Le Bateau


by Chris <Fessee2@yahoo.com>

J'avais 12 ans presque 13 quand mon père décida de m'inscrire dans un camp scout d'été. Pas un camp classique en forêt mais une balade de plusieurs semaines en bateau qui devait nous mener des cotes normandes aux cotes espagnoles. J'avais participé à trois réunions le samedi pour faire connaissance avec les autres membres de mon équipe. Nous avions répété les manœuvres de base, les exercices de virement de bord, les nœuds, le vent, les voiles, l'orientation, les cartes....

Nous serons 8 garçons répartis en deux équipes. Chaque équipe était composée d'un chef de 18 ans et de trois garçons de mon âge. Dans mon équipe, Pierre est le chef. C'est un mec assez costaud car très sportif, blond, les cheveux très courts. Il pratique la voile depuis plusieurs années, il a passé des brevets pour encadrer des mômes et manœuvrer une embarcation. Le chef de l'autre équipe s'appelle Jonathan, il est grand et mince. J'ai eu peu d'activité avec lui, mais je le trouve moins sympa que Pierre car il parle souvent de " valeur ", de " moral ". Je suis bien content de ne pas être dans son équipe. Il a aussi des brevets d'encadrement et de navigation.

Les deux autres jeunes de mon âge sont Nicolas, 13 ans, un petit brun aux yeux bleus et Julien 12 ans, un peu plus grand, avec des cheveux châtains courts. Je m'entends bien avec eux. Nous sommes déjà assez complices car nous sommes tous les trois très contents de quitter nos parents pour plusieurs semaines et partir à l'aventure. Je connais moins bien les trois garçons de l'autre équipe : Alexandre, Frédéric et Richard. Ils doivent avoir dans les 12, 13 ans comme nous.

Le rendez-vous est fixé au port de Cabourg, un matin de juillet. Le ciel est bleu, la mer calme. En arrivant au ponton, je découvre un petit attroupement près d'un voilier, long d'une bonne vingtaine de mètres. Je retrouve mes compagnons d'aventure tous habillés en short, dis rapidement au revoir à ma famille et pose mes affaires dans la cabine de mon équipe. On largue les amarres et l'on quitte le port en utilisant le moteur et en agitant les bras en signe d'adieu à nos parents comme cela est la règle.

Sur le bateau, la vie s'organise : la journée est découpée en quatre tranches horaires de six heures chacune. Le bateau est conduit par deux garçons en même temps. L'un s'occupe du gouvernail, l'autre des voiles. Les autres, pendant ce temps, se reposent ou s'occupent des tâches collectives : la cuisine, l'entretien du bateau, les classiques devoirs de vacances.... Les tours changeront pour ne pas que ce soient les mêmes qui se tapent la nuit et ne puissent pas bronzer.

Pour cette première journée et pour me roder, je partage mon tour (12h–18h) avec Pierre qui est au gouvernail et me donne des conseils pour tirer les bouts et tirer les voiles. C'est cool, il fait beau, on a mis de la crème pour se protéger, on se raconte des souvenirs d'école. Pierre a fait plein de conneries quand il était à l'internat et à l'air d'avoir reçu pas mal de correction de son père même si il ne me raconte pas les détails. Pendant ce temps, Jonathan donne des ordres à ses garçons, il trouve toujours un truc pour les maintenir occuper. Alors que de notre côté, Nicolas et Julien sont à l'avant du bateau en train de profiter du voyage.

Pierre prend encore le tour suivant (18h-24h) avec Julien alors que nous préparons tous ensemble le dîner. Il est servi dans la salle commune qui comporte une table ainsi que deux petits lits banquettes. Il y a aussi une petite cuisine, des toilettes, une cabine de douche et un espace de travail sur lequel est posé les cartes de navigations, les boussoles et la radio. Après avoir discuté avec les autres et fait la vaisselle, je me dirige vers notre chambre composée d'un lit double, de quelques rangements et située à l'avant du bateau. L'autre chambre est à l'opposée, sous le pont. Nicolas pour cette première nuit s'installe sur l'une des banquettes, tout comme Alexandre qui prendra avec Jonathan la tranche suivante (24h-6h). Je sais que c'est avec Pierre que je partagerai le lit cette nuit, alors, un peu par timidité, je me déshabille, mais conserve tout de même mon caleçon.

