Erreurs De Jeunesse : Un Vol Qui Coûte La Peau Des Fesses


by Abdofessee <Abdofessee@go.com>

Hier soir, plutôt que de rentrer chez lui après les cours, Jacques a eu la bonne idée d'aller au magasin de CD du coin. Il ne pouvait pas s'imaginer que ça allait me faire bander que de raconter cette histoire ! Avec ses 17 ans, dans cette région nantaise toujours pas riche en ce début de nouveau millénaire, Jacques n'a pas assez de moyen pour se taper Anastacia ou Madonna. Il décide donc d'acheter, enfin de prendre un CD de ses deux stars féminines préférées. Mais voilà, le magasin est petit et même sans caméra on voit tout. La tenante du magasin, Myriam, la quarantaine, pourtant très gentille, voit Jacques hésiter sur les CD. De Madonna bien sûr. Car à 169F (et en euros, ça fait combien ? - 25,76 €) le CD, bien sûr il préfère ne pas le payer. C'est alors qu'il prend un CD dans ses mains, ce que Myriam remarque. Mais la manière de le faire l'intrigue : elle pense qu'il va voler. Et effectivement, Jacques va planquer son CD sous sa veste. Pris ? Pas encore ! Myriam connaît la loi : elle sait qu'elle doit attendre qu'il s'apprête à sortir du magasin pour l'arrêter. Et à deux mètres de la sortie, Myriam crie à Jacques :

"- Jacques, tu vas pas faire une connerie, des fois ? C'est quoi sous ta veste ?

Rien, Madame." Pour la première fois, Jacques se sentant coupable et soumis appelait Myriam par son titre, alors qu'il l'avait toujours appelée par son prénom auparavant. "C'est peut-être mon porte-feuilles qui paraît gros parce que les copains et moi, on a développé les photos du voyage à Tours la semaine dernière"

"- Viens ici, Jacques," lui cria-t-elle. "De suite ! Ouvre ta veste !"

Jacques se sentit obligé d'ouvrir sa veste, il n'eut pas envie de protester. C'est rare, car Jacques est plutôt du genre à protester d'habitude. Peut-être est-ce le fait qu'il se laisse séduire par une femme, pensant qu'elle serait trop conne pour comprendre. Ah, ces mecs, tous des machos ! Mais la veste ouverte, le CD apparut aux yeux de tous. Enfin, comme il n'y avait que Myriam et lui dans le magasin, seuls quatre yeux ont vu ce triste vol.

"- Tu te mets à voler comme les autres, toi aussi. Ca fait baisser mon chiffre d'affaires, je peux fermer la boutique avec vos conneries de jeunesse ! Donne-le moi, on va appeler tes parents et la police.

Oh non, Myriam ! C'est la première fois ! Pas la police, c'est idiot ! Et mes parents ils vont me faire souffrir en m'interdisant plein de trucs que je ne vais plus pouvoir faire quoi que ce soit, et à cause de ça je vais encore être plus délinquant, comme mes copains. Enfin, comme les autres du bahut. Car c'est pas mes copains, mais je leur parle.

Tu réalises pas bien ce que tu fais, petit ! Un vol c'est 3 ans de prison ! Tu crois qu'ils font 3 ans de prison parce que ce serait un petit délit de rien du tout ? Ca détruit des commerces vos merdes ! Et tes copains, ils en ont des CD de Madonna ! Ils peuvent t'en faire des copies, même si c'est normalement interdit. Tout le monde le fait et personne s'en plaint !"

Myriam fit signe à Jacques de passer derrière le comptoir. Ils y allèrent donc.

"- C'est quoi le numéro de ta maison, Jacques ?", demanda Myriam. "T'es un grand garçon maintenant, tu vas pas pleurer !

Je veux pas te le donner ! On peut oublier ça, ça m'a déjà servi de leçon de me faire prendre !

D'accord, Jacques, je veux bien te donner une seconde chance." Myriam, bizarrement, n'insista pas trop. Il est vrai que la manière de Jacques de réagir à cette situation est plutôt enfantine. Elle a une autre idée... "Mais si tu veux une seconde chance, tu devras accepter une punition à moi. Je sais comment t'apprendre à ne plus voler.

