Marc, Chef Scout French


by Frenchspanker <Frenchspanker@hotmail.com>

Marc se réveilla en sursaut. Il lui semblait avoir entendu quelqu'un marcher dans le camp. Il enfila rapidement son short et sortit de sa tente. La nuit était magnifique, le ciel étoilé scintillait à travers les branches. Marc commença à marcher sur le sentier qui menait au chemin principal. Il voulait s'assurer qu'aucun des garçons ne se baladait tout seul en pleine nuit. Avec Jean-Pierre et Stan, les deux autres responsables de ce camp scout, il surveillait de près les allées et venues des garçons. Leur responsabilité était engagée vis à vis des parents, et il y avait eu trop d'histoires l'année précédente.

Il lui sembla d'abord qu'il s'était trompé, car il ne remarqua rien d'anormal. La forêt était silencieuse. Il continua cependant à suivre le chemin principal jusqu'à une fontaine, où il but un peu d'eau. Au moment où il allait retourner sur ses pas, il entendit des branches craquer, et des chuchotements. Il s'avança silencieusement vers l'endroit d'où ces bruits semblaient provenir. Tout à coup, il se figea. Devant lui, derrière quelques buissons, une silhouette. Il se rapprocha encore un peu sans faire de bruit. Il reconnut Bertrand, un des garçons dont il avait la charge cet été-là : un grand blond viril de 17 ans, très sympa, énergique, qui voulait apparemment continuer dans le scoutisme en devenant chef de groupe l'année suivante. Dans les activités qui réclamaient la formation d'équipes, il était toujours nommé responsable de l'une d'elles. Il aimait commander, cela se voyait.

Au moment précis où Marc le reconnut, il était caché jusqu'à la taille par les buissons. Marc ne voyait que son torse dénudé ; il avait remonté son T-shirt blanc sur ses épaules ; il s'accrochait des deux mains à une branche d'arbre, au-dessus de sa tête. Aux mouvements qu'il faisait, Marc comprit aussitôt qu'il était en train de se faire tailler une pipe. Mais par qui ? Les hypothèses se bousculaient dans la tête de Marc : une fille du village voisin ? sa copine qui serait venue secrètement le voir ? un autre garçon du groupe ?

Car Marc n'était pas naïf ; ses vingt-cinq ans et son expérience de scout lui avaient appris tout ce qui peut se passer quand des garçons doivent rester un mois théoriquement sans activité _s_e_x_uelle.... En fait, Marc était lui-même un garçon très pervers qui, au moment où se situe ce récit, avait déjà à son actif de nombreuses expériences plus ou moins scabreuses avec des compagnons de scoutisme. Il aimait le scoutisme en grande partie pour cela, il le savait fort bien. Il aimait mater les mecs, et son statut de chef de groupe lui plaisait parce qu'il pouvait user de son pouvoir pour prendre de l'ascendant sur les minets plus jeunes que lui. Il avait insisté pour développer le bizutage, qui sous ses ordres prenait souvent un tour très spécial. Il avait beaucoup d'imagination. Au début du mois, lors du bizutage de ce groupe, il avait inventé le baptême d'ortie : au cours d'une espèce de cérémonie rituelle, tous les nouveaux avaient dû se mettre entièrement nus, puis se placer à tour de rôle sur le tronc d'un arbre abattu, les jambes de chaque côté, les fesses bien écartées ; et là, Marc se chargeait personnellement de passer un bouque d'orties sur les cuisses, les fesses, la raie des jeunes garçons qui se tortillaient en gémissant sur l'énorme tronc rugueux. Marc savait très bien, dans ces situations, repérer les éléments intéressants, c'est-à-dire tous les garçons qui, avant ou après leur supplice, manifestaient leurs propres désirs par des érections incontrôlables.