J'ai du mal à m'endormir car le bateau tangue et je n'ai vraiment pas l'habitude. Vers minuit, j'entends Pierre entrer discrètement dans la chambre. Je me retourne pour le regarder. Grâce au clair de lune, je le vois se déshabiller : " Tu dors pas ? ". Je me redresse dans le lit : " Non, j'y arrive pas. Ça bouge tout le temps ". Il enlève son tee-shirt : " Eh ben, qu'est ce que tu diras quand ça bougera vraiment ! ". Je ne peux quitter des yeux ce mec plus âgé qui s'exhibe devant moi. Je n'ose pas espérer qu'il se foute complètement à poil. Sans aucune gêne, Pierre baisse son caleçon devant moi, me révélant une belle teub, pendante, au repos : " Faut que tu dormes, sinon tu seras naze demain. Allez, bonne nuit ". Il se glisse sous la couette et s'allonge sur le ventre.

J'ai encore plus de mal à me rendormir car je n'arrête pas de repenser à ce mec que j'ai vu totalement nu. Je commence même à bander, mais ne peux pas me branler car j'ai peur de le réveiller. À un moment, il se met sur le coté et me fait ainsi face. Je lève légèrement la couette pour apercevoir sa queue. Putain, j'ai envie de la toucher, juste pour voir. Je suis excité comme un fou. Je décide de me tourner plusieurs fois et, sans vraiment le faire exprès, d'approcher ma main de sa bite. Ce petit stratagème me permet de caresser quelques secondes sa tige. Mais il bouge aussitôt et se met sur le dos. Je décide d'arrêter mon petit jeu pour éviter de le réveiller et de me faire ainsi remarquer le premier jour. Au fond de moi, je pense qu'il y aura d'autres occasions. Je me suis finalement endormi.

Au réveil, j'ai juste le temps de voir Pierre sortir du lit et constater qu'il bande dur. Ça se voit même lorsqu'il a passé son caleçon : " Lève toi Christophe, il est 8 heures. Faut qu'on prépare le petit déj ". La journée se passe bien, l'initiation à la navigation des uns et des autres se poursuit. En milieu d'après-midi, comme le vent est tombé, on s'est baigné à côté du bateau. Alors que l'autre équipe est au gouvernail, Pierre nous réunis tous les trois pour faire une dictée. Ce n'est pas l'exercice ou je suis le meilleur. Pierre corrige les copies : " Christophe, c'est nul. Zéro sur vingt. Il y a plus de trente fautes ". Je me lève pour gagner le pont : " C'est pas mon truc l'orthographe. En revanche, je vais t'étonner en math ".

Pierre m'a suivi à l'extérieur : " Oui, ben tu as quand même intérêt à faire des progrès ". Je ne relève pas la remarque, mais Jonathan en profite pour se mêler à la conversation : " Je parie que c'est un cancre ? ". Pierre acquise de la tête : " Oui, y a vraiment du boulot. Si j'avais ramené des notes pareilles à mon père, je te dis pas la raclée que j'aurai prise ". Jonathan insiste : " Exactement comme mon vieux. Chez nous, il y avait même un barème établi avec une punition précise pour chaque note en dessous de 12/20. Je te dis pas quand je ramenai un zéro la correction que je recevais ". La discussion en reste là.