Une punition à vous ?" Jacques, maintenant, se mettait à vouvoyer la vendeuse qu'il connaissait si bien. Il semble en fait un peu perdu.

"- Oui, une punition à moi, comme à l'époque de tes grands-parents. On va passer dans l'arrière-boutique. Carine ! Tu peux venir tenir le magasin pendant 10 minutes ? Allez Jacques, on y va !"

Myriam et Jacques passèrent dans l'arrière-boutique. Jacques avait compris que ce serait quelque chose de pas très moderne, en entendant Myriam évoquer l'époque des grands-parents, mais il ne s'attendait pas à la punition qu'il allait avoir !

"- Jacques, si tu veux pas aller chez les flics ni que tes parents te punissent pendant des mois, tu vas recevoir une terrible fessée qui va bien te faire réfléchir !

Une quoi ? A mon âge ? Nan mais ça va pas la tête, tu te prends pour qui ?"

A ce moment-là, Carine le gifla. Une bonne paire de claques.

"- Je suis peut-être qu'un ado, mais j'ai une dignité aussi moi ! Je dois défendre mes intérêts !

Et bien je vais t'apprendre à les défendre, tes intérêts !"

Myriam s'asseya sur une chaise et entraîne illico Jacques avec elle, le faisant basculer avec force sur ses genoux. Mais Jacques se débattit dans tous les sens. Au bout d'une trentaine de secondes, à force de coups donnés n'importe comment, Myriam réussit à le bloquer en passant sa jambe droite au dessus des siennes et en maintenant ses mains dans son dos. C'est alors que Myriam commença à la frapper.

Pan ! Pan ! Pan ! Pan ! Pan ! Pan ! Pan ! Pan !

Au bout d'une dizaine de coups donnés très forts sur son pantalon sur les deux fesses, elle s'arrêta. Jacques n'arrêtait pas de crier : "Non, pas ça ! Aïe ! Ca fait mal ! Je suis un grand maintenant ! T'as pas le droit!" etc. Elle reprit encore pendant une vingtaine de coups, Jacques les a comptés dans sa tête et il s'en souvient encore aujourd'hui, afin de calmer le petit Jacques, âgé quand même de 17 ans. Comme il était calmé, elle en profita pour passer au sérieux.

"- Jacques, à ton âge et quand on fait des bêtises très graves, on reçoit les fessées cul nu pantalon baissé !

Oh non Madame, pas ça ! Je vous en supplie ! C'est déjà dur, habillé !

Désolé Jacques, il n'y a que comme ça que t'apprendras !"

Myriam commença alors à déboutonner son pantalon. Jacques essaya de se débattre, mais il n'y arriva pas. Déboutonné, elle baissa ensuite le pantalon jusqu'aux chevilles. Jacques, en caleçon, se sentit déjà humilié. Mais elle ne baissa pas le caleçon ! La fessée n'en était donc encore qu'à ses préliminaires !

"- Très bien, Jacques, je vais continuer !

Mais c'est ça cul nu ?

Non, Jacques, bien sûr ! Je ne fais que commencer ! Tais-toi maintenant !"

Myriam claqua un grand coup sec sur sa fesse gauche. Puis sur sa fesse droite. Jacques hurlait à chaque coup, mais ne pleurait pas. Il commençait à avoir les larmes aux yeux, mais juste un peu. Après une dizaine de coups, Myriam se mit à le frapper plus modérément. Des coups très rapprochés mais qui ne faisaient pas beaucoup mal. Une cinquantaine peut-être. Les coups pleuvaient sur la fesse gauche ou droite, ou au milieu des deux. Bizarrement, Jacques se souvient bien de ce détail. C'est alors que Myriam s'arrêta. Elle décida de lui retirer son caleçon. Jacques était trop épuisé pour pouvoir tenter de se débattre. Il se laissa faire. Son caleçon était donc en bas. Sa queue, au repos, était donc contre la cuisse de Myriam. Une cuisse qui était revêtue d'une jupe. Ses couilles, détendues, pendouillaient donc dans le vide. Ses fesses imberbes apparaissaient aux yeux de Myriam. Un beau petit globe, des vraies fesses de mec quoi ! C'est alors que Myriam lui dicta les règles du jeu.

