Le mercredi après-midi, je vais m'entraîner au foot avec d'autres mecs d'une douzaine d'années comme moi. En général, le dimanche, nous avons des matchs contre d'autres villes du département. Notre équipe est constituée de 11 gamins, mais " équipe " est un bien grand mot car nous jouons plutôt perso. Nous nous engueulons tout le temps sur terrain " pourquoi tu ne m'as pas passé la balle ? j'étais mieux placé ". Tout cela se termine en général par un début de bagarre que tu essayes de stopper. Toi, tu as dix-huit ans, tu fais des études pour devenir prof de sport et, pour ton temps libre, tu es notre entraîneur de foot bénévole.
Ce mercredi après-midi, comme d'habitude, le jeu sur le terrain se passe mal. Depuis pas mal de temps déjà tu as repéré les faiseurs de troubles : moi bien sur mais aussi Thomas, un petit blond très costaud pour son age, Mathias, le plus grand de la bande, cheveux bruns très courts et superbes yeux bleus et enfin, Xavier, toujours en train de se toucher les couilles à travers son short. Tu nous as fait souvent la morale pour nous expliquer qu'on serait meilleur à jouer ensemble que chacun pour soit, que tu ne tolérerais plus les bagarres. Mais en vérité, on s'en foutait car ton pouvoir n'était que verbal et que tu ne pouvais pas en renvoyer un seul car l'équipe aurait été en sous-effectif.
Après l'entraînement, nous sommes tous sous la douche en train de nous laver mais aussi, car les douches ne sont pas séparées, en train de nous mater discrètement les uns les autres. Je suis à l'âge où l'on a envie de savoir si on est comme les autres. La plupart des mecs ont des bites qui ont déjà grandi comme la mienne avec quelques poils au tour. Xavier savonne copieusement sa tige, je pense qu'il en profite pour la faire un peu grossir : " T'aimerait bien en avoir une comme ça, hein Christophe ? ". Je lui réponds en me caressant la mienne : " vaut mieux une petite travailleuse qu'une grosse feignante ". Les autres se marrent. Tu entres soudainement dans la pièce : " Thomas, Mathias, Xavier, Christophe, j'ai demandé à vos pères de venir vous chercher ce soir. Vous les attendez pour partir devant mon bureau ".
D'un coup, tous les quatre, nous arrêtons de déconner et restons silencieux. Dans ma tête, je me dis que tu vas raconter à nos pères notre conduite et je me demande comment mon père va réagir. Va-t-il me faire simplement la morale au retour en me donnant une chance où va-t-il, il J'ai l'impression que les trois autres sont embêtés aussi. Jean un garçons qui se tenait bien sur le terrain et qui n'aimait pas notre façon de nous comporter se moque de nous : " J'en connais qui vont recevoir une bonne fessée en rentrant chez eux ce soir ". Fabrice, le gardien de but, en rajoute " Et les gars, vous croyez qu'ils auront les fesses rouges dimanche pendant la douche ". Ils ont mis dans le mille et notre silence en dit long sur le programme à venir.
Nous nous habillons lentement et sortons en survet attendre devant ton bureau où nos pères viennent de rentrer. On entend assez bien ce qui se dit à l'intérieur car la porte est entrouverte. Tu leur a expliqué la situation et tu termines ton speech ainsi : " Messieurs, si je vous ai demandé de venir aujourd'hui c'est parce que je ne sais plus quoi faire pour convaincre vos garçons qu'ils se conduisent mal et qu'ils font perdrent toute l'équipe chaque semaine. J'en ai vraiment assez. J'ai bien envie de laisser tomber ". C'est le père de Mathias qui réagit le premier " Non, vous faites du bon boulot, vous devez continuer. Je vais avoir une sérieuse conversation avec le mien ce soir, les choses vont vites rentrer dans l'ordre ". Le père de Xavier est plus ferme : " Une conversation. Le mien a passé l'âge. Cela n'a plus d'effet sur lui. Non, une bonne trempe au martinet, il n'y a que ça qu'il comprend ". Nous regardons tous Xavier, étonné de découvrir le sort qu'il l'attendait chez lui. A ce moment-là, je me sentais assez proche de lui.