Après le dîner, je ne vais pas me coucher car je suis chargé de la tranche de nuit (24h-0h) avec Julien. Il fait frais, la mer est calme et la lune éclaire bien la surface de l'eau. Je discute avec Julien de chose et d'autres : des souvenirs de l'école, ce qu'on voudrait faire plus tard....À l'intérieur du bateau, le silence règne car tout le monde dort. J'ai envie de me faire un peu valoir auprès de mon nouveau copain : " Tu as déjà bu du whisky ? ". Julien est au gouvernail : " Non, j'ai jamais bu d'alcool. Pourquoi ? ". Je me dirige vers la cabine : " Attends, je reviens ". Je rentre tout doucement dans la chambre et retire de mon sac une petite flasque. Je remonte sur le pont : " Vas-y, goûte, ça va te réchauffer ". Julien porte le flacon à la bouche, avale une gorgée : " Houa, ça arrache dur ". Je lui emboîte le pas : " Tu vas avoir un peu la tête qui tourne mais ça passe ".

On descend la flasque en quelques minutes. Julien ne se sent pas bien : " Tu veux pas tenir le gouvernail un peu. Je pionce quelques minutes ". Je prends la barre et il s'allonge sur la banquette à côté de moi. Je suis aussi très fatigué vu que j'ai peu dormi la nuit précédente plus l'air de la mer, les activités toutes la journée. Bref, nous nous sommes endormis tous les deux. C'est Pierre qui nous réveille en sursaut : " Putain, mais c'est pas vrai. Je rêve. Qu'est ce que vous foutez ". Je reprends mes esprits et me rend compte de la situation. Celle-ci s'aggrave encore lorsque Pierre découvre le flacon qu'il porte à son nez : " De l'alcool maintenant. Vous êtes des vrais mômes. On peut vraiment pas vous faire confiance ". On baisse la tête tous les deux en attendant que Pierre se calme.

Jonathan, attiré par le bruit, déboule également en caleçon sur le pont : " Qu'est ce qui se passe ? ". Pierre lui tend la flasque : " Ces branleurs se sont soûlés et endormis à la barre. Si j'avais pas entendu les voiles qui claquaient, on pouvait finir écraser dans les rochers ou sur un autre bateau. On vient de partir, mais je crois que ce serait plus raisonnable de laisser tomber le camp et de les ramener demain à leurs parents ". Jonathan ne semble pas du même avis : " Ce serait pas juste pour les autres qui n'ont rien fait et puis je suis certains que leurs parents ne les puniraient même pas. Non, je crois qu'on peut régler ça par nous-mêmes ". Pierre se tourne vers lui : " Ah oui et comment ? ". Jonathan me pousse et attrape la barre : " Je vais te le dire, mais avant tous les deux vous dégagez de ma vue et vous allez vous coucher. Je veux pas entendre un mot ".

Sans un mot, Julien entre dans la chambre. Quant à moi, je me déshabille dans le noir et me couche sur la banquette. J'entends des murmures venir du pont mais rien de très distinct. Je ne sais pas ce que Jonathan a derrière la tête mais, connaissant le personnage, cela ne me dit rien qui vaille. Aidé par la fatigue et l'alcool, je m'endors très vite. Je suis réveillé à 6h par la nouvelle équipe qui s'installe à la barre et nos deux chefs qui se font un café. Au petit-déjeuner, Jonathan annonce le programme de la journée : " Nous allons faire escale à Granville. Quartier libre pour tout le monde sauf Christophe et Julien qui sont consignés à bord. Retour de tout l'équipage à 14h ".

Alors que tous les autres sont à terre, Julien et moi jouons aux cartes sur le pont sans trop évoquer les événements de la veille. Je suis honteux d'avoir embarqué Julien dans cette galère. Vers 14h, toute l'équipe est de retour. Les chefs portent des sacs que je devine être les provisions pour les prochains jours, qu'ils descendent dans la cabine. Nous levons l'ancre et partons en mer. Au bout de deux heures environ, Jonathan crie : " Tous les gars sur le pont ! ". Tout le monde se rassemble. Pierre est à la barre. Jonathan prend un air très sérieux : " Messieurs, comme vous le savez sûrement cette nuit, deux de vos camarades ont consommé de l'alcool et se sont endormis durant leur tour de garde mettant ainsi en danger la vie de tout l'équipage ". Il se tourne vers Pierre : " Puisque nous sommes vos chefs, nous avons décidé de poursuivre notre route mais aussi de punir ces garçons pour leur faire prendre conscience de leur faute ". Il nous désigne du doigt : " Tous les deux, mettez vous sur le côté droit. Les autres mettez vous à gauche. Nous allons les juger ".

