01 Jérôme


by Pegase

Je m'appelle Benjamin, j'ai 12 ans et je suis petit pour mon âge, les gens en me voyant me donnent environ dix ans. J'ai les cheveux châtain assez long et j'aimais bien porter des vieux jeans un peu déchiré avec des autocollants un peu partout dessus. Je vis depuis peu de temps chez ma tante, j'y suis arrivé environ une semaine avant d'avoir mes 12 ans. Maintenant je vais devoir vivre ici car ma mère a eu un accident, elle rentrait du travail comme tous les jours et un chauffard n'a pas respecté un stop et l'a renversée. Comme ma tante est la seule personne de ma famille qui me reste (il me reste aussi quelques vague cousin mais je ne les connais pas du tout et elle je ne l'ai vue que très rarement) elle est devenue ma tutrice. Ce qui fait que l'habite maintenant dans une petite ville de 8000 habitants du centre de la France. Après avoir vécu pendant 11 ans à Paris cela fait quand même un drôle de changement de vie. Quand je suis arrivé chez elle ma tante a jugé que ma façon de m'habiller ne convenait pas à un garçon de mon âge et a décidé de renouveler ma garde-robe (c'est une façon de parler évidemment car vous vous doutez bien que je n'en porte pas, des robes) elle m'a donc acheté des maillots de corps sans manche, des chemisettes et des chemises, des slips blancs, des short et pantalons de toile. Ensuite sa seconde décision a été de me faire couper les cheveux le plus court possible et comme je parais déjà moins que mon âge je semble encore plus jeune.

La première semaine, quand je n'étais pas sage elle me donnait une gifle, puis elle est passée à une ou deux claques sur les cuisses. Le moindre écart de langage étais sanctionné de la sorte. Comme j'étais en culotte courte donc avec mes cuisses nues, la tentation devait être grande, elle n'a pas longtemps hésité et j'eus plus d'une fois des marques de doigt sur celle-ci. Ma mère ne m'avait jamais battu cela m'a donc interloqué. J'ai essayé d'être sage afin de ne plus recevoir ni gifle ni claques sur les cuisses.

C'est le jour de mes douze ans que ma tante est passé à l'étape suivante. Comme j'essuyais la vaisselle après le repas de midi je laissais tomber par mégarde les deux assiettes que je tenais. En entendant le fracas des assiettes se brisant sur le sol ma tante se précipita dans la cuisine. En voyant les dégâts elle sembla très irritée par ma bévue.

"Balaye les débris et fait attention à ne pas te couper," m'ordonna elle d'une voix glaciale, "nous verrons ensuite de quelle façon régler ce petit différent entre nous."

Le ventre noué d'appréhension je m'exécutais le plus rapidement possible. Ensuite elle me saisi par le bras, s'installa sur une chaise, me coucha en travers de ses cuisses dans l'intention évidente de me fesser...

"S'il te plaît, je n'ai pas fait exprès, ne me fesse pas, je te jure que je ferais attention!"

"Tu n'avais qu'à faire attention avant, ce n'est quand même pas difficile de ranger deux assiettes. Tu mérites une punition et tu la recevra."

Et elle commença à me fesser durement. Bien que protégé par mon short et mon slip mes fesses devinrent vite douloureuses, mes cuisses recevaient aussi leurs part de coups. Comme ces dernières n'étaient pas protégées la douleur était plus cinglante et je me tortillait pour essayer d'y échapper. Lorsqu'elle cessa je crus que la punition avait pris fin mais elle passa ses mains sous mon ventre pour déboutonner le bouton de ma culotte courte, baisser la braguette et le baisser au niveau de mes genoux. Mon slip suivit le même chemin et la pluie de claques recommença sur mes fesses nues. Elle frappait plusieurs fois à la même place avant de changer d'emplacement pour le cingler tout aussi longuement. Elle alternait la cadence, par moment elle donnait plusieurs coups très rapidement en variant également leurs force, ce qui était très difficile à supporter. À force du remuer pour essayer d'éviter les coups le plus possible je réussi à me dégager un peu et essayait de protéger mon arrière train avec mes mains. Mal m'en pris car pour me maintenir solidement en place elle me retourna le bras dans le dos et passa sa jambe droite par dessus les miennes ainsi j'étais solidement maintenus et dus subir la punition jusqu'à son terme. J'éclatais vite en sanglot et la suppliais:

"Aïe, je serais sage, ouille, arrête s'il te plaît, aïe, je te j-jure que, ouille, je ferais attention, aïe... ouille... ça fait trop mal aïe... ouille..."

