Cet été-là, j'avais dix-sept ans. Complètement puceau, mais totalement pervers. Je me masturbais au moins trois fois par jours, je bandais constamment, j'avais l'esprit rempli de fantaisies _s_e_x_uelles qui m'excitaient jour et nuit. J'étais obsédé par mon propre _s_e_x_e, que j'aimais regarder, et je passais des heures à contempler mon corps dans la glace, particulièrement dans la salle de bain, où je me livrais, dans la solitude, à des orgies narcissiques.
Cet été-là, donc, au mois de juillet, j'étais chez ma grand-mère, avec mes parents. Il y avait toujours beaucoup de monde chez ma grand-mère : un oncle et deux tantes célibataires, dans la trentaine, qui y vivaient en permanence, et tout le reste de la famille qui ne cessait d'entrer et de sortir. J'aimais cette maison immense, ces chambres très hautes de plafond où se dressaient de grandes armoires, le grenier labyrinthique où je passais mon temps à ouvrir des malles remplies de vêtements, de chapeaux, de livres, de souvenirs. Toute l'histoire de la famille était là. J'aimais aussi le jardin abrité des regards indiscrets par de hauts murs couverts de vigne vierge, le potager, fermé au fond par une grange où dormaient de vieux tracteurs, au milieu des bottes de foin.
Mon excitation _s_e_x_uelle était tellement visible en ce temps-là que mon oncle Jean-Claude, cet oncle qui précisément vivait encore chez ma grand-mère, avait un jour fait une remarque : " mais il est complètement excité ce jeune homme ", avec un regard perçant et cet air narquois qui le caractérisait. Ma mère l'aimait beaucoup, c'était son petit frère, mais elle-même reconnaissait qu'il était souvent blessant, voire mal éduqué avec son entourage. J'avais rougi et je m'étais éloigné, me promettant de ne plus parler de _s_e_x_e en public, et de ne plus laisser voir mon état de trouble constant. Je compris que les adultes ne sont pas idiots, et je commençai même à me demander s'ils ne voyaient pas, à ma tête, quand nous nous asseyions pour manger autour de la table familiale, que je venais de me branler dans la salle de bain, où j'étais resté enfermé suffisamment longtemps pour alerter des personnes qui savaient très bien ce que c'est que l'adolescence. Je fis plus attention.
On n'entrait jamais dans la chambre de ma grand-mère, que tout le monde considérait avec le respect dû aux lieux sacrés. Mais un jour que je passais dans le couloir, je vis que la porte était entr'ouverte. Je passe la tête, et jette un regard sur le monde intime de ma grand-mère, bien conscient de commettre un acte de profanation. Le lit était impeccablement fait, un grand et haut lit à l'ancienne, en bois ; aux murs, le double portrait de mes grands-parents le jour de leur mariage, et une autre photographie de mon grand-père, décédé de puis fort longtemps déjà ; plus loin, un petit secrétaire, d'autres photos sur le mur ; au plafond, un lustre ; de grands rideaux lourds à moitié tirés devant la fenêtre. Une cheminée dans un angle, surmontée d'un grand miroir suspendu, où se reflétait presque toute la pièce. Et devant le lit, une immense armoire à glaces. Tous ces miroirs attirèrent mon attention. J'entrai dans la chambre, et je me vis, d'abord reflété par le miroir de la cheminée, ensuite par les glaces de l'armoire. Mon imagination constamment en ébullition me représenta tout le parti que je pourrais tirer de tous ces miroirs pour mes orgies solitaires. N'étant pas un novice en la matière (j'avais déjà disposé des miroirs dans ma chambre, chez mes parents, pour me voir sous toutes les coutures), j'observai que le miroir de la cheminée pouvait sans doute être décroché et placé sur le lit, contre le mur de chevet, face à l'armoire, et.... oh ! je m'imaginais déjà en train de me contempler moi-même, de dos, sans avoir à tourner la tête, en utilisant le jeu des deux miroirs placés l'une en face de l'autre.... ma respiration s'accéléra, je sentis que je bandais rien que de penser que je pourrais me masturber en regardant mon dos, mes fesses, mes jambes, comme si j'étais en train de mater un autre mec, de dos, lui-même en train de se masturber, etc. ! Çà me rendait fou. Voilà le cinéma que se faisait un puceau de dix-sept ans, ivre de plaisirs solitaires, en vacances chez sa grand-mère !