Nous nous déplaçons sur le pont et faisons maintenant face à quatre garçons torses nus, en shorts qui ne nous quittent pas des yeux. Jonathan se tient à côté de Pierre, au milieu : " Bon, Messieurs, vous avez entendu ce qu'on vous reproche. Qu'avez-vous à dire pour votre défense ? ". Je n'ose pas répondre. Julien non plus. Pierre toujours à la barre soupire : " Ce silence est accablant ". Alors, je me lance, convaincu qu'il me fallait plaider notre cause et éviter des ennuis à Julien : " C'est ma faute. C'est moi qui ai introduit l'alcool sur le bateau. C'est moi qu'il l'a poussé à en boire. Je savais pas que c'était si grave ". Je lâche même un tardif : " je recommencerai plus. Je le promets ". Pierre semble apprécier ma franchise : " C'est bien bonhomme de reconnaître ses erreurs ". Mais Jonathan le coupe : " C'est bien, mais cela n'empêche pas que votre comportement est inacceptable et que vous méritez tous les deux une punition ". Il descend dans la cabine et revient avec un sac en plastique dans la main.

Jonathan a le sac à la main : " Qui sait comment on punissait les hommes sur les galères dans le temps ? ". Alexandre propose : " On les privait de repas ". Jonathan n'est pas satisfait de la réponse : " Oui, c'est vrai mais encore ". Richard lâche : " Le fouet ". Le visage de Jonathan s'illumine : " Exactement, le fouet ". Le mot tombe comme un couperet. Je commence à comprendre ou il veut en venir. Le suspense tombe lorsque Jonathan ouvre son sac : " Le fouet serait certainement trop dur pour vos deux camarades, mais le martinet nous semble plus approprié ". Il tire du sac un instrument composé d'un manche jaune en bois sur lequel sont accrochées une douzaine de lanières de cuir marron. Nous sommes maintenant en pleine mer. Pierre continue de s'occuper du bateau. Il a descendu les voiles et s'est rapproché de l'autre chef qui entre temps a glissé le manche du martinet dans son bermuda.

Pierre pose sa main sur l'épaule de Jonathan : " Combien de coups de martinet ton père t'aurait filé pour une connerie aussi grave ? ". Jonathan savoure son rôle : " Je pense entre 50 et 100 coups.... Cul nu bien sûr ". Pierre comme un juge qui a suivi tous les débats tranche : " Ok, cette punition vous l'avez mérité et vous le savez. Puisque vous avez mis les vies de l'ensemble de l'équipage en danger, vous serez punis par tout le monde. Christophe, tu as entraîné ton camarade et ta punition sera plus sévère. Si vous en êtes d'accord, je pense que Christophe mérite 80 coups de martinet. 10 seront donnés par chaque garçon et 20 par chaque chef. Pour Julien, ce sera 50 coups de martinet. 5 seront donnés par chaque garçon et 15 par chaque chef ". Jonathan a le sourire et s'adresse aux quatre garçons : " Cela me semble juste. Saisissez les et amenez les vers le mat ".