J'eus beau la supplier elle continua un bon moment sans se préoccuper de mes cris et pleurs. Quand je pus enfin me relever, en larme, mon premier réflexe fus de saisir mes fesses à pleine mais et de les frotter en trépignant sur place pour essayer d'en atténuer la douleur. Ma pudeur refaisant surface, je remontais rapidement mon short et mon slip pour dissimuler mes parties intimes que je lui exposais sans y penser tant la chaleur irradiant de mon derrière et de mes cuisses occupait ma pensée.

Je me précipitais alors dans ma chambre pour étouffer mes larmes allongé à plat ventre sur mon lit la tête enfouie dans l'oreiller.

Dix minutes plus tard la voix de ma tante retentit à nouveau.

"Benjamin, descend tout de suite."

Inquiet je me précipitais en bas redoutant une autre punition pour une raison indéterminée.

"Oui ma tante?"

"J'ai besoin que tu ailles chez le boucher pour le repas de ce soir, voilà la liste de ce que tu dois acheter tu lui diras de mettre la note sur mon compte."

Je pris la liste en hésitant.

"Pourquoi hésites tu Benjamin, il y a un problème?"

"Je peux aller mettre un pantalon avant d'aller faire cette course?"

"Pourquoi veux tu te changer s'il te plaît? Tu es très bien comme cela"

"Mais... tous le monde va voir mes cuisses rouges"

"Et alors, tant mieux. La honte te feras peux être réfléchir à ce que tu fais et la prochaine fois tu feras attention. Et dépêche toi sinon je t'y envoie en slip"

Affolé à cette idée, je me précipitais hors de la maison ne voulant prendre aucun risque au cas ou elle aurait parlé sérieusement. Dans la rue, alors que je me dirigeais vers chez le commerçant, j'étais persuadé que tout le monde me regardait et se doutait de ma mésaventure. Je pense aujourd'hui que la plupart des passants n'ont même pas fait attention à moi. En entrant dans la boutique, qui se trouvait tout en haut de notre rue, je me suis aperçu que j'étais heureusement le seul client, il y avait seulement un garçon de mon âge avec le commerçant..

"Je viens de la part de Me Gerbaud, voici la liste de ce qu'elle veux."

"Tu es sans doute son Neveu, Benjamin, n'est ce pas?" me dit il en prenant la liste.

"Oui monsieur"

"Voici mon fils Jérôme, vous serez dans le même collège à la rentrée. Faites connaissance, j'en ai pour une dizaine de minutes pour te préparer cela."

La garçon, à peu près de ma taille aux cheveux plutôt roux et à la figure sympathique, fit le tour du comptoir pour venir discuter avec moi. Quand il aperçu mes cuisses rouges ses yeux s'arrondirent de surprise.

"Dis donc t'as les cuisses vachement rouges" me dit il à mi voix en me serrant la main, "Tu as reçu une fessée?"

À ces mots, mes joues devinrent encore plus rouge que mes cuisses et j'acquiesçais d'un signe de tête , embarrassé au plus au point.

"T'inquiète pas, moi aussi je la reçois de temps en temps. Je peux t'accompagner chez toi comme cela on fera connaissance?" me demanda-t-il comme son père me tendais la commande de ma tante.

"Je peux l'accompagner papa?"

"Si tu veux, mais ne rentre pas trop tard."

Comme je me retournais pour sortir de la boutique le commerçant m'interpella:

"Je vois que ta tante a été obligée de corriger, qu'avais tu donc fais pour mériter cela?"

Je le lui expliquais de mon mieux, humilié de devoir lui raconter ma mésaventure.

"Ta tante a eu raison de te traiter de cette manière, je suis persuadé que c'est la meilleure façon de rappeler aux jeunes garçons comme vous les bonnes manières et je constate avec plaisir que ta tante a les même idées que moi au sujet de l'éducation. Aller, tachez de ne pas faire de bêtises."

Sur ces bonnes paroles nous sommes sortis de la boutique. J'étais un peu inquiet de l'accueil que me ferait ma tante en me voyant revenir avec un camarade. Dès mon arrivée je constatais que mon inquiétude n'étais pas fondée et elle semblait avoir passé l'éponge sur ce qui s'était passé juste avant mon départ.

