Pension - Etape 1


by Chris <Christophe92@wanadoo.fr>

J'avais rien foutu en classe de 4ieme alors que j'avais 13ans et que j'étais à l'école publique. Le conseil de classe avait d'ailleurs proposé mon redoublement. Après m'avoir filé une bonne trempe, mon père avait décidé de me mettre en pension. Il s'agissait d'une école privée qui allait du collège à la terminale. À cause de mon carnet de notre, le directeur n'avait pas voulu me prendre en classe de 3iéme, mais avait maintenu mon redoublement. En septembre, je m'installe dans une chambre avec deux autres gars de mon age : il y a Benjamin,, assez grand et blond et Marc, plus petit, costaud et brun. Il y a la place pour une quatrième personne, mais le lit est vide en ce début d'année. Eux arrivent en pension aussi pour la première fois, pour les mêmes raisons que moi d'ailleurs. Il y avait une bonne ambiance entre nous. Les premiers soirs, on se tapait la causette dans le noir en nous racontant des anecdotes de nos autres années de collège, des blagues, des commentaires sur les filles....

Un soir, pendant la récréation juste après le dîner et avant l'étude du soir, nous sommes dans un coin de la cour et avons commencé à parler d'un sujet qui m'excitait bien. Je leur racontais que j'avais vu une revue de cul chez mon cousin ou les mecs avaient des teubs énormes. Benjamin en se caressant le jean : " Moi aussi, j'ai une grosse bite quand j'ai la trique ". Trop content de sa remarque, j'enchaîne : " ah oui ? vas y montre nous ". Je sens Marc aussi très intéressé par le sujet : " Ouais, vas-y ". Benjamin fait mine de déboutonner son 501 : " Pas ici, les gars. C'est pas très discret. Et puis, je le fais si vous le faites aussi ". Je regarde Marc " Pas de problème pour moi ? et toi ". Marc se lève en entendant la cloche retentir : " Ouais pourquoi pas. Mais magnez-vous on va être en retard à l'étude ".

Durant cette heure où nous sommes censés travailler, je n'arrête pas de penser à la situation à venir et je trique dans mon pantalon en nous imaginant la bite à la main. J'espère vraiment qu'ils ne plaisantaient pas. Enfin, l'étude se termine. J'échange des regards avec mes potes car nous n'avons pas le droit de parler et je crois qu'eux aussi pensent beaucoup à la scène à venir. Pourvu qu'ils ne se dégonflent pas. Je pénètre le premier dans la chambre et m'assieds sur mon lit. Marc en fait autant : " Je vais à la douche ". Benjamin est debout en train d'enlever son pantalon : " Je crois qu'on avait dit qu'on allait se montrer nos bites en bandant ". Marc se lève : " Aller, c'était pour déconner ". Je me lève à mon tour et baisse mon pantalon : " Non, c'était sérieux ". Benjamin a l'air content de ma réaction et commence à se frotter la queue à travers son caleçon.

L'air un peu gêné, Marc défait le bouton de son pantalon et le descends. À mon tour, je commence à me caresser le _s_e_x_e à travers le tissu de mon slip, Marc fait pareil. Nous sommes tous les trois silencieux en train de mater les autres en train de se toucher. Par moments, nous lâchons un rire discret. La situation est à la fois pudique car nous n'osons pas sortir nos tiges de nos sous-vêtements et très obscène par les gestes que nous effectuons. Une bosse se dessine très nettement dans le caleçon de Benjamin : " Ca y est, je trique. Magnez-vous les mecs ". À la vue du caleçon déformé par la bosse, ma bite se raidit dans mon slip. Je croise mes mains : " Moi aussi. C'est bon. J'ai la gaule ". Marc glisse la main dans son caleçon comme pour accélérer le mouvement : " J'y suis presque. Et maintenant ? ".

Aussitôt, Benjamin baisse son caleçon, nous révélant une bite pas grosse mais bien longue : " Et maintenant, on se fout à poil et on compare la taille de nos zobs ". Je n'en crois pas mes yeux et machinalement, sans complexe, retire mon slip pour exhiber mon _s_e_x_e et m'approche de Benjamin : " Elle a l'air moins longue mais plus épaisse ". Benjamin détaille attentivement mon membre bandé : " Oui pour l'instant j'ai la plus longue et toi Marc ? ". Un peu hésitant, Marc fini par descendre son caleçon : " Vous êtes vraiment des obsédés. Tenez, la voilà ". Elle me semble un peu plus longue que la mienne. Benjamin et moi effectuons quelques allers et retours sur nos bites pour les maintenir raides. Benjamin se recule et s'allonge sur son lit : " C'est ce que je disais, j'ai la plus longue. On aurait dû faire un pari ".

Allongé sur son lit, il commence à se branler avec vigueur : " Ca vous dérange pas si je me branle ". Je suis très surpris par sa provocation, mais je suis trop excité pour retenir ma timidité. Je m'allonge à côté de lui : " Non, pas de problème, ca me manquait de pas me branler le soir ". Benjamin me fait un large sourire : " Mais c'est vrai que t'es un obsédé. Enfin, je devrai pas la ramener. Moi, je me suis déjà branlé ici, la nuit, pendant que vous dormiez ". Marc, certainement plus timide, ne nous rejoins pas mais s'allonge sur son lit. Enfin, je dis moins timide, lui aussi se branle avec détermination : " J'en étais sûr. Je t'ai entendu la semaine dernière. Tu respirais bizarrement et t'arrêtais pas de bouger dans ton pieu ". On se marre tous les trois. Je regarde Marc en lui faisant un signe de la tête : " Fais pas bande à part. Viens avec nous, ça sera plus marrant de juter en même temps ". J'en profite pour me coller à Benjamin pour dégager un peu de place à côté de moi.

Marc n'hésite pas longtemps : il se lève, la bite raide dans la main et s'allonge à côté de moi : " Alors, ca vient ". C'est Benjamin qui lui répond en accélérant son mouvement sur sa queue : " Ouais, ça approche.... ahhh..... C'est bon..... ". Des jets blancs tombent sur son ventre à espace régulier. À l'instant ou il ralentit, moi j'accélère le rythme : " Moi, aussi, ca vient.... .ahhh .... je jouis ". La jute bien liquide m'asperge les mains. Benjamin a l'air étonné : " Putain, il y a la dose ". Marc s'agite à son tour et éjacule quelques secondes après moi, à croire qu'il se retenait un peu : " ahhh ". Quantité raisonnable, un sperme bien dense tache son ventre. Benjamin se relève et s'essuie la queue et le ventre dans le couvre lit du pieu vide : " Faut qu'on se refasse ça plus souvent ". Je me lève à mon tour : " Quand tu veux, Benj ". Et à mon tour, je m'essuie dans le couvre-lit : " Ou est ce que t'as balancé ta jute que je mette pas mes mains dedans ? ". Marc s'essuies à son tour en prenant soin d'éviter te toucher le liquide que nous avons étalé dessus : " Bon, les branleurs, on va prendre une douche maintenant ? ".


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