Je ne devais pas être le seul car le père de Thomas en rajoute : " Oui, vous avez raison, c'est une bonne idée. Une bonne fessée au martinet voilà qui le fera réfléchir un peu. Je commence vraiment à en avoir assez de sa conduite. J'en achète un en sortant d'ici. Tu vas voir ce qu'il va prendre ce soir. Il y a bien longtemps que j'aurai dû agir ainsi ". Mon père n'est pas en reste : " Je compte bien aussi corriger Christophe ce soir. Je crois aussi qu'ils méritent la même sanction et qu'ils devraient recevoir la même punition ". Les autres pères acquiescent. Le père de Mathias, qui ne se voyait peut-être pas corriger son fils de cette façon, complète ces propos : " Vous avez entièrement raison. Et je pense que si cette punition était administrée par vous, en tant qu'entraîneur, ces garçons craindraient un peu plus à l'avenir vos décisions ". Les paternels réagissent favorablement avec des " très bonne idée ". Tu sembles très satisfait de ces réactions " Si cela vous convient, je procéderai à la correction Dimanche après le match ".
Tous les quatre devant le bureau, nous sommes très silencieux et abattu par la nouvelle. J'imagine que les autres, comme moi, se demandent comment tu vas procéder. Les minutes qui suivent allaient nous donner quelques indications. Tu reprends la parole : " Je veux juste que nous soyons d'accord sur la sanction. Combien voulez-vous que j'applique de coups de martinet sur leur short ? ". Le père de Xavier réagit au quart de tour " Sur leur short ? vous plaisantez ? Une punition de ce type pour être efficace et douloureuse doit être donnée cul nu ". " Humiliation garantie " ajoute mon père. Le père de Thomas précise : " il faut que la fessée soit sévère si vous voulez qu'ils vous craignent et ne pas recommencer la même séance toutes les semaines ". Les événements dépassent tes espérances : " Bon très bien, cela ne me pose aucun problème, mais vous ne m'avez pas proposé le nombre de coups. Vous qui semblez-vous y connaître, qu'est ce que vous proposez ? ". Le père de Xavier, plutôt satisfait de cette remarque précise : " A leur age et compte tenu des nombreux avertissements, je crois que vous pouvez donner entre 30 et 50 coups de martinet ".
La réaction de Xavier qui est debout me fait sourire : il se touche les fesses à travers son survet comme pour plaindre à l'avance son petit cul. Le père de Mathias semble vouloir atténuer la punition : " Etes-vous d'accord, si nous laissons l'entraîneur décider entre 30 et 50 ? Il tiendra ainsi compte de leurs efforts, pendant le prochain match, pour mieux se comporter sur le terrain ". Les autres pères répondent par l'affirmative, mais montrent peu d'enthousiasme pour cette idée. Je pense qu'ils préféreraient une trempe radicale. Ce jugement dont tu disposes te convient parfaitement puisque tu es maintenant libre de la sévérité de la sanction : " Ah oui, un dernier détail important, je n'ai pas de martinet ". " Qu'a cela ne tienne, je vous prêterai le mien " répond le père de Xavier avant de préciser " Je le mettrai dans le sac de mon fils. Vous n'aurez qu'à le récupérer à la fin du match ". Tu conclus la séance : " Messieurs, il ne me reste qu'à vous remercier d'être venu et d'avoir pris cette décision.. Je crois que c'est la bonne. En tout cas, j'apprécie votre confiance ".
Nos pères sortent du bureau. Nous découvrons alors leur visage fâché. Je monte dans la voiture avec mon père, il me fait la leçon. J'ai droit aux classiques " Tu l'as bien cherché ", " C'est tout ce que tu mérites ", " Tu as intérêt à te tenir tranquille maintenant ", " Je te l'avais bien dit ". Bref, rien de nouveau sauf que ce coup-ci le fesseur ne serait pas mon père. Le reste de la semaine, je repensais à ce qui s'était passé dans le bureau, je revoyais la tête de ces jeunes mecs écoutant les propos qui les concernaient, je me demandais comment cela allait se passer, j'imaginais les lascars en train de recevoir leur fessée. Cette dernière partie m'excitait beaucoup. Mais dès que je pensais que moi aussi j'allais être puni, je perdais rapidement l'érection que j'avais quelques minutes auparavant.
