Nous étions quatre, Brice, Franck, Jérôme et moi. Quatre homos. On assumait très bien. On avait souvent baisé ensemble, à deux, trois ou quatre. Toutes les combinaisons. Bien sûr, chacun avait sa vie privée, ses conquêtes, ses baises à lui. Costauds tous les quatre, sportifs, fans des arts martiaux, tous inscrits à un club de close-combat. Un lien inaltérable nous unissait. Et une haine commune. On avait tellement vu casser du pédé, qu'on avait décidé de casser de l'hétéro. Et on avait formé une espèce de gang. On menait des enquêtes, quand il y a avait eu des raids anti-pédé, on occupait la terrain que la police nous laissait lâchement. Et nous on finissait toujours par découvrir les chefs de bandes, ceux qui avait décidé ce genre d'expédition nocturne dans les parcs de la ville où tous les copains allaient draguer. On connaissait aussi les petits cons qui suivaient. Et quand on savait, alors on passait à l'action. Et l'action, çà conduisait à une humiliation totale de ces mecs. Pendant toute l'époque où on a fait çà, j'ai tenu une espèce de journal, de carnet de bord. C'est çà que je vous donne à lire maintenant.
Vendredi 3 avril 1982
Ce soir on a réglé son compte à Jean-Claude, ce con qui, avec en général deux copains à lui, attend les mecs à la sortie du Parc Miron. Technique : ils utilisent une petite bombe de spray paralysant, et au moment où le mec ne peut plus réagir, ils lui prennent son portefeuille. Tous le mois de mars ils nous ont fait le coup. On a fait l'enquête. On l'a suivi pendant deux semaines. On a vu qu'il avait une petite amie, Sarah. Ce soir, elle est montée chez lui. Nous on a attendu une demie-heure puis on est monté. On a sonné. Il a ouvert. Là on entre dans l'appart très rapidement, Brice et moi on maîtrise le gars, Jérôme et Franck s'occupent de la fille. Vite, mouchoirs dans la gueule, pas de cris, pas de bruit. La fille s'était déjà mise à l'aise, elle ne portait qu'une petite culotte. La petite culotte saute, et la fille se retrouve complètement à poils, ligotée solidement sur un fauteuil, toujours empêchée de crier par le mouchoir qu'on lui a fourré dans la bouche.
Lui, çà a été un peu plus dur, c'est un type costaud, un grand brun assez athlétique, type méditerranéen, cheveu noir, jambes musclées, cuisses velues, environ 22 ans. Il était en slip quand on est rentré (apparemment ils allaient baiser). Il s'est débattu comme un diable mais quand Jérôme et Franck en ont eu fini avec la fille, ils sont venus nous aider et on est parvenu à le ligoter, les mains et les pieds attachés dans le dos, il ne pouvait plus nuire.
Alors on leur a expliqué le pourquoi de la visite. Ils ont vite compris. Puis on a expliqué à la fille qu'elle avait rien à craindre, qu'elle devait seulement regarder ce qu'on allait faire avec son Jules. La pauvre ouvrait des yeux ronds, mais d'un autre côté on la sentait soulagée. Ce n'était pas le cas de son mec. Surtout quand il a entendu qu'il allait d'abord subir un rasage intégral. Le pauvre ! perdre ce symbole de sa virilité, ces poils aux jambes et sur les pectoraux, sans parler de tout le reste.