Il avait même déjà pratiqué la bonne vielle méthode du chantage avec les garçons qui avaient fait des conneries. Deux ans auparavant, il avait ainsi acquis des droits illimités sur un minet de 14 ans, fils de militaire, qui avait essayé de soustraire de l'argent dans la caisse des achats. Le petit voleur avait préféré devenir l'esclave _s_e_x_uel de Marc pendant quinze jours plutôt que d'être exclu avec rapport aux parents. Marc en avait bien profité. À tout moment du jour et de la nuit, Stéphane (c'était son nom) devait être prêt à baisser son short si Marc le lui ordonnait. Le port du slip lui était interdit. Marc se livrait à l'improviste à des attouchements humiliants pour ce garçon de bonne famille. Toutes les nuits, il avait dû satisfaire toutes les pulsions de Marc, qui l'obligeait à le sucer, à se masturber devant lui, à offrir sa raie bien ouverte aux caresses les plus obscènes. Marc l'avait pénétré plusieurs fois. C'est à cette occasion que Marc avait enfin réaliser un vieux fantasme qui lui tournait dans la tête depuis son plus jeune âge : fesser un garçon. Pour punir Stéphane, il lui avait administré plusieurs corrections, à la main, à la ceinture, ou avec une baguette qu'il confectionnait sur place avec une branche de noisetier. La réalisation de ce fantasme lui avait fait connaître les jouissances les plus intenses. C'était au-delà de tout ce qu'il avait pu imaginer. Sentir un adolescent soumis, sur ses genoux ou attachés à un arbre, lui dénuder le cul, le plus souvent l'obliger à se mettre entièrement nu, abattre sa main sur ses fesses, le palper après les coups, caresser ses fesses brûlantes, s'insinuer dans la raie, jouer avec son anus contracté, saisir ses couilles, l'entendre gémir, sangloter, demander grâce, voir ses fesses rougies, tout cela le mettait dans des états incroyables d'excitation, qu'il ne pouvait calmer qu'en déchargeant tout son foutre dans la bouche ou dans le cul du puni. Les derniers jours, Stéphane avait d'ailleurs eu des érections formidables pendant ces séances. La relation était alors devenue un peu différente, il arrivait que Marc l'embrassât tout en le masturbant. L'année suivante, il apprit que Stéphane avait été exclu du scoutisme pour avoir été surpris en train d'administrer une fessée à un plus jeune que lui....

Depuis, Marc avait infligé quelques corrections sur le cul nu, et avait parfois introduit la fessée dans les séances de bizutage. Et quand il vit Bertrand, suspendu à une branche, à moitié nu, en train de se faire sucer par quelqu'un qu'il ne voyait pas, Marc sentit monter en lui une pulsion terrible, qui entraîna aussitôt une érection puissante et quelques idées intéressantes : punir Bertrand, fesser Bertrand, fouetter Bertrand, humilier Bertrand, corriger Bertand, mettre Bertand à poils, inspecter les parties intimes de Bertrand, peut-être.... baiser Bertrand.... Marc saisit à pleines mains la bosse énorme de son short. Il commença à mettre en place une stratégie. Il allait aviser Jean-Pierre qu'il se passait quelque chose d'anormal. Jean-Pierre s'était entièrement converti à ses goûts, les séances de bizutage l'enchantait, il n'avait pas caché à Marc que cela l'excitait terriblement, et il participait activement aux séances d'humiliation et de fessée. Il valait mieux être deux, car Bertrand était costaud, et Marc ignorait encore l'identité de l'autre personne, agenouillée dans les buissons. On ne savait jamais. Le camp était tout près, en trois minutes ils seraient tous les deux à l'endroit d'où Mac contemplait la scène. Pour la suite des événements, Marc avait quelques idées. Mais beaucoup dépendait de l'identité – et du _s_e_x_e – de l'autre personne.

Quelques minutes plus tard, Jean-Pierre et Marc étaient au même endroit, et contemplait le même spectacle. Bertrand, toujours appuyé sur la branche qui le surplombait, les bras en l'air, avait rejeté la tête en arrière et fermait les yeux. Il laissa même échapper un gémissement : il allait sans doute jouir. C'était le moment d'agir. Jean-Pierre et Marc se levèrent d'un bond et se précipitèrent. Marc se jeta sur Bertrand, qu'il plaqua au sol. Jean-Pierre s'occupa du suceur, qui se révéla être un jeune du groupe A, âgé de quinze ou seize ans. Les deux coupables, suffoqués, les shorts et les slips en tire-bouchon sur les chevilles, encore en érection, furent sommés de se déshabiller entièrement. Marc regarda ironiquement les deux garçons se dépêtrer de leurs slips. Les godasses et les chaussettes aussi ! leur ordonna-t-il. Cela fut très désagréable, car le sol était couvert d'aiguilles de pin, ce qui obligea les deux coupables à se dandiner en grimaçant pendant que Marc les engueulait. Le discours fut d'ailleurs très bref. Il était inacceptable de se livrer à de telles pratiques dans le camp ; Bertrand était doublement coupable car plus âgé et chef d'équipe, ce qui faisait de lui un modèle pour les autres. Quel modèle ! commenta Jean-Pierre. Lamentable en effet, ponctua Marc. Puis il reprit : vous avez le choix, ou l'exclusion et un rapport aux parents ou une correction immédiate mais qui reste entre nous. Décidez. Ce genre de chantage excitait toujours Marc au plus haut point, cela le faisait bander de prononcer ces paroles. La réponse était certaine, et il jouissait de ce pouvoir qu'il prenait sur eux. Comme il fallait s'y attendre, il choisirent la correction immédiate. Jean-Pierre et Marc mirent donc à exécution ce qu'ils avait décidé.