Dimanche matin, en allant au stade, j'ai un nœud dans l'estomac. Mon père qui conduit ne dit rien. Il me passe la main dans les cheveux avant que j'entre seul dans le vestiaire : " Allez ce n'est qu'un mauvais moment à passer ". Je pénètre dans la pièce ou Mathias et Thomas sont déjà en train de se mettre en tenue. Xavier n'est pas là. Comme c'est lui qui amène le martinet c'est plutôt bon signe. Mon espoir est retombé au moment où je le vois entrer dans la pièce avec son sac sur l'épaule. Il se place à côté de moi en silence et je lui glisse à l'oreille pour ne pas que les autres entendent " Tu l'as ? ". Il ouvre son sac, pousse quelques tee-shirts et shorts et je découvre dans le fond un instrument avec un manche en bois jaune sur lequel est accroché une douzaine de lanières de cuir marron. Je me laisse tomber en arrière : " Et merde ". Nous partons sur le terrain. Le match se déroule mieux que d'habitude, on devine bien que nous faisons des efforts. La meilleure preuve c'est que nous avons gagné deux à un. Et qu'en rentrant aux vestiaires, et à l'exception de nous quatre, toute l'équipe rigole, chahute, s'auto-congratule.
Tu entres dans le vestiaire en short, très content : " Bravo, les gars, vous jouez enfin comme une vraie équipe. Dommage, que certain est mis du temps à comprendre. Au fait, Xavier, Christophe, Thomas, Mathias nous avons un compte à régler. Direction mon bureau. Vous prendrez votre douche après. Xavier, tu prends le martinet, s'il te plait ". Le mot " martinet " a fait tomber un silence de mort dans la pièce. Tous les gamins nous regardent bizarrement comprenant soudain que c'est la suite de la discussion de mercredi. Xavier sort de son sac le petit fouet qui a l'air d'avoir pas mal servi, l'ensemble de l'équipe ne le quitte pas des yeux. Et au moment où nous sommes sortis du vestiaire, les conversations reprennent dans notre dos. J'imagine sans difficulté qu'elles nous concernent. J'entends d'ailleurs un " J'aimerai pas être à leur place " et aussi un " Tu crois que ça fait mal ? ". Je n'entends pas la réponse car j'entre dans ton bureau. Nous sommes tous les quatre en short et tee-shirt et nous nous alignons les uns à côté des autres.
Tu fermes la porte derrière toi : " Bon, les gars. Pour commencer, vous allez enlever vos tee-shirts et mettre vos mains sur la tête. Xavier, donne- moi le martinet ". Pendant que nous nous déshabillons, tu tâtes les lanières du martinet, tu les portes même au niveau de ton nez comme pour les sentir : " Vous savez maintenant que vos paternels m'ont donné carte blanche pour vous punir pour votre conduite sur le terrain. J'ai vu aujourd'hui que vous pouviez vous comporter intelligemment. Mais cela ne vous vaudra pas une peine plus douce au contraire cela m'énerve profondément d'avoir perdu autant de temps. Vous allez donc recevoir une petite fessée sur mes genoux pour commencer puis cul nu, les mains posées sur ce bureau, vous recevrez 30 coups de martinet chacun ". Tu tires une chaise au milieu de la pièce : " On va commencer par la droite, Thomas approche-toi par ici ".
Thomas nous jette un regard rapide et s'avance. Tu l'attrapes par le bras et tu ajustes la position : " Profitez bien du spectacle les gars car ce sera bientôt votre tour ". Je n'avais pas pensé que j'assisterai à la punition de mes copains. Je savais juste qu'ils allaient recevoir la même punition que moi. Avec un peu de chance, je pensais pouvoir les entendre gémir sous la fessée derrière la porte mais jamais je n'aurai imaginé assister à la scène entière. Je vois Thomas qui bouge un peu mais il encaisse bien. Au bout de quelques minutes, tu lui passes la main dans les cheveux : " Allez, gamin, tu te lèves : on va passer aux choses sérieuses. Tu te penches et tu poses tes mains sur le bureau. Recule un peu tes pieds, serres les plus aussi, penche toi carrément. C'est bien comme ça ". Tu te places derrière lui et d'un coup descends son caleçon et son short. Nous sommes tous les trois en face du bureau, nous voyons la tête de Thomas et ses couilles qui pendent aussi ".