Je viens de réaliser la sévérité du jugement et de comprendre que je vais être fouetté devant d'autres garçons de mon âge. Les choses vont très vite. Deux garçons m'attrapent chacun par le bras. Je commence à me débattre mais ils resserrent leur prise : " Lâchez- moi. Je veux rentrer chez moi. Vous avez pas le droit ". Julien se débat aussi : " Déconnez pas. C'est pas drôle ". Jonathan et Pierre se tiennent au pied du mat. Pierre tient dans la main une petite corde, il m'attache les mains ensemble : " Tiens toi tranquille. Tu vas pas échapper à cette fessée, tu le sais ". La corde est ensuite accrochée au filin qui permet d'habitude de monter la grand voile. Julien est en face de moi, de l'autre côté du mat et attaché lui au filin du phoque. Jonathan tire ensuite sur le filin du phoque ce qui provoque la montée des bras de Julien. Pierre fait de même avec moi. Julien et moi sommes maintenant face à face, toujours torses nus, tous les deux bien droits et les bras tendus au-dessus de nos têtes.

Pierre se place derrière moi et m'entoure de ses deux bras au niveau de mon short : " On a dit que le martinet serait appliqué sur le cul nu ". Je sens alors ses mains qui dégrafent ma ceinture puis qui font sauter un par un les boutons de mon bermuda. Au dernier bouton, je sens le short qui descend tout seul sur mes chevilles. Je sens le terrible regard des autres garçons posé sur moi. Deux doigts se glissent de chaque coté de mon caleçon qui suit le même chemin que mon short. L'air de la mer passe sur mes fesses pour me rappeler s'il en était besoin que j'étais alors à poil. Jonathan se place derrière Julien : " Découvrons ce petit cul nu blanc, qui ne va pas le rester longtemps ". Je vois Jonathan qui ensuite passe sur le coté et se place derrière moi. Je ne le vois plus et me doute qu'il va commencer par moi.

Je ne me trompais pas car il ajuste un peu ma position en me posant sa main gauche sous le ventre pour me faire tendre plus les fesses : " Bon, alors les mecs, c'est pas difficile. Vous saisissez le manche du martinet fermement. Vous prenez un peu d'élan et vous envoyez les lanières frapper les fesses du puni ". Schlac. Un premier coup me tombe sur les fesses. La douleur est instantanée. Je sens Jonathan qui réarme son bras " Comptez le nombre de coups vous autre ". J'entends alors le groupe qui lui répond en chœur " Un ". Le deuxième coup tombe rapidement, puis le troisième. Cela va assez vite, avec le même rituel : le bruit des lanières qui frappent mon cul suivi d'une petite foule qui annonce un chiffre à haute voix. Je peux voir le regard de Julien en face de moi qui semble très inquiet.

On en est qu'à " dix-huit " et je serre déjà mes dents pour ne pas crier. Je commence à transpirer. Jonathan approche les lanières de mon visage : " Les deux derniers seront terribles ". J'angoisse carrément. Il annonce en hurlant quasiment " dix-neuf ". Je penche ma tête en arrière : " ahhhhh ". J'entends les autres mecs autour de moi réagir en commentant à voix basse. Le temps passe très lentement en attendant le numéro 20. J'entends Jonathan crier " vingt ". Je serre les temps. Mais le coup ne vient pas. Je me relâche. C'est le moment que choisi cet enfoiré pour abattre le cuir sur mon postérieur et redire à nouveau " vingt ". Je l'entends rire, visiblement assez fier de son effet. Il me caresse le cul avec sa main : " Ca commence à chauffer : c'est bon signe. On va te laisser reprendre des forces et s'occuper un peu de ton copain ".

Le regard de Julien est encore plus affolé que tout à l'heure. Je vois Jonathan de face. Il est situé derrière ce jeune garçon totalement à sa merci : " 15 coups pour toi. Allez c'est parti ". Schlac. Le visage de mon pote se crispe, mais il encaisse. Pour combien de temps ? De mon côté, je sens mes fesses qui chauffent, je suis content de cette pause même si c'est pour voir grimacer un gamin de mon âge. Je me dis que si j'étais dans le public en ce moment, j'aurai certainement une gaule d'acier. Malheureusement, je fais partie du spectacle. Et cette pause n'est que de courte durée. D'ailleurs, un peu perdu dans mes pensées, j'en avais oublié qu'en face de moi on en est déjà à " treize " comme l'indique le décompte de la troupe. Pour les deux derniers coups, et comme pour moi, Jonathan s'applique à donner le meilleur de lui-même. La force de ceux-là oblige Julien à me crier au visage : " ahhh ". Au quinzième, il baisse la tête pour souffler.

