Salut, je m'appelle Jean-Hugues B-, mais mes potes m'appellent simplement Jean. Je suis flic avec une équipe d'investigation spéciale au --ème arrondissement de Paris. J'aime bien mon boulot et pense qu'il n'y a pas d'autre chose que je pourrais faire même si j'avais l'occasion de changer mon occupation - j'étais né pour être flic, ayant toujours eu un vrai talent au métier. Je ne dis pas que je travaille parfaitement - loin de ça ! - mais c'est mon chemin préféré et choisi et rien d'autre ne me suffirait.
J'ai 3- ans, fais un mètre quatre-vingts, les cheveux noirs aux yeux émeraude, assez charpenté et séduisant mais pas un mannequin si tu sais ce que je dis. Je suis aussi célibataire : je n'ai pas de temps pour faire des rapports comme ça ni le désir - il n'y a personne qui me plaît dans une telle manière et d'ailleurs j'ai mes potes au boulot et mes voisins qui se font du souci pour mon sort de temps en temps. Surtout il y a mon patron, le Commissaire G–, un homme qui a une quarantaine d'années ou même une cinquantaine, je n'en suis pas sûr, mais son âge ne vaut rien parce qu'il est un bon fort mec, sel et poivre aux yeux marron clair et fait environ un mètre quatre-vingt dix, bien solide et fortement beau . . . je l'aime très bien, il est un peu mon héros à cause de son comportement toujours placide même en danger aussi bien que dans ses actions quotidiennes. Ma faute la plus grande est d'être trop sensible et trop facilement ému soit aux larmes soit en colère, mais ça ne semble pas gêner du tout le patron. Dés mon arrivée à l'unité spéciale, il m'a pris sous son aile et me guidait dans les voies convenables, me montrait les formes correctes et comment les remplir, m'a fait un vrai membre d'équipe et semblait me porter un intérêt particulier au-dessus de l'intérêt amical il montrait aux autres. Il me semblait qu'il me considérait presque comme son cadet, son petit frère bien-aimé, et j'ai avalé bec béant son intérêt, il me guérissait des blessures d'une vie trop longtemps délaissée et sans point fixe. C'était de lui que j'ai appris de garder mon sang-froid parce qu'il n'était jamais en colère . . . sauf en cas spécial, ce que je vais te raconter maintenant.
Aux touristes, Paris est la ville des lumières mais à moi, elle est juste Paris - une grande ville comme beaucoup d'autres, mais ma ville, la ville où je bossais et vivais depuis toujours. Il n'y a aucune autre place pour moi et autant que je souhaite une ville saine et sauve, je bosse sans cesse pour la remettre comme il faut. Nous surveillions une ruelle du quartier où depuis quelques semaines il y avait des rapports des viols et de petites agressions contre le voisinage. On nous a dit que c'était toujours la même bande de jeunes voyous, menée par un chenapan skinhead âgé environ dix-neuf ans et, bien sûr, nous avons éventuellement attrapé ce jeune vaurien en pleine piste d'un lâche chantage d'une vieillarde pauvre au coin de la rue. Il s'est battu contre nous assez farouchement mais enfin nous l'avons pris et l'avons entraîné jusqu'au commissariat où nous l'interrogions pour démasquer l'ampleur de sa carrière minable et ses complices. Il nous a mené en beau jeu de chasse pendant des heures et j'en ai finalement marre de toutes ses conneries et son attitude exécrable et culottée : je l'ai cogné avec toute ma force. Ce qui n'aurait pas été une si mauvaise action sinon, à ce moment exact, la porte n'avait pas ouvert et son avocat commis d'office n'a pas franchi le seuil et pour mettre bonne fin à l'histoire, on nous a contraints à laisser tomber toute l'affaire.
Mon patron était calme et imperturbable pendant toute la scène publique mais m'a indiqué de le suivre dans son cabinet après le départ du voyou et son avocat. Il a fermé la porte et puis lentement, délibérément, a tiré les jalousies sur les fenêtres qui séparaient son cabinet de l'office au large et de la vue de mes potes et camarades d'équipe. Il a fait un petit tour de son bureau et puis m'a fait face et je voyais enfin son visage, furibonde et sombre comme un nuage d'orage :
Qu'est-ce que tu as fait ?