Tu te places sur la droite, le manche du martinet dans la main : " Je veux que tes copains comptes les coups. C'est parti. " Vlan " les lanières lui frappent les fesses. Nous disons " Un ". Thomas garde la tête basse pendant les 15 premiers coups. Ce n'est qu'ensuite qu'il relève la tête à chaque fois que le cuir atteint son cul et pousse un petit cri. Tu changes de côté tous les 5 ou 6 coups. La situation m'excite beaucoup, j'en oublie qu'étant le prochain à droite, je serai le suivant dans cette position. La scène est trop bandante. D'ailleurs, je sens ma queue qui durcit dans mon short. En regardant, je découvre une bosse qui se forme sous le tissu de nylon et qui bouge par à coup. Je jette un œil sur le coté pour voir si quelqu'un d'autres a remarqué mon état. Je constate que Mathias me mate. Je regarde à nouveau devant moi ou je constate que Thomas commence à transpirer. Machinalement, je fais écho aux autres et dit " vingt ". Tu prends ton temps entre chaque coup et tu commentes parfois : " Tu crois pas que tu aurais pu éviter cela ", " Je ne pensais pas qu'on en arriverai là ".
Un léger coup de coude de Mathias sur mon bras attire mon attention, je le regarde et il baisse son regard vers le bas. Je regarde à mon tour vers l'endroit qu'il semble m'indiquer. Je constate que son short est aussi déformé par une belle bosse, plus importante que la mienne. Je le regarde à nouveau avec un sourire complice, il tourne alors légèrement sa tête vers sa droite. Je me penche un peu pour découvrir que Xavier est dans le même état que nous deux. Nous sourions tous les trois en disant " vingt-cinq ". Je ne peux rien faire pour cacher mon état avec mes mains sur la tête. Je ne veux pourtant plus avoir la trique car je vais être le prochain et je ne veux pas que tu devines que je bande. Mais plus, j'essaye de ne plus triquer, plus ma tige se raidit. Arrivé à " trente ", j'ai les boules car mon érection est restée intacte et que tu me pointes avec le manche du martinet " A ton tour Christophe. Toi, tu retournes à côté de tes copains. Non, ne remonte pas ton short. Tu le gardes aux chevilles jusqu'à ce que j'en aie complètement fini avec vous quatre ".
Je marche dans la direction de la chaise, je croise Thomas en chemin gêné dans son déplacement par son short tombé à ses pieds. Étonnant de voir la queue toute molle de ce mec qui pendouille alors que la mienne est désespérément raide dans mon short. Tu ne peux pas ne pas remarquer mon érection car tu es assis et moi debout, tu as ma bosse face à ton visage. Mais tu ne dis rien et m'allonge sur tes genoux. Ma bite frotte sur tes jambes nues. Tu redresses ma position en glissant ton bras en dessous de moi et je sens que tu en profites pour très vite me toucher la bite à travers le tissu. Tu frappes une première fois, puis une deuxième. La douleur me semble supportable. Mais mon excitation diminue très vite. Tu dois t'en apercevoir : " On fait moins le malin. Ceci n'est qu'un échauffement. Tout à l'heure tu auras les fesses dans le même état que ton copain ". J'ai le sentiment d'être un môme dans cette position surtout qu'en tournant la tête vers la droite, je vois les trois gars qui me regardent attentivement. J'ai envie qu'on passe à la vraie correction pour montrer aux autres que je sais aussi endurer fièrement la punition et dans le même temps je me demande si je tiendrai bon et si je ne vais pas pleurer. Pire, te supplier d'arrêter.