Très vite, on trouve des serviettes qu'on étend sur la table du salon, on défait partiellement les liens de notre con_d_a_m_n_é, on le ligote en utilisant les pieds de la table, on arrache le slip. Magnifique, ce jeune hétéro, devant nous, bras et jambes écartelés aux dimensions de la table, la tête renversée dans le vide, nous offrant en spectacle toute sa virilité (plutôt en berne à ce moment-là). Franck, comme toujours, s'occupe du rasage. Il apporte toujours son matériel avec lui. Il lui suffit de prendre un peu d'eau dans un bol, et le voilà parti. Il commence par les pieds, même les poils des orteils y passent, puis il remonte le long des jambes. Le type remue, hurle à travers le mouchoir, commence à suer, mais nous poursuivons notre œuvre imperturbablement. Les cuisses, maintenant. Bon, Franck, comme toujours, laisse le meilleur pour la fin. Il passe au torse. Peu de poils sur le ventre, mais davantage sur les pectoraux. Tout disparaît. Enfin le grand moment est venu. Franck s'attaque au pubis. D'abord aux ciseaux. On y voit plus clair. Puis il reprend le rasoir. Sous l'œil horrifié de la nana, la lame passe et repasse près de cette queue qui a dû déjà lui donner bien du plaisir (et qui allait lui en donner), puis sur les couilles. Le mec a cessé de se contorsionner, paralysé par la peur des conséquences d'un faux-mouvement. Mais il est tendu comme un arc. Voilà, c'est fini, tout est propre. Reste le cul. Là, il faut qu'on manœuvre. On délie les pieds, et on n'est pas trop de quatre pour maîtriser les jambes du mec qui résiste comme un fou. Mais on est les plus forts, les jambes sont en l'air, bien arrimées aux pattes de la table, et le cul bien offert pour un bon nettoyage. Là c'est Jérôme qui prend la relève, il adore çà. Les fesses sont savamment rasées, ainsi que le bas du dos. Enfin la dernière étape, tout en finesse : peu à peu le rasoir passe sur les parties sensibles de la raie du cul, et la dernière touche, c'est l'anus, et là Jérôme est un expert, il fait çà très bien, le mec ne peut pas se plaindre, pas une égratignure. Maintenant on a devant nous un joli nid rose, où on peut voir de petites contractions, la panique je pense. La fille est en face, elle voit, paralysée, comment nous rajeunissons son petit mâle. Le mec est rincé abondamment, séché, et nous avons maintenant devant nous un corps imberbe, agréable à regarder à dire vrai, bien musclé, et rempli de rage.
Alors on passe à la phase suivante. Brice se déshabille lentement, en fixant le pauvre Victor droit dans les yeux. Brice a la trique, çà se voir quand il enlève son fute. Il se met complètement à poils, Brice, il est très excité, beau comme un dieu, athlétique. Et il bande comme un dieu aussi. Alors il s'approche de la tête de Victor, par derrière, lui enlève le mouchoir qui l'empêchait de crier et lui ordonne de lui lécher les couilles. L'autre serre les lèvres. Les couilles se promènent sur son visage. Il hurle : " non, çà non, jamais ", et il ajoute " bande de pédés ". Évidemment tout çà était prévu, Brice nous regarde d'un air entendu et vicieux, et lui dit : " bon, on va voir si tu ne change pas d'avis... ".
Brice nous rejoint de l'autre côté de la table (j'en profite pour lui caresser un peu la bite et les couilles, on est des vieux copains quand même). Devant nous, le cul offert, totalement vulnérable du jeune hétéro anti-pédé. Là çà va être sa fête. Ce cul, qu'est ce qu'on va lui faire passer ! Le pauvre Victor n'imagine même pas tout ce qui va lui arriver. Jérôme ouvre le sac à dos qu'il porte toujours dans ce genre d'opération. Il en sort un magnifique martinet, pas de ces trucs à trois sous qu'on vend encore dans certaines drogueries, c'est de la rigolade, mais un vrai engin, lourd, avec de bonnes lanières de cuir épais. Les lanières dansent en l'air : " Alors, t'es sûr que tu ne veux pas me lécher les couilles ? ". L'autre lance un cri de défi, on lui remet le mouchoir dans la gueule. Et la fête commence. Ah ! Jérôme, il sait manier l'instrument ! Les lanières s'abattent. Çà cingle. Mais il a le sens de la progression, Jérôme. Il commence par chauffer le dessous des cuisses, qui sont relevées devant nous. Le gars se tortille, crie dans le mouchoir, mais on s'en fout. Les coups pleuvent, les cuisses rougissent. Je jette un coup d'œil sur la nana. Elle s'agite un peu, les yeux lui sortent de la tête, il faut dire qu'elle a une vue imprenable sur le cul de son copain.
Jérôme passe l'instrument à Franck, qui préfère s'occuper des fesses. C'est un classique, Franck, la fessée traditionnelle, çà lui a toujours plu, on sait que c'est son fantasme. On voit qu'il aime çà, il fait traîner les lanières sur les fesses de notre petit mâle, qui virent au rouge comme les cuisses. Brice prend la relève pour s'occuper plus particulièrement de la raie du cul. Lui aussi, il s'y connaît, pour faire tomber les lanières juste entre les fesses ouvertes. Le pauvre garçon a des spasmes tellement violents qu'on vérifie les liens, on ne sait jamais. Il déplace la table avec ses soubresauts à chaque fois que le martinet vient s'abattre sur ses parties les plus intimes, depuis la naissance des couilles jusqu'au petit anus vierge. On est obligé de coincer la table contre un mur.