J'étais, pour la première fois, extrêmement nerveux en face de cette colère inattendue de son part et commençais à balbutier :
Patron, désolé, vraiment, je suis désolé, mais je ne savais pas que son avocat était là, et ce fripon avait commence à m'énerver vraiment avec toutes ses conneries et gaudrioles . . .
Silence, silence totale, rien de plus sauf son regard implacable et déconcertant . . .
Vraiment, patron, je ne savais pas . . .
Silence ! Tu as gâté toute une investigation avec ton poing et en plus maintenant il y aura probablement une investigation intérieure de toute mon équipe - vraiment, tu as raté non seulement moi mais tous tes potes et camarades et nous as traînés dans la merde !
Je commençais à comprendre le train de conséquences qui pourraient dérouler de ma bêtise et avais franchement honte de ma conduite mal pensée et inopportune. J'ânonnais de plus :
Patron, j'ai honte, sérieusement, je ne savais honnêtement pas ce que mon action développerait, je suis désolé, je ferai tout afin qu'on disculpe toute l'équipe s'il y a une investigation intérieure ! Vraiment, patron, je ne savais pas et si vous voulez . . .
Tais-toi ! Idiot ! Tu penses effectivement qu'il y a quelque chose que tu puisses faire pour améliorer le pétrin où tu nous as mis ? Tu as déjà assez fait, je te jure ! Mais plus sérieusement je ne sais pas comment te régler dans cette affaire : je dois te donner quelque espèce de blâme formel ou te congédier ou même te déplacer dans un autre département . . . ta bêtise te vaut être rétrogradé en gardien de croisement !
Je me sentais abasourdi et presque au bout de souffle . . . rétrogradé ! J'aimais mon dodu et de ne pas pouvoir travailler comme vrai flic me détruirait . . . je me sentais les yeux remplis de larmes et un nœud liait ma gorge . . . et sans le demandant je me suis enfoncé dans un fauteuil en face de lui. Qu'est-ce que je pourrais faire ?
Patron, s'il vous plaît, Patron, je ferai tout, je ferai n'importe quoi pour sauvegarder ma position, mon boulot, je vous prie, Patron . . . je vous prie !
J'étais au bord des larmes et le suppliais de ne pas me renvoyer quelque part où je serais tout à fait perdu, sans respect, sans espoir et plus important, sans mon guide le patron. Il me regardait austèrement et ne me disait rien mais continuait à penser tout en frottant le bout de son menton avec ses doigts. Il s'est assis dans son fauteuil et tiré un papier d'un fichier sur le bureau. Tout en écrivant il a commencé à me parler :
Tu sais, Jean, je m'occupais de toi depuis longtemps. Dés ton arrivée, je me suis senti comme ton aîné aussi bien que ton patron. J'aimais bien ton dynamisme, ton énergie et en plus j'aimais bien ton air un peu comme un chiot abandonné, ça me plaisait énormément tu sais, c'était comme si tu avais besoin de moi et personne d'autre. Mais maintenant, comme un mauvais chiot, tu as chié sur le tapis et il faut te corriger, n'est-ce pas ? Et c'est moi qui dois te châtier, te corriger de tes fautes fort sérieuses . . . et crois-moi, je vais le faire !
Il me donnait le papier sur laquelle il avait écrit ses instructions, mais j'étais trop étonné et inquiété de sa parole pour les lire au moment. Il parlait encore :
Suis ces instructions à la lettre ! Retourne ici à minuit quand l'équipe est partie et le commissariat sera vide. Maintenant, dehors !
Oui, Patron, mais Patron, qu'est-ce que c'est qu'il s'en agit ? Dois-je faire quelque chose particulière ? Et pourquoi minuit . . .
Assez, Jean ! Dehors ! Et n'oublie pas, minuit point !
Oui, Patron. Minuit point, je vous obéirai.