Ces réflexions seront de courte durée car tu m'indiques " L'échauffement est fini, on passe aux choses sérieuses. Relèves toi et met toi comme ton pote tout à l'heure ". Je me redresse, je m'avance vers la table et, avant de me pencher, je regarde mes copains. Mathias et Xavier ont toujours une belle bosse dans leur short et le sourire sur leur visage. Moi, en revanche, elle est redevenue molle et ils peuvent le deviner car tu es derrière moi en train de descendre mon short et mon caleçon. C'est un moment très humiliant d'être ainsi nu devant ces gars à quelques secondes de se faire claquer les fesses et retenir sa rage. Comme Thomas, je baisse la tête pour ne plus croiser leur regard. Je te sens derrière moi, prêt à lâcher ses lanières cinglantes sur mon cul. Cette attente me fait peur : fais-je être capable d'endurer la sanction en entier. " Vlan " : la douleur est instantanée. J'avais presque oublié cette sensation. Tu tapes moins fort que mon père c'est bon signe. Les autres disent " un ". Mais les coups suivants me prouvent que je mettais trompé. Car en fait, tu tapes avec des intensités très différentes. Cela surprend en bien quand c'est un coup que j'imaginais sévère et qui en fait tombe " doucement ". En revanche, lorsque le coup est sec, j'ai envie de redresser ma tête pour crier. Pour l'instant, je me contente de gémissements. J'entends le décompte de mes copains d'infortune, mais je ne les regarde toujours pas. Ce n'est que vers le vingtième coup que j'ai commencé à redresser ma tête et découvrir qu'ils bandaient encore. Mon corps se raidit à l'arrivée du chaque coup. Comme Thomas, je transpire et je serre le bord de la table avec mes doigts. Tes commentaires ne me touchent pas : " Ca y est, tu commences à avoir les mêmes zébrures que Thomas " ou encore " Je te sens moins fier que sur le terrain quand tu engueulais tout le monde ". Je réalise que mon comportement méritait une telle sanction et que cela devais se terminer comme cela.
On en est à " vingt-six " et je tiens bon. Il n'en reste plus que quatre. Le temps semble passer très lentement. Mais je sais que cela se termine et cela me donne du courage, comme voir la ligne d'arrivée à la fin d'une course. À " trente ", je reste penché en avant, des goûtes de sueur tombent de mon visage sur le sol que je regarde l'esprit vide. Tu passes tes mains sur mes fesses " C'est drôlement chaud. Tu peux retourner à ta place. Mathias amène-toi ici, c'est ton tour ". Je me redresse et je marche pour me mettre à la place libérer par Mathias. Honteux, les fesses rouges, la bite molle qui balance, j'essaye d'éviter de croiser le regard ou le short de Mathias que j'imagine encore triomphant. Pas pour longtemps si j'en crois ma propre expérience. Quand je me retourne vers le bureau, Mathias est déjà allongé sur tes genoux, étant le plus grand, ses mains touchent le sol, contrairement aux miennes qui pendaient dans le vide. Je sens que mes fesses me chauffent mais le spectacle qui redémarre atténue les pensées que je portais à mon postérieur.
Tu ne peux t'empêcher de faire tes commentaires : " Qui pourrez penser qu'un grand garçon comme celui-ci pourrait encore recevoir de bonnes fessées ". Les claques tombent sur ces fesses régulièrement. Malgré sa taille, il se tortille comme nous. Je ne quitte plus la scène des yeux et je sens ma teub qui commence à s'agiter. Merde, je crois que je vais me remettre à bander. Ça la fous mal car je n'ai plus de short pour masquer un peu mon _s_e_x_e. J'essaye de penser à autre chose, mais l'action continue et deviens trop excitante quand je te vois baisser le short, puis le caleçon de Mathias. Sa queue est aussi molle que la mienne tout à l'heure, mais elle est vraiment plus longue. Je t'écoute avec attention : " Contrairement aux autres, je crois que tu n'as jamais reçu de vraie fessée. J'espère que supportera bien cette première expérience. Un grand garçon comme toi c'est solide, c'est endurant ". " Vlan ". Je crois que Mathias est très surpris par la douleur provoquée par le martinet. Mais il se retient de le manifester.
Je regarde ma bite : elle est raide. Je regarde à ma droite, la bosse de Xavier n'a pas disparu. Je lève la tête pour voir s'il m'a remarqué. Il hoche de la tête comme pour dire " pas mal ". Je regarde vers la queue de Thomas sur ma gauche, elle me semble prendre du volume. Je le regarde aussi et son visage gêné semble dire " C'est ta faute. Ta bite raide me fait bander à mon tour ". Et c'est ce qui se passe. Au bout d'une minute ou deux, sa queue est aussi rigide que la mienne, pointée fièrement en direction du bureau. Nos glands commencent même à se décalotter. Mathias continue de déguster, les bruits de lanières claquant son cul sont secs : " vingt-deux ".