Je sortis précipitamment de la chambre, car j'entendis du bruit dans l'escalier. C'était mon père qui allait faire la sieste. Pendant plusieurs jours, je tentais d'éviter de penser à cette chambre et à ses miroirs. Je pensais d'ailleurs qu'il était impossible de me livrer à mes expériences dans une maison où il y avait continuellement tant de monde.
Cependant, l'occasion se présenta. Toute la famille décida d'aller passer la journée dans une petite maison que possédait ma grand-mère au bord de la Loire. C'était en fait une cabane de pécheur, un peu agrandie, que la famille utilisait pour faire des pique-niques au bord de l'eau. Moi-même j'aimais beaucoup cet endroit, mais j'avais d'autres idées en tête. Comme je m'étais inscrit pour tout le mois de juillet aux tournois de tennis du club local, je prétextai une partie impossible à déplacer pour me libérer du pique-nique. Cela parut très naturel, personne ne s'étonna.
Jamais je n'ai assisté au départ de quelqu'un avec tant d'impatience ! Je les aurais bien tous poussés dehors, tant j'avais envie d'être enfin seul dans la grande maison et de pouvoir me livrer à mes expériences solitaires, mes jeux de miroirs, mes fantaisies d'adolescent pervers. Je bandais déjà rien que d'y penser, au point que plusieurs fois, pendant qu'ils se préparaient, je montais au grenier pour baisser mon short et me caresser un peu ; je me voyais en train de me dénuder progressivement devant l'armoire, mon imagination me rendait fou, c'était irrésistible. Mais il fallait me contrôler. Je ne perdais pas tout à fait la tête, je pensais aussi à toutes les précautions que j'allais prendre après leur départ : attendre un moment, m'assurer qu'il ne revenaient pas chercher quelque chose qu'il sauraient oublié, fermer ensuite la grande porte d'entrée à double tour, afin d'être averti par le bruit de la clef et de gagner du temps, au cas où quelqu'un reviendrait à l'improviste, etc. Je préparai ostensiblement mon sac de sport, la raquette, les balles etc. pour confirmer mon histoire de tournoi.
Enfin ils partirent. Je vis les deux voitures (ils étaient neuf en tout) crisser sur le gravier de l'allée, dépasser la grille du parc, et disparaître. J'attendis un bon moment pour m'assurer qu'il ne reviendraient pas. Mais non, rien, plus un bruit. Je me retrouvai dans cette solitude complète que j'avais tant désirée. Maintenant je voulais prendre mon temps, jouir au maximum. Je remontai lentement les escaliers, et j'entrai dans la chambre de ma grand-mère, ce sanctuaire qui allait devenir mon temple du vice. Je laissai la porte entr'ouverte, pour entendre le bruit de la clef dans la porte, si quelqu'un rentrait par hasard.
Je me contemplai un moment dans l'immense glace centrale de l'armoire. Je voyais un adolescent de dix-sept ans, en short, les jambes bronzées, légèrement poilues, une énorme bosse sous le short. Haletant, j'allai vers le grand miroir qui était au-dessus de la cheminée. C'était bien ce que je pensais : il était simplement suspendu, à la manière d'un tableau ; on pouvait le décrocher aisément. Ce que je fis, pour le placer ensuite sur le lit, contre le mur de chevet. Alors ce que j'avais imaginé depuis plusieurs jours se réalisa : je me voyais, en face de moi, de dos, à genoux sur le lit, comme si c'était un autre. Moi qui n'avais jamais eu de relations _s_e_x_uelles avec personne, je me donnais l'impression de faire du voyeurisme. Je décidai donc de m'offrir une séance de déshabillage. J'ôtai mon T-shirt, mon dos bronzé se découpa devant moi, je voyais parfaitement mes muscles, et la ligne creuse qui les partage et va se perdre entre les fesses. Je fis descendre lentement mon short sur mes cuisses, j'avais l'impression de déshabiller un autre mec. J'étais déjà terriblement fétichiste : j'enlevai mes chaussettes très lentement, tout en me masturbant à travers le slip, car la vision des pieds m'excitaient. Je n'enlevai même pas complètement la chaussette gauche, que je laissai pendre au bout du pied. Ce tableau de moi-même, de dos, en slip, avec une chaussette à moitié enlevée, me plut énormément. Je bandais complètement, mon slip était tendu au maximum, ce que je pouvais voir en même temps dans le même miroir.
