Marc fut le premier à reprendre ses esprits. Jean-Pierre finit par se relever également. Les deux autres se remettaient péniblement. La douleur des coups de trique mêlée à leur double orgasme les avaient mis complètement KO. Marc commenta : regarde-moi ces salauds, çà leur a plu au fond. C'est vrai, dit Jean-Pierre, je suis même sûr qu'ils en redemandent. Évidemment, répliqua Marc, pas question de s'arrêter là. Puisqu'ils aiment çà ils vont déguster.
Ils obligèrent donc Bertrand e Nicolas à se relever. Les pauvres, complètement nus, se remirent à dandiner d'un pied sur l'autre, tant les aiguilles de pin leur faisaient mal. On voyait encore des traces de sperme sur leurs cuisses. Leurs fesses et leurs dos étaient striés de zébrures rouges. Marc leur ordonna de mettre les mains sur la tête. Puis il s'approcha d'eux et saisit leur couilles, celles de Nicolas dans la main gauche, celles de Bertrand dans la main droite. Jean-Pierre reprit sa trique et se plaça derrière eux. Bien ! dit Marc, petit test de résistance maintenant ! Le premier qui baisse ses mains reçoit une volée dont il se souviendra, ce que vous avez reçu jusqu'ici n'est rien en comparaison. Et Marc commença à faire rouler les bourses des deux adolescents entre ses doigts. Il commença doucement. Les deux garçons étaient tendus, craignant le pire. Mais Marc prenait son temps. Il les regardaient fixement, avec un sourire narquois, tout en malaxant doucement leurs joyaux. Puis il commença à serrer un peu plus fort. Les yeux des deux garçons s'agrandirent, mais ils ne protestèrent pas. Alors Marc commença à exercer une pression plus forte, symétriquement. Les deux garons plièrent un peu les genoux, en s'efforçant de garder les mains sur la tête. Leurs contorsions faisait rire Marc et Jean-Pierre, qui, lui, contemplait la scène de derrière. Il voyait leur petits culs se tortiller, leurs fesses s'entrouvrir quand leur jambes se pliaient. A chaque fois, il introduisait sa baguette dans leur raie, ce qui les faisait se relever aussitôt. Marc augmenta encore la pression. Nicolas poussa un petit cri, Bertrand gémit. Ils s'étaient presque accroupis sous l'effet de la douleur, mais ils parvinrent à garder les mains sur la tête. Alors Marc serra violemment les deux paires de couilles. Nicolas porta instinctivement les mains à son ventre. Aussitôt un violent coup de trique vint lui rappeler ses obligations. Il rectifia aussitôt la position. Marc serra à nouveau très fortement. Les deux garçons poussèrent un cri et tombèrent à genoux. Intraitable, Jean-Pierre les fouetta jusqu'à ce qu'ils se relèvent. Ils avaient tous les deux les larmes aux yeux.
Marc reprit leurs couilles en main et fit mine de les traiter plus doucement. A nouveau les burnes roulèrent entre ses doigts comme au début. Mais soudain, il les écrasa plus violemment encore. Les deux garçons tombèrent à nouveau à genoux, mais cette fois Marc ne les lâcha pas, il se mit aussi à genoux et continua à serrer de plus en plus fort. Les deux garçons tombèrent à la renverse en hurlant de douleur. Ils se tordaient comme des vers sur les aiguilles de pin, tout en s'efforçant de garder leurs mains sur la tête. Marc les tenaient solidement, agrippé à leurs couilles comme à des poignées, et ne les lâchait pas. Leurs jambes s'agitaient en l'air. Jean-Pierre se mit à leur donner des coups de trique sur la plante des pieds. Les deux garçons hoquetaient de douleur et tressautaient comme des carpes qui agonisent dans le panier du pécheur. Les couilles prises dans un étau et la plante des pieds fouettée, leur supplice devenait intolérable. Pour échapper à la trique de Jean-Pierre, ils ramenaient leurs jambes en arrière, derrière la tête, ce qui leur fit présenter leurs culs grand ouverts à Marc. Celui-ci lâcha leurs parties génitales et sans crier gare, leur enfonça ses deux index dans le cul, et les lima sans ménagement. Les deux jeunes anus étaient déjà bien lubrifiés par leur dépucelage antérieur, mais Marc échauffa tellement leur rectum que les deux punis finirent par crier grâce en se tortillant sur le sol. Enfin Marc se retira d'un coup sec et leur ordonna de se relever. Ils pouvaient à peine tenir debout.