Mathias, pour sa première punition corporelle, se montre aussi fort que nous, ce qui te plait : " Tu vois mon garçon, c'est le genre de punition que tu as évité jusqu'à présent. J'espère que ton père continuera de te corriger de temps en temps car je crois vraiment que tu méritais une bonne raclée depuis longtemps. Retourne à ta place. Passons au dernier de ses messieurs. Approche Xavier ". Xavier s'installe dans le même état d'excitation que les deux derniers punis et tu dois vraiment te dire que tu es tombé sur une sacrée bande de garnement. Je ne sais pas si tu nous vois triquer de là ou tu es mais en tout cas tu ne le dis pas. Au moment où Mathias passe devant Thomas et moi pour reprendre sa place, il semble étonné de nous voir avec une gaule si fortement prononcée. Dans ma tête, et vue sa réaction tout à l'heure, je suis sûr qu'il sera très vite dans le même état que nous. Je regarde à nouveau la même scène qui recommence pour la dernière fois. Un garçon étendu sur les genoux de son entraîneur qui reçoit sur ses fesses encore protégées par un short de foot des claques sonores. Comme nous, il bouge un peu mais plus par réflexe qu'à cause de la douleur.
Au moment où tu diriges Xavier vers la table, je me concentre une dernière fois sur ce passage que j'adore : " le baissage du short et du caleçon ". J'ai envie de prendre ma teub, de me branler en regardant et de juter par terre. Je peux rien faire mais ce soir dès que j'arrive à la maison, je file me branler dans ma chambre. Un coup d'œil à Mathias sur ma gauche, je m'en doutais : il bande comme un taureau. Sa bite me semble vachement longue, au moins 18 ou 19 centimètres comparés à mes 14, 15 ca fait une sacrée différence. Face à nous, Xavier transpire et râle comme nous. Nous sommes bientôt frères dans la douleur. Cette épreuve vécue ensemble nous rapproche. Je pense que nous comprenons mieux qu'il préférable de bien s'entendre plutôt que de se battre. En plus, je me sens vachement proche d'eux avec ma bite raide. La seule chose que je me demande c'est ta réaction quand tu vas avoir fini. J'espère que tu ne vas pas prendre cela pour de la provocation et le racontait à nos pères. On risque de venir à la case départ. Pour l'instant, je décide de ne pas y penser et de me concentrer sur l'action qui se déroule actuellement pour quelques minutes encore. Car on en est déjà à " Vingt-quatre ".
Tu ne frappes pas plus dur sur les derniers coups. Tu es toujours aussi calme : " Vas rejoindre tes copains ". Évidemment, Xavier hallucine en nous voyant la tige aussi raide. La queue de Mathias doit aussi l'impressionner par sa taille. Tu t'assieds sur le bureau, face à nous : " Vous avez été courageux et vous avez encaissé votre punition avec une certaine endurance. Je dois vous dire que si vous recommencez à vous conduire comme des gamins, je vous corrigerai à nouveau comme des gosses. Je vais d'ailleurs acheter un martinet que j'accrocherai à la vue de tous dans le vestiaire pour vous rappeler ce que vous risquez. Je le place dans le vestiaire et pas dans mon bureau car la prochaine fois, je pourrai bien vous fouetter devant toute l'équipe ". Tu nous as regardé droit dans les yeux pendant tout ce discours. Maintenant, tu baisses les yeux et regarde attentivement nos quatre _s_e_x_es bandés car, comme, je m'en doutais Xavier n'avait pas résisté et s'était mis à bander aussi.
Tu as un large sourire : " Je crois que c'était une bonne chose de vous punir ensemble. Vous avez été solidaire de vos conneries et vous avez vécu la même épreuve. Je crois aussi que vous vous connaissez mieux maintenant et que vous aurez des souvenirs forts, mauvais et bons, en commun ". Puis en passant le manche du martinet sous nos queues un par un en les levant doucement : " On dirait que vous êtes de vrais mecs maintenant. Vous avez de sacrées bites pour votre age. Vous êtes drôlement excité les gars ". Un peu détendu par ton speech, je ne peux m'empêcher de dire : " Et vous avez vu celle de Mathias. Elle est vachement longue ". Tu t'approches de Mathias : " Ouais, effectivement c'est très impressionnant ". Mathias descend son bras droit de sa nuque pour attraper sa queue et en décalotter le gland : " Et vous Monsieur, elle est grande comment ? ". Au moment, ou il dit cela, je me demande s'il n'a pas été trop loin et j'appréhende ta réaction. Mais tu te lèves du bureau, toujours avec le sourire : " Filez sous la douche, je vous montrerai peut-être ".