Je suis sorti de son cabinet tout en serrant fortement le papier d'instructions. J'étais perdu, je ne savais pas de quoi à penser . . . qu'est-ce qu'il voulait se passer à minuit ? J'ai jeté un coup d'œil sur le papier et puis me suis senti cloué en place :
"1. Douche-toi bien, rase-toi bien et apporte ton rasoir et savon à barbe ici. 2. Mets-toi en jean et tee-shirt, des chaussettes blanches de sport, des chaussures de tennis. 3. Porte un nouveau caleçon court et blanc. 4. Ne sois pas en retard, attention ! "
J'étais tout à fait bouleversé, je ne savais pas où ces instructions pouvaient me conduire, mais je savais qu'il n'était pas de choix si je voulais préserver mon boulot. Qu'est-ce que c'était la pensée du patron en me donnant des telles directives ? C'était complètement bizarre à mon avis, mais je le ferais comme il voulait. C'était mon patron et je savais qu'il avait raison, j'avais réagi comme un mauvais chiot et à n'importe quel prix je voulais remettre tout en règle. Mais qu'est-ce qu'il entend avec ses mots de "châtier" et "corriger ?" S'agit-il d'un tribunal inquisitorial ou quelque paperasserie pour laquelle il n'avait pas de temps au moment ? Mais dans ce cas, pourquoi le costume particulier ? Il n'y avait rien à faire en tout cas donc je devrais attendre le sort de cette affaire mystérieuse.
Je suis parti à l'heure habituelle et allais au bar du voisinage . . . j'avais besoin d'un verre ou trois pour me secouer et me donner un peu de courage afin que je puisse me soumettre aux épreuves obscures qui arriveraient. J'ai bu mes verres trop vite et par conséquent sentais un peu émoustillé : je savais que j'aurais dû manger mais étais trop nerveux de le faire et lorsque je rentrais chez moi, avec trois verres de plus, j'étais complètement soûl comme une bourrique et ne pouvait pas m'empêcher de m'endormir. Je me suis éventuellement éveillé à onze heures quinze . . . merde !! J'aurais à peine du temps pour me préparer et ne pourrais qu'arriver en me dépêchant tout de suite avec les préparatifs exigés. Donc j'ai pris une douche, me suis rasé et puis me suis précipité au commissariat mais ne pouvait m'empêcher d'être cinq minutes en retard dont je ne pensais pas comme grande faute . . . .
Il n'y avait qu'un gardien à la porte, tout le commissariat était dans l'ombre sauf des lumières d'urgence rousses près de l'escalier. J'ai monté au deuxième étage et suis allé au cabinet du patron. J'ai cogné à la porte, et en entendant son "Entre !", je l'ai ouvert et fait entrée dans les ténèbres. Un éclairage s'était soudainement allumée et j'étais étonné de voir le patron assis devant son bureau en tenue similaire à la mienne sauf complètement en noir, même son jean était en noir. Je ne l'avais jamais vu décontracté, et sa tenue me révélait exactement comment il était si bien charpenté - des bras forts, bien musclés et légèrement poilus, une petite touffe qui se révélait juste au-dessus du col de son tee-shirt, et dans son jean j'ai vu une bosse énorme de laquelle je ne pouvais arracher mon regard.
Tu es en retard, Jean. Je t'ai prévenu.
Oui, Patron, je le sais. Désolé mais il y avait un . . .
Arrête, Jean. Je peux sentir l'alcool sur ton haleine. Tu buvais et t'es probablement endormi depuis des heures, non ? Ça, en plus d'être en retard, te coûtera cher, Jean, très cher. Est-ce que tu as au moins pris une douche et t'es rasé comme instruit ?
Oui, Patron. Et voilà mon matériel à raser. Qu'est-ce qui se passera maintenant, Patron ? Vous avez quelques formules à remplir ou un tribunal où je dois passer des épreuves ? Mais il n'y a personne d'autre ici . . . .
Il a levé la tête en souriant d'une façon étrange, et a rétorqué :
Non, Jean, pas de tribunal en fait ni formules à remplir. Mais des épreuves, oui, Jean, dans une façon, oui, des épreuves. Est-ce qu'on ne t'a jamais châtié à faute de tes conneries, Jean ? Jamais ?
Je commençais à devenir encore très nerveux, et en traînant fébrilement les pieds j'ai répliqué :
Non, Patron, jamais. Vous savez que je suis orphelin depuis toujours et étais abandonné au couvent de Franciscains en banlieue. Quand j'ai fait des petites conneries, on m'a forcé de prier pendant des heures, mais il n'y avait jamais question de la punition corporelle.
Il souriait et a dit :
Ah bon. Donc c'est l'heure d'amender ce manque dans ta vie, Jean. Tu as fait aujourd'hui une bonne connerie, n'est-ce pas ? Tu nous as coûté cher dans l'affaire du voyou, Jean, et en plus je devrai régler cette affaire au commissariat central avec M. le Directeur, ce qui me gênera beaucoup et reflétera mal dans tous nos dossiers. Qu'est-ce que je devrais faire avec toi, Jean ? Comment rectifier ton ânerie envers moi et tes potes ? Qu'est-ce que tu en penses, Jean, eh ?
