Nettoyage


by Chris <Fessee2@yahoo.com>

Le matin, avant les cours, entre 7h45 et 8h30 pour être précis, on était à tour de rôle responsable du nettoyage de nos chambres et des sanitaires. Il y avait un gars qui faisait la chambre, un autre qui faisait les chiottes et un enfin qui s'occupait des lavabos et des douches. Vers 8h25, le pion passait pour faire l'inspection et nous allions ensuite en classe pour la journée. Si le travail n'était pas correctement fait, on devait recommencer le lendemain avec souvent en prime une bonne fessée. Nous faisions donc gaffe à ne pas bâcler le travail. Ce matin-là, je suis en survet Adidas et je m'occupe des toilettes. Ce n'est pas le plus agréable, mais je n'hésite pas à mettre beaucoup de produit. J'entends du bruit dans le box à côté de celui que je suis en train de nettoyer. Il y a un trou dans la cloison que des mecs ont percée, il y a sûrement très longtemps.

Je me baisse et regarde par le trou. Je découvre de l'autre coté de la cloison Arnaud, un mec de mon dortoir qui devait s'occuper de nettoyer notre chambre. Il est en caleçon, en train d'enlever son tee-shirt. À ses pieds, je vois une revue porno ouverte. Trop cool, je devine qu'il ne va pas tarder à se branler et que je vais pouvoir le mater en pleine action. Il feuillette les pages du magazine, pose sa main sur son caleçon et se caresse à travers le tissu. De mon côté, je trique comme un fou dans mon survet. Je ne suis pas assez discret et Arnaud tourne la tête vers la cloison depuis laquelle je le regarde. Il a découvert que je suis de l'autre côté en train de le regarder. Cela ne semble pas le déranger, car il se place juste contre l'autre mur pour être complètement face à moi. Il est maintenant assis par terre, dos au mur en train de se toucher avec de plus en plus d'insistance.

Je n'en peux plus. Je baisse mon survet et mon caleçon et je me branle doucement en continuant de le regarder se tripoter. Il a complètement délaissé sa revue de cul. Il a la main posée sur son caleçon et fait apparaître ainsi la forme d'une tige bien raide juste cachée par le tissu de coton blanc. Il fait des allers et recours lents sur son _s_e_x_e toujours recouvert par son sous-vêtement. Il se relève et s'approche de ma cloison. Ce trou à moins d'un mètre du sol est une véritable aubaine. Il glisse son _s_e_x_e en érection à travers. Sa bite est assez fine et son gland décalotté, bien rose est maintenant de mon côté de la cloison. Je m'assieds sur le couvercle des chiottes pour me mettre à l'aise. Je caresse un peu son _s_e_x_e et approche ma bouche. Je le lèche lentement, je passe ma langue sur sa queue, je gobe le plus profondément possible sa tige raide. Elle fait des petits sauts réguliers me prouvant l'excitation de mon voisin.

De la main droite, je me branle. Je suis moi même excité comme un fou. Ma tige est tellement raide qu'elle me fait mal. De l'autre coté, j'entends Arnaud qui râle et qui s'adresse à moi par moments : " Vas-y c'est bon ", " Continu, suce moi bien ", "Elle est bonne ma queue ". Sa bite est bien gluante même si il n'a pas encore juté. J'aimerais bien qu'il s'occupe aussi de moi même si je trouve cette situation très agréable : " Et Arnaud, si on allait dans la chambre ? ". Pour toute réponse, je vois sa queue ressortir du trou où elle était et j'entends le bruit du verrou de la porte des toilettes. Je remonte vite fait mon caleçon et mon survet et sort de mon box. On devine une belle bosse dans mon pantalon de survêtement. Arnaud sort de son box dans le même état que moi : " Magne toi, il est déjà 8H00 et le pion passe dans 20-25 minutes. Je le suis alors qu'il se dirige vers le dortoir : " Ca nous laisse encore 15 bonnes minutes pour balancer mon foutre ".

Il rentre dans la chambre et je ferme la porte derrière lui. Ni une ni deux, Arnaud se déshabille et se retrouve à poil alors que j'ai encore mon caleçon. Il se place à genou devant moi et glisse sa main sous mon caleçon au niveau de ma jambe " Voyons voir cette bite. Putain elle est vachement raide ". Et il porte mon engin à sa bouche et commence à me sucer avec le même plaisir que je lui prodiguais, il y a quelques minutes. J'écartais de la main le tissu de mon caleçon pour qu'il est une vue complète sur ma tige. Au bout d'une ou deux minutes, je le repousse légèrement pour pouvoir retirer complètement mon caleçon. Nous sommes maintenant tous les deux complètement à poil. Il se redresse et va s'allonger sur le lit.

Je le rejoins et m'allonge à côté de lui pour reprendre le travail que j'avais interrompu quelques minutes plus tôt dans les toilettes. Mais ce coup-ci, je peux voir sa teub en entier. Elle me paraît très longue. D'une main, je caresse ses couilles qui sentent une bonne odeur de mec et de l'autre je me branle lentement. Avec ses mains, il me pousse la tête sur sa bite " Suces moi bien profond. Allez, avale ma teub en entier ". J'ai envie de retrouver les sensations de sa langue et de sa bouche. Je change de position pour qu'il puisse aussi s'occuper de moi. Sans parler, je crois qu'il m'a bien compris car je sens d'un coup la chaleur de sa bouche entourer ma tige.