Jonathan s'approche de Nicolas qui est le garçon le plus prêt de lui : " Occupe toi de Christophe. Tu lui donnes 10 coups, comme j'ai fait. Pas de pitié ou de coup mollasson sinon c'est toi qui les prends à sa place. Compris ? ". Nicolas semble intrigué de tenir ainsi cet instrument : " OK ". Il passe à ma gauche et disparaît de mon regard. Il ne perd pas de temps et lâche les lanières d'un coup sec sur la fesse gauche. Le groupe reprend ses annonces " vingt et un ". Il frappe moins fort que Jonathan. Mais son problème c'est qu'il touche toujours la même partie de mon cul. Et, arrivé à " trente ", cela devient carrément insupportable. Jonathan reprend la manœuvre : " Viens par ici, et occupe toi un peu de son pote. 5 coups seulement pour lui ". Julien a redressé la tête et attends le début de cette nouvelle série. Je vois bien le geste de Nicolas. Je le vois tendre son bras, je regarde alors le visage de Julien qui est encore serein et qui d'un coup se fige. Il serre les dents pour ne pas crier comme tout à l'heure. Les cinq coups sont vite administrés et je sais que cela va recommencer avec moi.

Nicolas tend le martinet à Jonathan qui le transmet à un garçon de sa troupe : " Alexandre, 10 coups pour Christophe. Tu devrais y arriver ? ". J'entends la réponse de ce petit salaud dans mon dos : " Pas de problème. J'ai reçu tellement de trempes de mon paternel que je sais ce qui fait de l'effet ". Et vlan, un coup appuyé me frappe bas du dos. Puis aussi sec, le haut de la cuisse droite. Dans la foulée, il frappe le haut de la cuisse gauche. Il prend son temps et lâche les lanières en ordre dispersé sur l'ensemble des fesses. Il sait vraiment comment varier les plaisirs. À chaque coup, la douleur est différente. Si je n'étais pas attaché, je lui foutrai mon poing sur la gueule. Après huit coups à ce rythme-là, je me remets à crier : " ahhhh " pour le plus grand plaisir de Jonathan : " On sens le gars qui a de l'expérience ". Et les autres de rire bêtement. Enfin, Alexandre s'arrête et passe de l'autre coté, je le vois qui me regarde avec un sourire à peine retenu. Il fait glisser doucement l'ensemble des lanières dans la paume de main gauche et d'un coup frappe les fesses de Julien. Sa réaction est instantanée : " ahhh ". Il criera ainsi à l'arrivée des cinq coups que lui administre avec application et un brin de sadisme Alexandre.

Il donne le martinet à Frédéric " Mission accomplie. À toi, mec ". Frédéric est sans doute un peu intimidé de passer ainsi après Alexandre. Il ne prend pas de plaisir particulier et frappe rapidement ces dix coups comme pour se débarrasser d'une corvée qui l'embête. Il est assez maladroit dans son geste et les lanières frappent n'importent ou, ce qui n'est pas agréable. À un moment même, le cuit s'approche un peu trop près de mes bourses. Après avoir gueulé le " ahhh " que je ne fais plus l'effort de retenir, je retourne ma tête le plus possible pour essayer de le voir " Putain, fais gaffe à mes couilles ! ". Sûrement énervé par ma réplique, il me donne son dernier coup avec une vigueur plus appuyé que pour ceux d'avant. Julien ne me regarde plus alors que son tour recommence. Comme moi, il gueule à chaque fois qu'il est touché maintenant. Mes fesses me brûlent.