J'étais maintenant vraiment nerveux parce que je savais ce qu'il attendait d'entendre de moi, que je méritais une punition et, selon sa parole, une punition corporelle et dure. Je me sentais la sueur qui ruisselait sur le dos et avais les jambes engourdies de peur mais je ne voyais aucune façon de me tirer de cette impasse. En plus, je commençais à me sentir à la fois coupable et désirant de cette punition pour me servir d'une propre pénitence afin que je puisse être pardonné et remis dans la bonne grâce de l'équipe, sans parler de ma fascination de la bosse dans le jean du patron et les sentiments qui commençaient à bouillonner dans le ventre et le frisson qui faisait de ma braguette un point de contact électrique. Néanmoins je ne pouvais me contraindre de renifler un peu, avec un nœud encore à la gorge et brusquement je ne me suis plus senti comme un grand garçon, un beau mec tout grandi, mais comme un mauvais garçon tout petit, mal élevé et méritant une bonne raclée.
S'il vous plaît, Patron, je ne sais pas comment répondre, je sais que j'étais bête aujourd'hui et que j'ai fait un mauvais tour à l'équipe par ma bêtise mais j'ai peur, Patron, je ne sais pas si je peux supporter une telle correction comme vous avez insinué vouloir me donner. Je vous prie, Patron, vraiment vous prie, ne me donnez pas une fessée comme ça : pitié, Patron, pitié !
J'avais tellement honte parce qu'au milieu de mes mots j'avais commencé à pleurer, pas comme un veau mais néanmoins avec les larmes aux yeux et d'une voix entrecoupée. Je savais véritablement que je n'étais maintenant plus un homme adulte mais un mauvais garçon, un garçon qui allait recevoir un châtiment acharné et épouvantable et ce qui me donnait plus de frayeur était que mon patron, celui qui j'aimais plus que personne, était l'homme qui allait me le donner et il m'entendrait gémir, supplier, et pleurer comme un enfant. Mais il y avait aussi un sentiment de désir, un besoin d'avoir cet homme me prendre en contrôle et me donner une direction plus précise et plus intime qu'avant. J'avais besoin de mon patron, de cet aîné mal reconnu, d'un frère fort et rigoureux qui me donnerait une touche humaine à l'âme par son soin de mon bien-être. Quelle étrangeté ! J'ai rendu compte que j'avais besoin de cette raclée, de sa rigueur et de la punition de sa main et que mon cœur et mon corps seraient mieux servis de sa sévérité plutôt qu'une réprimande formelle ou qu'un déplacement d'ailleurs. Cependant, au moment il parlait encore mais sur une piste imprévue :
Arrête tout ça, Jean, il est inutile. Est-ce que tu sais qu'il y a dix ans, j'ai fait un programme d'échange aux Etats-Unis pour mieux connaître leurs méthodes policières et la façon dans laquelle ils traitent leurs criminels ? C'était fortement instructif, surtout parce que j'étais en Louisiane à Nouvelle Orléans où les vieilles méthodes n'ont jamais perdu leur efficacité.
Il s'est mis debout et est allé derrière le bureau où il a tiré d'un tiroir un instrument qui aurait fait peur à n'importe qui : c'était une courroie ou sangle de cuir, environ soixante centimètres de long et dix centimètres de large, de cuir très lourd avec un manche, lustré de bon usage et du cirage. Je me suis entendu pousser un cri tout bas en le voyant, c'était un instrument de correction, un vrai fouet, et j'avais anxiété de le sentir appliqué à ma peau.
Ils l'appellent un "prison strap" ou fouet de prison. Il est réputé d'avoir un effet profondément correctif sur les prisonniers et les criminels et je l'ai vu en usage seulement une fois, mais crois-moi, je n'ai jamais vu un suspect devient plus coopératif en moins de temps ! Je pense, Jean, qu'il aura un effet également efficace sur toi, pour te faire rappeler la loi et nos règles tout le temps mais aussi pour te faire rappeler que je suis là tout le temps, te surveillant et gardant ton bien-être malgré tes propres actions et comportement. Tu comprends ça, Jean ? Je deviens de cette nuit ton maître, Jean, en plus que ton patron, ton ami et ton aîné. Tu comprends ? Dis oui, Jean, et me demandes comme il faut ta punition.