"Je vois que tu as fait la connaissance de Jérôme. Tout ce que je vous demande c'est de ne pas faire de bêtise car je ne voudrais pas avoir à sévir. Tu as compris Benjamin?"

"Oui ma tante, tu veux voir ma chambre Jérôme?"

"Oui, bien sûr"

Je lui montrait donc le chemin.

"Dis donc, tu aime bien lire" me dit mon nouveau camarade en s'approchant de l'étagère où j'avais rangé tous mes livres. "il y a beaucoup de Jules Verne à ce que le vois."

Il vint ensuite s'asseoir sur mon lit.

"Tu sais, je suis content que tu vienne habiter ici parce que dans le quartier, il y a pas un seul jeune de notre âge dans la rue." À ces mots je compris que c'était un peu pour cette raison qu'il m'avait accompagné. "Ta tante ne t'as pas loupé, t'as les cuisses vachement rouge. Elle a frappé sur les fesses et les cuisses ou seulement les cuisses? "

"Les deux!"

"Dis, tu me fait voir tes fesses que je voie si elles sont très rouges"

Je fis non énergiquement de le tête tout en rougissant jusqu'aux oreilles.

"Aller, faut pas avoir honte, tu sais on est tous fait de la même manière. Moi aussi j'ai été fessé hier soir, faut dire que je l'avais bien cherché parce que j'ai laissé tomber l'appareil photo de mon père et il n'a pas apprécié. Je n'en reçois pas souvent, depuis mes dix ans j'en ai reçu peut être une tous les deux mois, et encore c'est pas sûr, à part celle d'hier cela fait au moins trois mois que je n'en ai pas reçu. Tiens regarde, on dois voir encore les marques du martinet." Et sans paraître éprouver la moindre gêne il déboutonna son pantalon et le baissa ainsi que son slip vert. Effectivement je vis que ses fesses et le haut de ses cuisses étaient couvertes de zébrures. Quand je l'eus bien examiné il se rhabilla.

"Tu vois, tu dois pas avoir honte d'avoir reçu la fessée, aller fait moi voir."

Après avoir hésité quelques seconde encore, je me décidais à baisser mon short et mon slip de manière à lui exhiber mes fesses qui devaient être très rouge étant donné la douleur que je ressentais encore.

"Couche toi sur le lit, je vais te masser les fesses cela calmera la douleur."

Je m'exécutais après un instant d'hésitation tout en faisant attention de ne pas me montrer de face pour ne pas lui exposer mon _s_e_x_e. Il commença à me masser les fesses et les cuisses. Je trouvais la fraîcheur de ses mains très agréables sur mon postérieur. En sentant ses mains douces caresser mes fesses je sentis mon _s_e_x_e commencer à raidir et il devint dur comme du roc quand je sentis sa main s'insinuer dans la fente séparant mes deux fesses. Heureusement que j'étais couché sur le ventre sinon il se serait aperçu de mon état. Comme s'il avait entendu ce que je pensais je l'entendis me déclarer:

"Lorsque je reçois une fessée, mon frère viens me masser comme je te le fait en ce moment. Il a commencé il y a environ un an. Si j'aime pas la fessée, je ne déteste pas les massages de mon frangin. D'ailleurs je bande pendant qu'il me frictionne.... Je ne sais pas pourquoi je te dis ça parce que finalement on se connaît pas, tu le garde pour toi hein? Il y en a qui se moquerais de moi si cela se savait. Tu sais, j'aime bien les filles aussi."

"Ne t'inquiète pas, ton secret sera bien gardé."

"Tu sais, mon frère ne sait pas que je bande pendant ses massages car je reste sur le ventre et il sort dès qu'il sent que je suis plus calme. Lui il a seize ans et cela fait au moins un ans et demi qu'il n'a pas reçu de fessée. Mais le paternel lui a dit plusieurs fois que si il le fallait il n'hésiterait pas à recommencer et cela jusqu'à ce qu'il soit majeur."

"Jérôme, je te donne ma parole que personne d'autre ne connaîtra ton secret."