Nous continuons ce 69 avec beaucoup d'énergie. Tant est si bien que très vite, peut-être deux minutes, je suis obligé de dire à Arnaud : " Fait gaffe, je vais pas tarder à juter ". Pour seule réponse, il a accéléré le mouvement de sa bouche et de sa main sur mon _s_e_x_e. Visiblement, il voulait que je lui jute en pleine bouche, je ne me retiens pas et éjacule donc à l'intérieur. Il continue de me lécher ainsi alors que mon gland est devenu très sensible à son geste. De mon côté, je me doute qu'il ne va pas tarder à cracher. Comme je viens de juter, je suis moins excité et c'est à la main que je décide de le finir. Il est sur le dos, je le branle assez rapidement et au bout de quelques secondes, trois filets de crème blanche partent dans les airs pour atterrir sur son ventre.

Alors que je m'allonge à côté de lui, sur le dos également pour me remettre de mes émotions, la porte de la chambre s'ouvre. C'est Daniel, notre pion qui entre et nous découvre dans cette position sans équivoque. Il n'est pourtant que 8h15. Il ne vient jamais aussitôt d'habitude. Heuresement qu'il n'est pas arrivé quelques minutes plutôt pour nous surprendre en pleine pipe réciproque. Il s'approche de nous deux qui évitons son regard : " Petits fainéants. Vous ne devriez pas être en train de faire vos corvées ? Oh mais je vois que vous aviez mieux à faire ! Allons, levez vous. Je vais vous apprendre à vous branler moi au lieu de participer aux tâches collectives ". Il me tire par le bras puis Arnaud pour nous sortir du lit. Puis il nous pousse vers la table : " Penchez-vous, je vais faire rougir vos fesses pour vous passer l'envie de tirer au flan, bande de petits branleurs ". Clac, sa main frappe avec force mes fesses. J'entends le " clac " de la main qui s'abat sur celles d'Arnaud. C'est de nouveau mon tour, puis celui d'Arnaud. À tour de rôle, nous sentons la main de Daniel qui s'abat avec fermeté sur nos fesses. Arnaud et moi gémissons et grimaçons un peu mais la douleur est supportable.

Daniel s'arrête un instant, tire la chaise de la table au milieu de la pièce : " Christophe, amène toi ici et allonge toi sur mes genoux, je vais m'occuper plus sérieusement de ton cas ". Je m'approche hésitant, mais il m'agrippe fermement le bras et me fait basculer sur ses genoux. Mes bras s'accrochent à sa jambe droite, tandis que mes jambes sont dans l'air. De fait, je ne touche pas le sol. Ma bite pendouille molle entre ses jambes écartées. Sa main frappe mes fesses à de multiples reprises pendant de longues secondes. Son rythme est rapide, je n'ai pas le temps de souffler qu'une autre claque tombe. Mes fesses me font très mal. Arnaud est toujours penché contre la table lorsque Daniel s'arrête enfin " Au second de ces Messieurs. Allez Arnaud, c'est ton tour ". Je peux me redresser car libérer de l'emprise de Daniel. Mes fesses cuisent, j'ai vachement mal. Cela a été rapide mais efficace.

Le mec que je venais de sucer se trouver maintenant dans une position très inconfortable. Lui aussi n'avait pas les pieds qui touchaient le sol. Je vois sa bite molle aussi qui frotte contre la jambe de Daniel. Le sperme qu'il avait sur le ventre doit maintenant s'étaler sur le jean du pion. J'étais debout en train de regarder le début de sa punition quand Daniel me lança : " Christophe tu te mets à genou, les mains sur la tête, face au mur ". Je m'exécutais et entendais seulement Arnaud crier " aie " suivi d'un " clac " puis d'un " aie " et ainsi de suite. Daniel avait trouvé son rythme de croisière : " Tu réfléchiras à deux fois avant de te branler pendant les corvées ", " dans quelles minutes, tu auras les fesses de la même couleur que ton pote ". Le silence retombe dans la pièce. On n'entend que la respiration rapide de Daniel et d'Arnaud. Je devine que mon copain se relève et des mouvements dans mon dos. La voix du pion rompt ce calme : " Rhabillez vous et allez en cours. Vous êtes déjà en retard ce qui vous vaudra sans doute une autre punition. Demain, vous serez encore de corvée. Et j'espère que vous m'éviterez d'avoir à vous corriger. Bien compris ? ". Nous le regardons droit dans les yeux comme il le veut dans ces cas-là pour lui répondre en cœur : " Oui, Monsieur ".

Daniel sort de la pièce, Arnaud et moi nous habillons face à face assez rapidement pour ne pas être trop en retard. Arnaud se caresse le tissu de son caleçon en me regardant : " Tu m'as sucé comme un Dieu. Il avait beau frapper comme un ouf, je n'arrêtais pas de penser à ta pipe. Tiens, regarde, j'ai de nouveau la trique ". Et il sort sa queue raide par la fente. En continuant de mettre les boutons de mon jean, je tire la langue avec un air vicieux : " Faut dire que t'as une sacrée longue bite. Et qu'elle est bien juteuse ". Je suis maintenant habillé : " En revanche, t'es pas rapide. Magne toi ". Il glisse son tee-shirt dans son pantalon et je sors du dortoir le premier. Nous nous dirigeons vers les classes ou notre retard risque de ne pas passer inaperçu.


More stories by Chris