Pendant cette parole, il s'est encore assis dans le fauteuil au milieu de la chambre en claquant le fouet dans sa main. J'étais maintenant vraiment terrifié et savais qu'il n'y avait pas de recours ni appel de mon nouveau maître. Je me sentais les larmes qui sautaient aux yeux et je tremblais de la tête aux pieds. Il voulait que je prenne la parole mais pour dire des choses humiliantes et pénibles et je ne savais pas d'être capables de les constater. Cependant il me semblait n'avoir aucune évasion et d'ailleurs il y avait tous ces sentiments nouveaux dans le cœur et dans le ventre et je me sentais curieusement excité par cette nouvelle attitude du patron.
Heu, Patron, je comprends bien ce que vous voulez . . . mais je suis trop déconcerté pour savoir comment commencer . . . heu, eh . . est-qu'il y a quelque chose que je puisse dire pour adoucir ma punition ou quelque moyen de l'esquiver ? Ah non, je vois que c'est non ta réponse . . . .
Jean, vite . . . fais comme je te dis . . . déshabille-toi jusqu'au caleçon et des chaussettes - maintenant !
Zut ! Il était aussi sérieux qu'une crise cardiaque ! Mais la tape, tape, tape du fouet dans sa paume me plaquait en place jusqu'à, soudainement, il m'a donné une bonne 'Claque !'sur la cuisse gauche et j'ai sauté un peu en frottant mon jean.
Maintenant, Jean, fais-le !
C'était le moment à faire définitivement ma décision et mon esprit était tout à fait éberlué mais je pensais 'ah bon, quand le vin est tiré, il faut le boire,' donc j'ai débouclé ma ceinture et ai enlevé mon jean après avoir mis mes chaussures au côté. J'ai laissé tomber mon jean et avec un coup de pied le mis près des chaussures - 'Claque !'- un autre coup sur la cuisse droite - mon Dieu, ça faisait du mal !
Mets-le en règle, Jean !
Oui, Patron, tout de suite !
Je me suis penché pour les mettre en règle comme demandé et puis ai enlevé mon tee-shirt en faisant attention de le plier consciencieusement sur mes autres vêtements. Maintenant je me tenais debout devant mon maître, mon patron, vêtu seulement du caleçon et des chaussettes, les mains se serrant nerveusement l'un l'autre.
Commence, Jean ! Demande ta punition comme le mauvais garçon que tu es !
Oui, Maître. J'étais un mauvais garçon, j'ai bêtement réagi aujourd'hui et mérite d'être puni comme il faut. Je sais que vous ne gardez que mon bien-être en tête et que vous allez me donner cette raclée pour m'apprendre d'avoir plus de sagesse dans l'avenir. Vous êtes mon maître et j'appartiens totalement à vous. Je suis vraiment désolé, Maître, désolé, et savais que cette correction est ce dont j'ai besoin. Fessez-moi, Maître, donnez-moi une bonne fessée pure et dure pour m'apprendre que je ne suis qu'un mauvais garçon sans votre attention et votre vigilance. Je mérite cette bonne raclée, Maître, donnez-la-moi.
J'avais dit les mots et pendant ma récitation les larmes avaient sauté aux yeux et je me suis vraiment senti comme le mauvais garçon que je m'affirmais d'être. Ma sensibilité me servait très mal au moment - ces larmes, ma peur, tout m'acheminait vers un état hypersensible et j'ai connu ma faiblesse, j'ai su que dès le premier ou deuxième coup je pleurerais comme un veau, implorerais la pitié, et qu'il n'y avait rien qui peut édulcorer ni ma position ni ma punition ni la douleur qui la suivrait.
Bon, très bien dit, Jean. Je t'accorderai ce que tu as sollicité. Viens ici et penche-toi sur le bureau, mets les mains aux côtés de la surface et écarte grandement les jambes . . . plus largement que ça, maintenant, garçon ! Bon . . . tu es prêt, Jean, d'apprendre la leçon que je vais te donner ?