Ils placèrent Bertrand et le petit jeune, debout, l'un en face de l'autre, exactement à l'endroit où ils avaient fauté. Puis ils les attachèrent l'un à l'autre avec des cordelettes que Jean-Pierre avait prise dans sa tente. Ils les soudèrent littéralement l'un à l'autre, jambe contre jambe, torse contre torse, et comme ils était de la même taille, les deux coupables se retrouvèrent bouche contre bouche, sans pouvoir l'éviter. Puis il les obligèrent à lever leurs bras, et ils attachèrent leur mains, préalablement réunies par une cordelette, à la branche que Bertrand utilisait quelques instant auparavant comme point d'appui. Beau spectacle ! s'exclama Jean-Pierre. Ma foi, ajouta Marc sournoisement, ils ont l'air de bien s'aimer, comme çà ils sont vraiment unis, hein mes lapins, continua-t-il en palpant les fesses des deux garçons, là vous n'allez pas vous perdre de vue, et vous allez tout partager, comme un vrai couple ! Jean-Pierre éclata de rire.

Les deux chefs préparèrent ensuite deux baguettes coupées dans les buissons voisins. Marc fit siffler la sienne dans l'air. Les deux punis frissonnèrent. Ils n'osaient pas se regarder, mais il leur était bien difficile d'éviter le regard de l'autre. Leurs visages étaient pratiquement collés l'un à l'autre ! Marc décida de commencer par Bertrand, qui devait recevoir une punition plus longue que l'autre. Ssssslach ! le premier coup s'abattit sur les fesses blanches de Bertrand, qui sursauta, entraînant Nicolas, le petit jeune, dans sa secousse. Ssssslach ! deuxième secousse. Ssssslach ! Ssssslach ! Ssssslach ! Ssssslach ! Ssssslach ! Ssssslach ! Ahhh.... Bertrand ne put retenir un gémissement au dixième coup. Marc observa avec délice une larme couler sur la joue du gars. Bien, voilà un premier acompte, commenta-t-il. Maintenant, soyons plus équitables. Il fit un signe à Jean-Pierre. Ssssslach ! un coup sur le cul de Nicolas. Ssssslach ! un coup sur le cul de Bertrand. Ssssslach ! Nicolas. Ssssslach ! Bertrand. Chaque coup provoquait une secousse terrible des deux garçons attachés l'un à l'autre et suspendus à l'arbre. Chacun entraînait l'autre dans son soubresaut, en alternance. C'était vraiment un beau spectacle. Les deux punis commencèrent à gémir en cadence. Ssssslach ! Ahhh.... Ssssslach ! Ahhh.... Ssssslach ! Ahhh.... Ssssslach ! Ssssslach ! Ahhh.... Marc et Jean-Pierre se regardèrent, chacun jetant malicieusement un regard brillant sur le short de l'autre. Les deux étaient dans un état d'excitation _s_e_x_uelle total. Ils s'arrêtèrent un moment de frapper, et Marc demanda : Lequel tu préfères ? Jean-Pierre, qui savait que Marc voulait régler ses comptes avec Bertrand, dit complaisamment : Ma foi le petit Nicolas n'est pas mal du tout.... et il lui passa la main sur le dos, les fesses, entre les cuisses. Marc se mit à palper Bertrand de la même manière. Ses fesses étaient déjà très rouges. Si quelqu'un avait vu ce spectacle à ce moment là, il n'aurait pu retenir son admiration devant un si beau groupe : les deux gars attachés et soudés l'un à l'autre, nus, les deux autres derrière eux, torse nu, en shorts, qui les caressaient, les palpaient, les baisaient, les léchaient, les violaient progressivement de leurs mains avides. Comme ils les avaient attachés jambes écartées, leurs mains se rencontraient entre les jambes des deux punis, ils attrapèrent leurs couilles ensemble. Les shorts tombèrent sur le sol. Les _s_e_x_es, dressés, pénétrèrent dans les culs meurtris. Les quatre corps nus se fondirent en une seule masse de muscles secouées par les spasmes du plaisir. Bertrand et Nicolas éjaculèrent les premiers, laissant leur sperme s'écouler le long de leurs jambes. Marc et Bertrand jouirent dans un orgasme simultané. La branche, céda. Ils s'écroulèrent sur le sol et restèrent longtemps prisonniers de leur quadruple étreinte.


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