Richard est le dernier garçon de notre âge à nous punir. J'imagine mes fesses bien rouges maintenant. Jonathan, toujours fier de diriger la correction, lui dit : " regarde cette fesse est violette alors que celle-ci encore rose. Mets toi de l'autre coté, pour rééquilibrer tout ça ". Richard passe à ma droite et sans perdre un moment me frappe. Effectivement, le bout des lanières atteints ce coup-ci ma fesse gauche. Je bouge maintenant dans tous les sens en m'appuyant sur mes pieds et en remuant le bassin comme pour esquiver. En réalité, je n'esquive rien ; je reçois en revanche les lanières un peu n'importe ou. C'est devenu carrément très dur. J'ai envie de pleurer. Je me retiens encore un peu, mais je sens mes yeux prêts à lâcher. Heureusement, la punition de Julien m'offre un peu de répit avant le dernier tour par mon propre chef. J'ai oublié l'humiliation d'être ainsi corrigé nu devant ces copains. Je ne pense plus à ce groupe de garçons, le regard posé sur nous et qui annoncent méthodiquement le décompte des coups qui tombent. Ils semblent avoir oublié leur timidité du début et dans le ton de leur voix, certains semblent prendre du plaisir en matant ce spectacle.

Lorsque Pierre approche sa tête de mon visage, mes fesses me brûlent énormément et je ne sais comment je vais supporter ces derniers coups : " Tu sais bonhomme, ce n'est pas par plaisir que je vais te corriger. Je fais le faire car tu le mérites et que la prochaine fois, avant de faire une connerie, tu repenseras à ce très mauvais moment que tu vas passer ". Il dit cela d'une voix posée, sans la méchanceté ou l'esprit de revanche qui animait Jonathan ou ce salaud d'Alexandre. Je tourne ma tête vers lui " S'il te plait, Pierre.... ". Pour toute réponse, je reçus son premier coup, donné avec force. Son speech et le retour de la douleur me poussent aux larmes. Jonathan rigole : " oh, le pauvre petit, il va bientôt appeler sa maman. Un scout c'est fort, ça pleure pas comme une gonzesse. On picole comme un grand mais on est pas capable d'endurer 80 coups de martinet. Moi, les gars, mon père, il utilisait sa ceinture, la cravache pour me tanner le cuir. Mes fesses parfois, elles étaient noires tellement il cognait ". Mais je ne l'écoute pas, ni les rire des autres gars. Son discours ne fait pas mal contrairement aux coups que Pierre me donne avec la régularité d'un métronome. Je serre les poings de toutes mes forces, mes jambes se raidissent à chaque coup. Mes larmes se mélangent avec mes gouttes de sueur. Enfin, mon calvaire prends fin, Pierre me glisse la main dans les cheveux et me dit doucement à l'oreille : " Tu as été très courageux. Je suis fier de toi ". Ces mots et ce geste me consolent. Mais je reviens à la réalité en le voyant en face de moi qui s'apprête à punir Julien à son tour. Au moment ou je croise le regard de mon pote, les yeux déjà embrumés de larmes, je regrette de l'avoir entraîné dans cette galère. Ces cris et pleurs seront très douloureux pour moi.