Je tremblais de peur. Mes fesses se contractaient et se décontractaient involontairement sous le tissu bien tendu du caleçon mais malgré la peur et mes tremblements je me sentais bandé comme une bête avec une petite goutte de foutre au bout de la glande. Je commençais à balbutier ma réponse, Oui, Patron, je suis . . . quand le 'strap' est brusquement tombé sur mes fesses comme un coup de tonnerre - 'BAFFE !' - d'abord, je n'ai rien éprouvé et puis . . . oh mon Dieu merde !! Ça brûlait ! Je ne pouvais m'empêcher de pousser un "ooohh !" tout bas et mes fesses se serraient et s'étendaient en réaction. Et alors sans plus d'avertissement une vraie pluie de coups m'arrivaient les uns rapidement après les autres : 'BAFFE ! BAFFE ! BAFFE ! BAFFE ! BAFFE ! BAFFE ! BAFFE ! BAFFE ! BAFFE !' Je bougeais et me tortillais d'un côté à l'autre mais en n'oubliant pas de garder fortement les mains serrant le bureau et puis la douleur commençait à se faire sentie dans mes fesses. Je n'ai pu croire le niveau de la douleur, c'était comme tout l'univers est devenu rien sauf le feu et la douleur la plus exquise, la plus incroyable et encore ne pouvais m'empêcher de baragouiner, les mots intercalés avec mes cris plus et plus forts et pleins d'angoisse :
Oooh ! OOOH ! Oh Patron, Patron, pitié ! Désolé, Patron, désolé ! OOOH ! Ça brûle, ça brûle ! AAAH, Maître ! Je vous prie, Maître, je suis désolé ! OOOH ! AAAHH ! OOH ! Maître, Maître, je vous prie, pas plus, Patron ! PAS PLUS ! OOOH ! Maître, Maître, désolé, Maître ! Pas Plus ! OOOH !
Chaque cri était accompagné des claques du fouet, mes fesses étaient en plein feu et ce que j'ai redouté le plus s'est arrivé, j'ai commencé à pleurer comme un mauvais garçon recevant sa punition de la main de son père furibonde.
Oooh, Patron ! OOH, pitié, Maître, pitié ! AAHH, OOOH, ça brûle, Patron, pas plus, Patron, PAS PLUS ! AAIIEE, oh, Patron, AIEE !
'BAFFE ! BAFFE ! BAFFE ! BAFFE ! BAFFE !' Les larmes inondaient mes joues, je hurlais, pleurais et braillais comme un enfant, et avais complètement oublié l'excitation d'avant de ma bite. Je ne craignais pas que quelqu'un pouvait m'entendre parce que j'étais tout à fait au côté de moi-même, je n'avais peur que la raclée n'arrête jamais. Je larmoyais tout en percevant que les coups ont cessé de tomber. J'ai continué à pleurnicher en espérant contre toute attente que ma fessée était finie. Les mots prochains m'ont désabusé de ce dérisoire espoir :
Arrête de pleurnicher, Jean ! Nous n'avons pas fini, pas encore ! Cette raclée-là avait pour but la correction de ta faute d'aujourd'hui, cette scène désagréable avec ce voyou mesquin. Mais je dois m'occuper maintenant de toute une autre affaire, il s'agit de nos relations. Je suis ton patron et j'espère l'être pour longtemps : mais désormais je suis aussi ton maître, ton père disciplinaire et ton aîné exigeant et impitoyable. Tu comprends ça, Jean ? Est-que tu es d'accord ?
[des reniflements] Oui, Patron, oui, je suis d'accord. Vous êtes maintenant mon maître, et j'appartiens à vous. Oui, Patron, oui, ça me convient bien [plus de reniflements].
Très bien, Jean. Maintenant, en fonction comme ton maître, comme ton aîné, je vais régler notre compte et je vais remplir tous tes besoins du passé, tes besoins que personne n'a jamais rempli pour te rendre bon garçon et puis bon mec. Prépare-toi, Jean, parce que maintenant tu vas recevoir une raclée plus intime, plus dure et plus profonde que jamais !
Et avec ces mots, mon patron m'a baissé le caleçon jusqu'aux mes chevilles et l'enlevé pour le mettre par terre près de mes autres vêtements. Depuis sa phrase dernière j'avais commencé à pleurer à nouveau mais l'enlèvement de mon caleçon m'a privé du souffle. Malgré la peur grandissante ma bite se gonflait encore et aussitôt j'étais en pleine excitation, la glande coincée contre le bureau et mes couilles chaudes vibrant dans la fente d'entre-jambes.
Bouges pas, Jean ! Je retournerai tout de suite !