"- Bien, maintenant Jacques, tu vas compter chaque coup un à un, haut et fort ! Si tu te trompes, on recommence. Ca va jusqu'à 50. A ton âge, 50 ça doit pas être beaucoup ! Pigé ?

D'accord Madame. Un à un..."

Myriam commença par le premier : "un!". Puis le second : "deux!". Puis le troisième : "quatre !".

"- Quoi ? Tu sais plus compter maintenant ? Allez, on recommence ! Et concentre-toi !"

Myriam claqua fermement sa main droite sur sa fesse droite. Jacques hurla et cria : "un!". Ensuite, elle claqua fermement sur la fesse gauche. Jacques hurla comme toujours et cria : "deux!". Et ainsi, de gauche à droite, elle alla jusqu'à 24 sans difficulté. Le 25e coup, elle le donna de toutes ses forces. Et c'est là que Jacques se mit à éclater en sanglot. Il ne pouvait plus compter. Du coup, Jacques reçut les 25 derniers coups qu'il devait normalement compter en double. Il chialait comme un bébé. Les larmes et les mouquides coulaient au sol. Myriam, elle n'en avait pas fini. Elle frappa sans discontinuer, aussi bien modérément que fortement, et Jacques se mit à gigoter dans tous les sens. Il ne pouvait plus pleurer, il n'y arrivait plus. Elle s'arrêta, on ne sait pas pourquoi, mais Jacques était content. Elle le releva et lui dit :

"- Les mains sur la tête ! Tu ne bouges plus pendant un quart d'heure ! Je te surveille !"

Et Jacques, pendant un quart d'heure, resta planté debout, à reprendre ses esprits et à méditer. Au bout d'un quart d'heure, elle lui donna des mouchoirs pour se nettoyer et avec des essuie-tout, nettoya elle-même les larmes et les mouquides qui avaient coulé sur les vêtements de Jacques et sur ses jambes dénudées. Ensuite, elle l'emmena dans sa salle de bains où elle avait un système de miroir réfléchissant et Jacques put, grâce au système D, contempler ses fesses rougies dans le miroir. Rouges écarlates ! Il n'en revenait pas ! Elle décida alors de lui appliquer de la crème Nivéa, avec ses mains douces pour une femme de 40 ans ! Elle le massa bien. Puis elle le rhabilla, en lui disant qu'à son âge, elle savait très bien ce que ça allait provoquer, mais qu'il devait essayer d'attendre la fin de la journée pour y repenser. Elle faisait allusion à la branlette. Pourtant, Jacques n'a pas bandé à un seul moment. Sa dernière fessée remontait à longtemps. Il était d'ailleurs encore en âge d'en recevoir, même si ce fut fait dans des circonstances illégales. Et oui, Jacques est un habitué des fessées interdites ! Mais je ne pense pas qu'il revolera de sitôt ! Jacques est sorti du magasin sans son CD de Madonna et est rentré chez lui. Il était un peu déprimé, c'est normal. Il a reçu une fessée à un âge tardif, dans des circonstances rares, il est sûrement le seul du bahut à être encore corrigé à son âge, mais pourtant, il ne sait pas que dans les familles nombreuses, musulmanes (cette religion pratique bien les coups de fouet sur des adultes), ou bourges de la région parisienne, la fessée n'a rien d'anormal jusq'à ce qu'on ait quitté le domicile familial. En 2001 je dis bien.

Pour l'histoire, Jacques s'est-il branlé après cette fessée ? Et si oui, à quel moment : en rentrant ou au moment d'y repenser, dans le lit, avant de s'endormir ?

Cette histoire est fictive. Elle est écrite par Abdofessee, un Français tout juste majeur.

L'auteur con_d_a_m_n_e la fessée punitive, car la fessée est comme un acte _s_e_x_uel et une fessée punitive (consentante ou pas) est donc comme un viol.

Première histoire publiée par Abdofessee. First story published by Abdofessee.

Un site pour toutes _s_e_x_ualités et tous _s_e_x_es en France : http://www. clubfessee. com.


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