parti". Je continue de marcher vers la maison : "Ils ont pris leur pied en nous punissant".