Enfin je m'empare de l'instrument, et moi, je prends les chose par l'autre bout, moi, c'est le manche que je manie, c'est une autre technique et çà affole encore plus notre jeune hétéro anti-pédé, parce qu'il sent qu'il va y passer, qu'il va savoir bien de l'intérieur ce que c'est que se faire enculer. La fille, elle, n'en perd pas une miette, on ne sait plus si elle est horrifiée ou si elle commence à jouir. Elle a les yeux rivés sur l'entrejambe de son mec. Moi je m'amuse, je fais glisser le manche du martinet sur le scrotum, sur l'anus, je fais un long va et vient sur toute la longueur de la raie, je le titille, puis je plonge le manche dans un pot de lubrifiant, et je recommence, là çà glisse mieux, toute la raie du cul est bien luisante maintenant, puis je m'arrête sur l'anus contracté du jeune mec. Alors Brice lui redemande s'il ne veut toujours pas lui lécher les couilles. Il semble faire signe que oui. On lui enlève le mouchoir, et c'est vrai qu'il est plus docile, il ouvre la bouche, et commence à faire ce que Brice lui demande. Brice commence à grogner de plaisir : " oui, c'est çà, c'est bien, c'est bon çà.... ". Il monte sur la table et s'agenouille, cuisse écartée, au-dessus de la tête de Victor, et lui ordonne de lui lécher tout, l'entrejambe, le cul. L'autre s'exécute, parce que moi je maintiens la pression sur l'anus. Cet anus, d'ailleurs, il se relâche un peu, dirait-on, il se met à avoir de petits spasmes. Pendant ce temps Franck le suce. Et évidemment, un mec comme çà, 22 ans, sur le point de baiser avec sa copine, en train lécher l'entrejambe d'un mec, il se fait sucer, et il se met à bander.
Les quatre on est à poils maintenant. Moi je me suis mis à jouer du doigt dans son petit cul. Pas insensible, le mec, on dirait que çà s'ouvre. Ouaou, mais oui, j'enfonce un doigt ! Çà rentre. Il hurle " non ! ". Mais Brice descend de la table, on bâillonne à nouveau notre victime, et on se met à s'occuper patiemment de ce petit cul qui va céder, c'est évident. Au bout d'un long travail de persuasion, j'enfonce deux doigts. Il craque. Le moment suprême de notre vengeance est arrivé.
On défait les liens qui attachait la fille au fauteuil, on la fait mettre debout à l'extrémité de la table où se trouve la tête de Victor, on lui coinçe la tête entre les cuisses de sa nana, le nez dans la truffe. On attache fortement les jambes de la fille aux pieds de la table afin qu'elle ne change pas de position. Et nous, on se met de l'autre côté, et on commence la tournée. Brice s'enfonce le premier, çà dure au moins un quart d'heure, il se retire, et c'est Franck qui plonge son pieu énorme ; il met du temps, mais finalement tout rentre. Sous la motte de la nana on se sait pas bien ce qui se passe, Victor a le nez dedans, la pauvre il peut pas faire autrement. Elle aussi se met à gémir, elle mouille. Maintenant c'est moi qui pénètre le jeune animal, çà ne résiste plus guère la-dedans. Il recommence à avoir une érection du tonnerre. C'est le moment de prononcer la sentence finale, l'humiliation suprême : ALORS, TU VOIS ÇÀ TE PLAÎT FINALEMENT ! Jérôem, qui n'en pouvait plus, éjacule en même temps que moi sur le ventre du mec. Ouaou, çà décharge de partout.
Dernière opération : on colle la fille et le gars l'un en face de l'autre, on lui met son pieu dans le _s_e_x_e de la fille, on les attache solidement ensemble, jambe contre jambe, bras contre bras, face à face, lui la pénètre. Et nous on enfonce un god dans son cul à lui, çà rentre tout seul, et on le fait aller et venir, çà va tellement bien qu'on prend un god plus gros, bien rugueux, on l'entend qui râle, de douleur et de plaisir, il est secoué d'un grand spasme, et il inonde la nana, qui se prend aussi un orgasme qu'elle n'oubliera pas pendant longtemps.
Nous nous esclaffons, nous rions énormément : " tu vois que tout le monde a un côté pile et un côté face, hein mon grand, même toi, t'as aimé çà, tu peux pas le nier, alors arrête de nous emmerder dans le Parc. D'accord ? "
On les laisse comme çà, attachés, lui en elle, le god en lui ; c'est un petit sacrifice, mais on aime faire çà, comme çà les gars sont obligés de se l'enlever eux-mêmes, tout seuls, et puis c'est jouissif de penser qu'il va rester plusieurs heures comme çà.
Demain, on va essayer de " casser " son copain, celui qui l'aide pour nous voler dans le Parc, on a repéré où il habite, et il faut qu'on fasse vite.