On rigole ensemble et l'on remonte nos sous-vêtements et shorts. On ramasse nos tee-shirts et sortons du bureau, les shorts toujours déformés mais ce coup-ci on en profite pour remettre nos queues un peu en place. En nous déshabillant pour aller à la douche, on se remet à parler : " T'as eu mal toi ? " " Ouais un peu surtout à la fin " " Je pensais que ça ferai plus mal " " Je crois qu'il a été sympa et que pour une première fois il voulait juste nous faire peur " " Dites ca pour vous, moi j'ai les fesses qui brûlent " " Rappelle moi de t'inviter quand mon père me file une trempe, tu verras la couleur de mon cul après la punition. C'est pas rose, ni rouge mais violet ". On file dans la douche, tout nu, les fesses de chacun d'entre nous sont roses avec quelques zébrures plus rouges un peu partout.
Dans la douche, la conversation reprends sur la taille du pénis de Mathias. Le jet de la douche est chaud, cela fait du bien après le match et surtout la fessée. J'ai la trique comme les autres du fait de la chaleur de la douche et de l'ambiance de tous ces mecs qui parlent cul " Tu te branles souvent ? " " Moi tous les soirs " " Moi, je branle le matin et le, soir " " T'es toujours plus fort que les autres " " Moi, je me suis déjà branlé en cours d'anglais en matant la prof. Elle est trop bonne. J'ai juté dans mon casier. Il y en avait par tout ". Xavier qui prononçait cette phrase avait fermé les yeux et a commencé à se branler sous la douche. J'ai repris la parole en commençant à me masturber aussi : " Ouais, elle est top mignonne. Elle m'excite comme un ouf ". Les deux autres gars nous ont imités et ont commencé aussi un vas et viens sur leurs queues. À ce moment là, tu entres à poil et te place sous la douche " J'espère que je vous dérange pas les petits branleurs. Mathias, passe- moi du savon, s'il te plait ".
J'avais interrompu ma branlette et te regarde " Elle est pas mal votre queue Monsieur, mais je pense que celle de Mathias est plus grande ". Tu te savonnes : " C'est parce qu'il bande comme un taureau. Mais je veux bien qu'on compare ". Tu commences à te faire durcir par un mouvement de branlette. On te regarde hyper excité. Au bout d'une minute, tu bandes comme nous tous : " Approche Mathias pour qu'on vérifie ". Il s'exécute, nous aussi on approche pour juger du résultat du concours, toujours en train de nous branler. Vous tenez vos deux tiges à la base pour les rendre plus grandes. C'est moi qui le premier indique : " C'est vrai Monsieur, je crois que vous avez la plus grande ". Et Xavier de préciser : " la plus grosse aussi ". Thomas ajoute : " Elle doit faire au moins 20 centimètres ! ". Tu te remets sous le jet d'eau chaude : " Vous inquiétez pas les gars, vous êtes déjà bien membrés et elles vont continuer à pousser ". En rigolant, tu sors de la douche : " Bon maintenant, vous finissez votre branlette, vous jutez, vous vous séchez, vous vous rhabillez et vous rentrez chez vous. J'espère que vous serez en forme pour l'entraînement mercredi prochain ". Le plus sérieusement du monde, Mathias reprends sa branlette : " Bon, ben, puisque c'est l'entraîneur que le demande ". Je lui emboîte le pas, suivi des deux autres. On se regarde tous dans cette action de branlette collective. Tu es dans la pièce d'à côté en train de te sécher, mais tu vois toute la scène. Très vite, je lâche ma purée dans la douche, suivi par Xavier qui avait l'air de se retenir. Mathias jute en poussant des " ouais, ouais, ouais ". Enfin Thomas se cambre en avant et lâche deux ou trois jets de sperme bien liquide. On se sèche et se rhabille en survet. Tu venais de quitter le vestiaire, mais tu reviens le martinet à la main. Je commence à me dire que ce débordement n'a pas été de ton goût. En fait, tu le tends à Xavier : " Tu le rendras à ton père avec mes remerciements ". Ouf de soulagement de l'équipe, plus soudée qu'auparavant mais encore moins qu'à l'avenir....
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