Jonathan reprend le martinet et glisse le manche dans le ceinturon qui tient son short : " les punis vont rester attachés un petit moment à la vue de tout l'équipage pour méditer leur faute. Ce martinet sera accroché à la vue de tous dans la salle commune pour vous rappeler en permanence que toutes les fautes commises pendant cette traversée seront sévèrement sanctionnées ". Pierre veut apaiser l'atmosphère : " Bon, les gars, on va nettoyer un peu ce bateau qui en a bien besoin ". La petite troupe s'éloigne et s'affaire un peu partout. Je relève ma tête vers Julien " Ca va ? ". Il relève sa tête lentement " Ca pourrait aller mieux. J'ai vachement mal et toi ? ". Je souffle : " Moi aussi, j'ai le cul en compote. Et puis j'ai mal partout : les bras, les jambes ". Julienne esquisse un sourire : " Tu aurais vu ta tête quand tu recevais ta trempe ! ". Je lui souris à mon tour : " Tu peux te foutre de ma gueule. Tu étais pareil. Tu m'en veux pas ? ". Il fait non de la tête : " Tu rigoles. Je m'en souviendrai de ma première cuite. Chut, revoilà l'autre enculé ". Jonathan approche ses mains des miennes et me détache : " Je ne veux pas vous entendre. Vous retournez dans votre cabine et vous bougez pas ". Tout nu, nous passons nos mains sur nos fesses et marchons jusqu'à l'arrière du bateau pour descendre l'escalier qui mène à notre cabine. Sur notre passage, je sens le regard appuyé des garçons qui astique le bateau.

Nous nous allongeons côte à côte sur les draps du lit. Bien entendu, nous sommes sur le ventre. L'arrière étant très douloureux. Les voiles viennent d'être hissée car je sens le bateau qui repart. Je m'assoupis. La nuit était tombée lorsque je rouvre les yeux. Le bruit de la porte que vient d'ouvrir Pierre m'a réveillé, Julien aussi d'ailleurs. Pierre nous regarde en hochant la tête : " Hé bien, les gars, vous avez reçu une sacrée raclée. J'espère que vous recommencerez pas trop vite car Jonathan n'hésitera pas à vous fesser à nouveau même si vous avez le cul déjà rouge. En parlant de ça, j'ai acheté un tube de biafine, ça devrait calmer un peu la douleur ". Pierre s'assieds sur le rebord du lit : " Allez les mecs, amenez vous, je vais étaler de la crème sur vos fesses, cela calmera la douleur et ça cicatrisera plus vite ". On se lève et on se place debout de chaque coté des jambes que Pierre. Je me trouve donc en face de Julien, comme tout à l'heure. Pierre pose doucement la crème sur nos culs et l'étale d'un mouvement lent. C'est très apaisant.

J'apprécie tellement que je sens ma queue qui prend du volume. Il faut que je pense à autre chose car les autres vont s'en apercevoir. Je regarde pour voir à quel niveau de trique elle se trouve et constate que Julien commence lui aussi à avoir la teub qui se redresse. Elle semble avoir à peu près la même taille que la mienne (13-14 cm). Je relève ma tête, je souris, lui aussi en signe de complicité. Pierre a le visage à la hauteur de nos _s_e_x_es qui commencent à bander : " C'est bien, c'est que vous gardez le moral ". Il arrête de nous palper les fesses et approchent chacune de ces mains vers nos bites maintenant raides et à l'horizontale. Il nous branle doucement moi la bite dans sa main droite, Julien la bite dans sa main gauche. Pierre a aussi la trique dans son short si j'en crois la bosse qui bouge régulièrement sous le tissu. Le chef glisse parfois ses mains sous nos boules pour les caresser.

Il reprends le mouvement rapidement sur nos tiges : " Va falloir cracher votre jus, les mecs ". Je passe mes mains derrière ma tête, je me cambre et laisse partir sur le bas du ventre de Julien, trois bonnes doses de jute blanche. Un instant, je crois voir le visage d'Alexandre ne train de nous épier par un hublot. Mais, je ne dis rien car, au même moment, Julien râle et lâche à son tour sa purée en partie sur mon ventre, en partie sur le sol. Pierre s'essuie les mains pleines de sperme sur son short : " Bon, maintenant, extinction des feux. Faut dormir. Je vous remettrai de la crème demain matin ". Il remet sa bite droite dans son short pour qu'on ne voit pas trop qu'il bande en sortant : " Mais faudrait voir à me soulager un peu aussi. Allez bonne nuit ". Cette dernière remarque m'empêche de m'endormir tout de suite. Julien aussi s'y j'en crois le fait qu'il se retourne dans tous les sens.


More stories by Chris