Je l'ai entendu partir de l'office et pendant le temps qui a suit j'ai contemplé le pétrin dans lequel je me suis fourré. Mon patron, LE Patron (!) était devenu mon maître, LE Maître de ma vie et s'était déclaré d'être plus proche à moi que personne d'autre . . . ce qui n'était pas, pour vrai dire, si différent d'avant, mais quelle différence ! Je m'y trouvais, tout nu, mes fesses en feu, pleurnichant et pleurant comme un bébé, attendant encore une fois une raclée et je l'aimais, l'aimais vraiment ! Quelle bizarrerie ! Ma bite m'envoyait aussi des messages plus secrets, des messages qui disaient que cette correction me remplissait d'un sentiment profondément assurant, que maintenant j'avais quelqu'un qui s'occuperait de moi, qui satisferait mes besoins visibles et cachés et de ce point, qui savait ce qui suivrait ? Avec un bruit à la porte, j'ai entendu la rentrée du patron, qui est allé à mon sac et a tiré mon équipement à rasoir . . . et alors, je me sentais ses mains palpant et frottant mes cuisses et mes fesses et il disait :
Il n'est pas bien, Jean, d'avoir la peau poilue d'un mec quand tu reçois une fessée donc à l'avenir, avant chaque correction, je vais te raser afin que tu te me présentes comme un mauvais garçon qui attend sa punition, tu comprends ?
Oui, Patron, je comprends bie . . ' TAPE !' . n. AIIEE !
. . . il m'a claqué d'une main dure sur ma fesse droite !
Pendant nos sessions, Jean, c'est toujours "Maître" sauf en pleine fessée. Comprends ?
Oui, Maître, oui !!
Je ne pouvais m'aider, j'ai commencé à nouveau à pleurer, sa main me donnant beaucoup de douleur ! Je percevais encore ses mains sur mes fesses et puis il introduisait ses doigts entre mes fesses et tâtonnait dans la crevasse, le bout d'un doigt frottait mon anus et j'ai poussé un petit cri de plaisir et désir :
Nous nous y en occuperons plus tard, Jean, mais au moment il faut finir ce que nous avons déjà commencé.
Je me sentais la mousse à raser sur mes fesses et dans la fente et puis le rasoir glissant sur ma peau - une serviette a fini le travail et j'ai entendu mon maître s'élève et met l'équipement à part. Plus de bruit et de mouvements et alors sa main encore sur mes fesses :
Bon, Jean, maintenant je vais recommencer. Est-que tu es prêt de t'offrir à la fessée et à moi comme ton Maître ? Est-que tu es d'accord de devenir mon garçon, mon puîné, mon élève et tout ce que je te veux être ?
Encore ai-je commencé à pleurer mais ai répondu du fond de mon âme :
Oui, Maître, je suis prêt. Je serai tout ce que vous voulez. Je serai votre garçon, votre élève, votre n'importe quoi . . . Maître, je suis le vôtre. Punissez-moi, Maître, j'en ai besoin.
J'ai entendu le fouet sifflant dans l'air et alors, 'BAFFE ! BAFFE ! BAFFE ! BAFFE ! BAFFE !' et la douleur était indescriptible et insupportable ! Sur la peau nue, il n'était pas simplement question d'une raclée mais d'un bâton de fer électrique me frappant chaque fois et je me sentais la peau zébrante et brûlante, gonflante sous les forces du strap et de la main de mon Maître. J'ai un peu perdu la tête et commencé à hurler fortement :
AIIIEEE ! Maître ! Maître ! AIIIEE !! Ça brûle, Maître ! OOOH, AIIEE !! OOOOH ! Oh, Maître, je vous prie, pas plus, PAS PLUS ! JE NE PEUX LE SUPPORT-E-E-E-R !!
Mais mes cris tombaient sur un sourd. Je me penchais plus étendu sur le bureau et mes jambes ruaient dans l'air mais rien ne pouvais empêcher le patron de me frapper encore et encore, et je continuais à crier fortement et pleurer abasourdissement pendant que le fouet m'arrachait les fonds les plus profonds de mon cœur, 'BAFFE ! BAFFE ! BAFFE ! BAFFE ! BAFFE !
OOOOH Maître ! Patron, je vous prie, PATRON ! AAIIEE ! PITIÉ, MAÎTRE, PITIÉ !! OOOH AAIIEE !