Marc, sans pitié, força Nicolas titubant à se remettre à genoux devant Bertrand, que Jean-Pierre attacha de nouveau à une branche, exactement dans la position dans la quelle ils l'avaient trouvé, les bras en l'air. Mais il tira tellement sur les cordelettes que le pauvre gars ne pouvait se soutenir qu'avec la pointe des pieds. Dans cette position incommode, il grimaça, et se mit à haleter. Spectacle pathétique ! commenta Marc sur un ton sarcastique. Bien ! alors maintenant, mes petits amis, puisqu'il semble que vous aimez mélanger douleur et plaisir, on va vous offrir un _c_o_c_k_tail explosif. Toi, avance, dit-il à Nicolas en le poussant vers la queue encore dure de Bertrand. Alors, comme çà t'aime bien sucer, hein ? eh bien ! va-z-y, suce, mon petit, regarde, il en redemande le grand Bertrand, allez ouvre le museau, voilà, c'est bien , plus à fond, comme çà, oui, mais on dirait qu'il n'a fait que çà toute sa vie ce petit ! Marc prit le gamin par les cheveux et le força à faire un mouvement de va et vient. En même temps, avec sa trique de noisetier, il recommença à fouetter le malheureux. Chaque coup de trique qui lui cinglait les fesses projetait Nicolas en avant, de sorte qu'il manquait de s'étrangler avec la queue de Bertrand, qui avait déjà retrouvé son volume maximum. Pendant ce temps, Jean-Pierre se campa derrière Bertrand et se remit également à la tâche. Schlassss ! à nouveau Bertrand se faisait proprement astiquer l'épiderme. Et lui, à chaque coup sur le cul, incapable de maintenir son corps immobile, il enfonçait involontairement son pieu jusqu'au fond de la gorge du pauvre Nicolas, qui s'étranglait de plus belle. Mais il ne s'était pas plutôt retiré que la trique de Marc lui faisait immédiatement remettre le nez dans le _s_e_x_e touffu de son copain Bertrand. Celui-ci essayait de retenir ses plaintes, mais le mélange de douleur et de plaisir, comme Marc l'avait prévu, commença à lui faire perdre la tête. Bientôt se fut un concert de hurlement et de râles, de râles et de hurlement, de plaisir, de douleur, de plaisir qui faisait mal et de douleur qui faisait plaisir, et voir son petit copain fouetté pendant qu'il le suçait, çà aussi çà le rendait fou, ahhhhhhrg !..... , ahhhhhhrg !..... , l'orgasme approchait.
Pas si vite, cria Marc, machiavélique comme toujours. Il s'empara du reste des cordelettes, et, avec l'aide de Jean-Pierre qui admira sa trouvaille, il les noua aux jambes de Bertrand, à la hauteur des genoux, puis les attacha à la branche d'arbre de façon à ce que les jambes de Bertrand soient maintenues écartées, les pieds retombant de chaque côté. Il était désormais suspendu en l'air, écartelé comme un lapin qu'on va cuire à la broche. Son cul, désormais la partie la plus basse de son corps, était forcé de s'ouvrir au maximum. Marc reprit Nicolas par les cheveux et le força à lécher la raie complètement offerte de son copain. La raie, le scrotum, les couilles, la queue allez, lèche, lèche bien, mieux que çà, il aime çà tu vois, allez, lèche bien au fond. Et Marc força Nicolas à lécher l'anus de Bertrand, plein du perme de.... Marc ! Marc qui ne cessait de donner des coups de trique au petit suceur.
La queue de Bertrand faisait des bonds énorme, on sentait qu'il était au bord de l'explosion. Mais Marc dit : attention, Bertrand, on a dit plaisir et douleur, qu'est-ce que tu t'imagines, que c'est une partouze ? Et sur ces mots, il se dirigea vers un massif d'orties, en revint avec les mains pleines, et les approcha du cul bien ouvert de Bertrand Non !!!! s'écria celui-ci. Pas çà, non !!!!!!!!! je t'en supplie. Mais Marc, indifférent aux supplications de Bertrand, commença à caresser la raie de Bertrand avec son bouquet d'orties. Il n'épargna rien , même pas la rondelle qui palpitait dans le vide, plaisir ou terreur, on ne savait plus. Les chairs les plus intimes de Bertrand furent atteintes et commencèrent à se boursoufler. Attends, on va te calmer ! et il obligea Nicolas à le lécher à nouveau. Marc fit ainsi alterner plusieurs fois les orties et la langue de Nicolas. Bertrand hurlait, gémissait, tout en sueur, agité de spasmes et de soubresauts. Ses pieds battaient l'air au niveau de ses épaules, il rejetait la tête en arrière, il s'efforçait de fermer son cul, mais il ne put échapper à aucun des supplices raffinés que Marc avait décidé de lui infliger. Jean-Pierre, qui contemplait la scène dans une attitude extatique, s'était remis à bander et obligea Nicolas à le sucer.
Alors Marc sortit son canif, et trancha les quatre cordes qui maintenaient Bertrand dans sa position de jeune lapin sacrifié. Il tomba sur le dos, et n'eut pas le temps de se remettre debout. Marc se précipita sur lui pour lui maintenir les jambes écartées, et sans attendre lui enfonça son dard dans le cul. Il pénétra d'un coup dans les chairs outragées, humides, boursouflées, et baisa le garçon avec une violence inouïe. Dans la forêt retentit un hurlement énorme : Jean-Pierre, Marc et leurs victimes éjaculèrent tous en même temps, en poussant un même cri de rage et de jouissance.