Et pour lui prouver qu'il pouvait avoir confiance je me retournais sur le dos et lui exhibait mon _s_e_x_e bandé. J'étais gêné et excité à la fois. Il avança lentement la main vers mon entrecuisse et se mis lentement à me masturber. Se le faire soi même (depuis un an je le faisais de temps en temps) et l'être par un autre sont deux sensations très différente. J'allais avancer la main vers son pantalon pour lui rendre le plaisir qu'il m'offrait lorsque j'entendis les pas de ma tante monter l'escalier. Je me réajustais le plus rapidement possible et au moment où la porte s'ouvris nous étions redevenu deux amis parlant de la pluie et du beau temps.

"Je me demandais ce que vous faisiez. Je vois que vous n'avez pas l'air de vous ennuyer. Jérôme je suis heureuse que tu t'entende bien avec mon neveu. Ne faîtes pas de bêtises OK?"

"Pas de problème madame, je crois qu'on va bien s'entendre tous les deux."

"Benjamin, il faut que j'aille chez une amie ramener des livres que je lui avais empruntés. Soyez sages en mon absence, je n'en ai pas pour longtemps. Jérôme si tu veux tu peux rester dîner avec nous, cela te ferait plaisir?"

"Oh oui madame, j'accepte volontiers."

"Bien dans ce cas téléphone à ton père pour lui demander la permission, le téléphone est dans l'entrée. Benjamin, pendant ce temps tu vas mettre le tas de vieillerie qui se trouve dans le fond du garage dans des sacs poubelles et déposer le tout devant le portail, les éboueurs passent demain matin de bonne heures.

Mon nouvel ami vint me rejoindre comme je terminais de remplir le deuxièmes sac poubelle. Nous nous sommes ensuite assis sur le banc dans la cour où nous avons parlé de pas mal de choses sauf de ce qui s'était passé avant l'interruption de ma tante, trop gênés l'un et l'autre sans doute. Il me confia qu'il était assez nerveux à l'idée de sa rentrée en sixième car tous ses amis iraient dans un collège public tandis que lui irait dans la même institution privé que moi.

Environ un quart d'heure plus tard ma tante revint de chez son amie.

"Vous pouvez rester ici à discuter encore un moment le temps que je prépare le repas. Je vous appellerais quand il sera temps de se mettre à table."

Sur ces mots elle nous quitta car le téléphone se mit à sonner à l'intérieur de la maison.

Au moment de se mettre à table me tante interpella mon cousin:

"Jérôme, tu n'aurais pas oublié de prévenir ton père que tu resterais dîner ici? parce que c'est lui qui viens d'appeler pour savoir pourquoi tu étais si long à revenir."

"Quand j'ai appelé la ligne était occupée et ensuite j'ai oublié de rappeler pour le prévenir."

"Eh bien, mon garçon, tu vas devoir retirer ton short et ton slip, ton père m'a demandé de te punir de la façon qui convenait."

Après un instant d'hésitation mon ami s'exécuta. Comme il portait une chemise assez longue, elle dissimulait ses partie intimes. Il fut prestement allongé en travers des genoux de ma tante qui remonta sa chemise au milieu du dos de manière à avoir ses fesses dénudées et prêtes pour le châtiment.

"Je vois que tu as été puni récemment, eh bien nous allons redonner des couleurs à ton derrière."

Et elle s'appliqua à faire ce qu'elle avait annoncé. Pour moi; c'était une chose tout à fait nouvelle que de voir quelqu'un recevoir une fessée. Je préférais nettement être dans ma position de spectateur. Elle était à coup sûr plus confortable que celle d'acteur comme je l'avais été plus tôt dans la journée. Je pouvais de ce fait tout à fait imaginer ce que ressentait mon copain en ce moment et je le plaignait sincèrement, même si une partie de moi était excitée par le spectacle que j'avais sous les yeux. La correction me parut longue, et j'imagine que pour lui elle sembla interminable. Dès qu'elle le lâcha mon ami se frotta instinctivement les fesses pour essayer d'en atténuer la douleur. Il reçu la permission de se rhabiller pour le repas ce qu'il fit immédiatement mais je pus apercevoir que furtivement son _s_e_x_e qui me parut plus grand que le mien, en effet lorsqu'il m'avait fait voir les trace du martinet dans ma chambre il était resté de dos et je n'avais vu que ses fesses. Je ne revis pas Jérôme cette semaine-ci car il devait partir dans de la famille et ne devait rentrer que la veille de la rentrée des classes.


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