Je sanglotais et les larmes étaient une rivière sur mes joues, ma voix est devenue rauque mais la correction continuais encore et je pensais pour toujours . . . 'BAFFE ! BAFFE ! BAFFE ! BAFFE ! BAFFE !' :
AAIIEE ! PAS PLUS, Maître, PAS PLUS !! OOOOHAAIIEEE ! Désolé, Maître, désolé ! AAHOOHAAIIEE ! OH, PAPA, DÉSOLÉ, PAPA ! AAAIIIEEE !!! OH PAPA, PAS PLUS, JE SUIS DÉSOLÉ !! OOAAIIEE, DÉSOLÉ PAPA !!!
Je sanglotais et pleurais maintenant comme une madeleine et a finalement perdu la voix. Je ne pouvais faire que des cris inintelligibles et étais rongé au plus profond abîme de mon être. Je geignais et sanglotais incessamment et ne rendais pas compte que la raclée avait terminé jusqu'à, enfin, j'ai entendu les chuchotements du Patron dans mon oreille et sa main frottant si légèrement mes fesses :
Chut, garçon, chut ! Ssssshhh, chut, tout va bien, mon petit garçon, chut, sssshhh ! Sssh, chut, Jean, je suis là, je suis là, chut, ssssh, tout ira bien, très bien, mon petit garçon, ssshhhhh ! Du calme, du calme ! Il faut bien finir maintenant, vas-y, sur mes genoux, vas-y Jean !
Oooh, Maître, je vous prie ! Pas plus, je vous prie, pas plus !
Mais il m'a pris le bras et m'a jeté à travers de ses genoux et levant sa main il a commençais à me donner une bonne fessée à l'ancienne accompagnée de mes cris, et j'ai donne libre cours aux larmes et aux gémissements . . . 'TAPE ! TAPE ! TAPE ! TAPE ! TAPE ! TAPE ! TAPE ! TAPE ! TAPE ! TAPE ! TAPE ! TAPE ! TAPE ! TAPE ! TAPE !'
OOH Maître ! Aaaah, oooh, Patron ! EEEII ! AAAIIIEE ! OOOH, je vous prie, Maître ! Pas plus, Patron, PAS PLUS ! AAAIIIEE ! AAIIEE ! AAIIEE ! OHHH, PAPA, JE VOUS PRIE PAPA PAS PLUS ! ASSEZ PAPA ASSEZ ! JE SUIS DÉSOLÉ ! JE SERAI UN BON GARÇON PAPA, JE VOUS PROMETS JE SERAI BON ! AAAIIIEEE ! PAPA, PITIÉ, PAPA, PITIÉ ! OHHHAHHAIIEE ! AAIIEE ! AAIIEEOOH ! OOH ! AAIIEE ! JE VOUS PRIE PAPA PAS PLUS ! JE SERAI BON PAPA JE VOUS PROMETS !!
La fessée est finie et j'ai crié pendant vingt minutes, tout le temps ses mains sur mes fesses, frottant et palpant si délicatement ma peau . . . . Il continuait à chuchoter :
Tu as fait très bien, Jean, chut, ssshh. J'attendais le brisement de ta volonté et ton esprit, et tu les as enfin rendus avec ton 'Papa !'. J'ai accompli ce que je voulais accomplir, je t'ai rendu entièrement et totalement le mien pour toujours. Tu es maintenant le mien, Jean, le mien. Tu comprends, Jean ? Nous sommes maintenant un être, Jean, nous nous appartenons l'un à l'autre pour toujours, Jean, tu es le mien et je suis le tien . . . ssh, chut, sssshhhh.
Pendant sa parole, il m'avait pris dans ses bras et me serrait fortement contre sa poitrine et je criais et criais et criais. Enfin je me suis contrôlé et embrassais sa poitrine et sa gorge et puis ses mains je ne sais combien de fois.
Bon, Jean, bon, tout va bien maintenant, Jean, tout va bien. Ramasse tes vêtements et tes choses, Jean. Nous allons rentrer chez moi, maintenant, Jean, pour dormir ensemble et pour solidifier notre pacte. Il n'y a pas de question de rapports ce soir, Jean, c'est seulement pour être ensemble et pour te donner de la paix et de la solidité, tu sais. Vite, Jean, ramasse tes choses, on y va tout de suite.
J'ai ramassé mes vêtements et mes choses et l'a suit doucement et paisiblement hors de l'office. Mon maître, mon père et frère, mon aîné, mon patron. J'étais content. C'était tout à la fois une nouvelle vie et je pensais que, vraiment, j'étais finalement arrivé chez moi, j'étais enfin arrivé. La Fin (© 2000 UrMarkus)