Gang Lutte Anti-Pédé 2


by Frenchspanker <Frenchspanker@hotmail.com>

Samedi 4 avril

Cet après-midi on a réglé son compte à l'autre mec qui participait au vol de portefeuilles à la sortie du Parc Miron, avec Victor.

On avait repéré qu'il allait tous les samedi à un club de musculation, et qu'il en sortait toujours vers 6 heures. Ensuite il rentrait chez lui, apparemment pour se doucher, car il sortait en tenue d'entraînement, donc nous supposions qu'il ne prenait pas sa douche au club. On avait monté un scénario : on le suivrait, on lui laisserait le temps de se mettre sous la douche, puis on entrerait dans son appart. (Jérôme était un véritable passe-muraille, un as en matière de serrures), et on attendrait tranquillement dans le salon qu'il sorte de la salle de bain, sans doute en tenue légère.... (on bandait rien que d'y penser) et là on lui infligerait une petite séance.

Tout a marché comme prévu. A 6 heures il sortait du club de muscu. On l'a suivi. On a attendu un moment derrière la porte et quand on a entendu le bruit de la douche, Jérôme a commencé a exercé ses talents. Ce ne fut pas difficile, et 10 minutes plus tard on était assis dans le salon. Le gars paraissait très content, il sifflait sous la douche, il s'est même mis à chanter, et çà nous faisait bien rire. Puis l'eau s'arrêtera de couler, quelques minutes passèrent encore, et enfin il apparut sur le seuil de la salle de bain. Il s'arrêta, pétrifié. Il était nu comme un vers, les cheveux mouillés, quelques gouttes d'eau descendaient lentement sur son torse imberbe. " Qu'est-ce que.... qu'est-ce que vous faites là ?". Je me levai et lui expliquai les raisons de notre visite. On vit la panique croître dans son regard. Avant qu'il ait pu dire quoi que ce soit, il se retrouva bâillonné et maîtrisé par nos huit bras, tout aussi costauds que les siens !

On commença par le coucher sur nos genoux, sur le divan, et à lui administrer une bonne fessée. On se relayait, çà a duré longtemps, et ceux qui ne frappaient pas jouaient avec tout ce qui pouvait leur tomber sous la main : ses cuisses, ses couilles, sa queue, son gland, je pense que jamais on ne l'avait tripoté comme çà dans tous les sens, le pauvre ! Il était devenu un véritable objet entre nos mains, notre petit hétéro anti-pédé. Quand les fesses furent bien rouges, on écarta les jambes, et plusieurs mains s'engouffrèrent entre les cuisses, entre les fesses, puis on le retourna, on releva les jambes, on ouvrit son petit cul à fond, et avec une règle en bois, on se mit à frapper la partie la plus intime. Il éructait, essayait de se débattre, criait dans le mouchoir qu'on lui avait collé dans la gueule, mais rien ne nous arrêta, le supplice fut mené à son terme. La règle frappait maintenant directement l'anus, en cadence, à chaque coup il faisait un sursaut. Tous les quatre on avait la trique, braguette ouverte, la queue au vent.

Ensuite, on a fait un truc machiavélique. On lui a introduit des boules, une longue chaîne de boules, toutes attachées les unes aux autres bien sûr. On est arrivé à lui mettre neuf, avec beaucoup de lubrifiant. Puis on a attaché les boules à une chaîne plus longue, qu'on a arrimée à une poignée de porte, en le forçant à se mettre à quatre pattes. Il ressemblait maintenant à un chien qu'on aurait attaché par le cul. Ensuite on a pris un grand martinet de cuir épais, et on s'est mis à lui fouetter la croupe. Il essaya un bon moment de ne pas bouger, et se contenta de se tortiller, mais quand même, les coups devenaient tellement forts qu'il avança malgré lui, la chaîne se tendit et une première boule réapparut. Et vlan, vlan, vlan, tiens ! la deuxième boule. Le pauvre n'en pouvait plus, il rampa encore un peu sur le sol : troisième boule. Il finit par gagner ainsi l'autre extrémité de la pièce, et les neufs boules s'échappèrent de son petit cul vierge. A chaque fois qu'une boule ressortait, il s'écrasait sur le sol, comme foudroyé. Puis sous les coups qui pleuvaient sur ses cuisses, ses fesses, il se remettait à quatre pattes, et finissait toujours pas avancer.

Après la neuvième boule, il n'eut pas le temps de se relever, car Franck, qui s'était mis à poils, dans un état d'excitation terrible, se précipita sur lui et l'encula aussi sec. Les trois autres on s'est dépêche d'aller maintenir la marchandise. Le viol dura une heure, on y est passé tous les quatre évidemment. Ensuite on l'a reconduit dans sa salle de bain, on a enlevé la pomme de douche et on lui a mis le tuyau dans le cul. On a ouvert le robinet, et on l'a rempli d'eau. Après, humiliation totale, on l'a ramené au salon, on l'a mis en position et il a rendu toute l'eau au beau milieu de la moquette. On l'a attaché solidement à la table et on est parti.

Et de deux !


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