Vol De Slip


by Lionel R

Un jour, quand j'avais 17 ans, aux Galeries Lafayette, au rayon sous-vêtements, j'avais trouvé plusieurs caleçons CK qui me plaisaient beaucoup.... mais qui étaient beaucoup trop cher pour mon budget de lycéen. J'ai gagné la cabine d'essayage et là, je me suis déshabillé et j'en ai enfilé deux l'un sur l'autre en mettant mon slip dans ma poche. J'ai renfilé mon jean et je me suis tranquillement dirigé vers la sortie quand un vigile m'a intimé l'ordre de le suivre. J'étais mortifié : comment avait-il su ? aucun portique n'avait sonné. Bref, j'ai suivi le mec en question et dans le bureau de la sécu, lui et un collègue, tout aussi barraqué, m'ont demandé de rendre ce que j'avais piqué. Comme un con, j'ai crâné et dis qu'ils se trompaient, que mon père était quelqu'un d'important et qu'il ne serait pas content qu'on me soupçonne.

dessape toi, m'a intimé le premier mec. Comme je n'obtempérais pas immédiatement, il a ajouté : dépêche ou c'est moi qui le fais....

J'ai oté mon jean et je me suis retrouvé en caleçon. Mais là, horreur, j'ai commencé à bander (la peur, l'excitation ,). Le deuxième mec s'est mis à rire en montrant ma bosse à son collègue.

mais il a l'air d'aimer ça, le petit pédé. Allez, aboule le calcif !

J'avais maintenant les larmes aux yeux mais j'ai ôté le caleçon.... révélant que j'en portais un autre. Je le baissais à son tour, révélant ma queue d'ado tendue vers les mecs.

alors, ça t'excite de voler des caleçons ? Et ça t'exciterait autant qu'on appelle la police ; petite pédale ?

J'avais perdu de ma superbe (enfin, façon de parler, je bandais toujours !) et je les ai suppliés de ne rien faire. Le mec m'a alors proposé :

C'est ta première fois, hein ? Si t'es gentil, on passe l'éponge.... Ecoute, tu te finis tout seul pour qu'on se rince l'œil et puis on te met une petite fessée pour le principe, OK ? Si tu es d'accord, tu pourras repartir.... mais ne recommence pas, hein ?

J'(acceptais le marché. Je me suis donc branlé devant eux et malgré les larmes aux yeux et l 'humiliation, je n'ai pas tardé à jouir.... le premier mec m'a alors lancé mon slip (pas le CK !) pour que je m'essuie. Ensuite, il s'est assis et m'a demandé de prendre place sur ses genoux. Et là, il m'a frappé, d'abord doucement, puis de plus en plus fort. Je ne bandais plus, je vous prie de le croire. Je me suis mis à pleurer et l'ai supplié de s'arrêter. Il a rigolé et a demandé à on collègue de vérifier si la punition avait bien été appliqué.

L'autre m'a redressé et là, il a saisi ma queue pendante et l'a triturée dans tous les sens. Il m'a malaxé les couilles aussi en rigolant.

Je crois que ça ne l'excite plus, je pense qu'il a compris.

Il m'a alors jeté mon jean que j'ai dû remettre sans rien dessous. Ils ont rigolé en voyant la forme de ma queue sous le tissu.

ce petit pédé porte à gauche, tu vois. Bon, c'est bon, tu peux y aller. Mais qu'on ne te reprenne pas à fouiner dans le rayon ou on sera moins gentil la prochaine fois.

Je suis parti sans demander mon reste. Je ne suis pas retourné aux Galeries mais à chaque fois que je vais dans un autre grand magasin et que je passe aux rayon sous-vêtments, je repense à ce moment à la fois hyper humililant et hyper excitant....


More stories by Lionel R