Soudain j'entendis un bruit, un craquement dans l'escalier. Le cœur battant, je demeurai paralysé sur le lit. Les secondes passèrent, sans aucun nouveau bruit. Je me décidai à descendre du lit et à regarder hors de la chambre. Personne. Prudemment je m'avançai vers l'escalier. Personne. Je fis alors le tour de toutes les chambres, de toute la maison. Personne. Ce n'était donc qu'un craquement du bois de l'escalier, chose courante dans cette maison, qui souvent nous réveillait la nuit. Tranquillisé, et un peu furieux d'avoir été interrompu (j'avais débandé complètement) je remontai sur les lieux de mes ébats solitaires.
Des ciseaux étaient posés sur le secrétaire. Cela me donna une idée qui me fit rebander immédiatement. J'allais m'offrir un petit peu de sado-masochisme. Je me remis à genoux sur le lit, face au , miroir dans lequel je pouvais me voir de dos. La chaussette du pied gauche était tombée pendant que je faisais le tour de la maison. Je voyais la plante de mes pieds nus, mes jambes, mes cuisses, mon petit slip blanc, mon dos. Alors je commençai à introduire une pointe des ciseaux dans le tissu du slip, juste dans la raie des fesses, et je fis une déchirure, que j'agrandis peu à peu avec les mains. Cela m'excita totalement, je vis apparaître en face de moi, dans le miroir, progressivement, ma raie légèrement poilue, en même temps je saisis ma queue, j'étais à deux doigts de l'orgasme. J'essayai de faire durer le plaisir. Je me mis sur le dos, les jambes en l'air, et je continuai à déchirer mon slip devant la glace, maintenant mes deux fesses joliment duvetées étaient presque entièrement dénudées, je voyais les poils plus abondants dans ma raie bien ouverte, et mon anus rose caché là au fond. Pendant que je me branlais d'une main, je me caressais la raie de l'autre, je laissais mes doigts s'attarder sur mon anus palpitant. Puis je voulus à nouveau profiter du jeu de miroirs ; je me mis à genoux, le cul bien en l'air tourné vers la glace de l'armoire, le nez sur le miroir d'en face, et je me retrouvai devant mon propre cul, complètement ouvert, mes couilles pendantes par dessous, mes cuisses brunes bien écartées. Je me branlais, j'étais sur le point de jouir, je m'approchai de plus en plus de la glace comme pour lécher mon cul, oh ! j'aurais aimé faire çà, la tension montait, je sentais l'orgasme naissant, mes couilles se contractaient, je voyais les frémissements de mon intimité, mon anus en folie....
Mais qu'est-ce que tu fous là ?
Je fus tétanisé. J'étais incapable de bouger. Je restai, comme un con, le cul en l'air, la bite à la main. Ma tête bourdonnait. Je ne pouvais pas y croire. Comment était-il entré ? C'était mon oncle Jean-Claude. Je le vis dans le miroir, avec son sourire sarcastique, sa chemise entr'ouverte, son pantalon beige un peu trop serré.... Je tournai la tête : il était bien là, derrière moi, les yeux remplis de mépris, de sarcasme, ou de je ne sais quoi d'autre.
Alors c'est çà ton tournoi de tennis, hein ? petit menteur ? petit menteur et gros cochon ! tu n'as pas honte de faire çà dans la chambre de.... et sur son lit.... je peux pas y croire. C'est pas possible. Et pervers en plus avec miroirs et tout.... Eh bien dis donc quand la famille va apprendre çà....
Oh ! non tu ne vas pas le dire quand même, murmuré-je
Ben tiens je vais me gêner ! Tu te rends pas compte ? sur le lit de ta grand mère, mais c'est dégueulasse ! s'exclama-t-il en haussant le ton. Je compris que les choses allaient mal tourner. Il avait l'air vraiment outré. Et c'est vrai que la situation était dingue. Il tourna les talons et sortit en claquant la porte derrière lui. Je sautai du lit et je courus derrière lui, dans le couloir :
Oh ! non Jean-Claude, dis rien, s'il te plaît. Ma voix tremblait, je bégayais. Il se retourna et me regarda ; j'étais nu devant lui, avec un sentiment d'impuissance horrible, j'aurais voulu ne plus exister.
Alors il s'approcha de moi, et fit quelque chose que je n'attendais pas : il me plaqua contre le mur, m'écrasa de tout son corps, me prit le menton dans sa main et me dis sur un ton lugubre :
Çà peut rester entre nous, çà dépend de toi....
Qu'est-ce que je dois faire ?
Rien de spécial, mon petit bonhomme, plutôt te laisser faire.... dit-il en prenant mes couilles de sa main restée libre. Quand je sentis mes couilles rouler entre ses doigts, je fus pris d'un grand frisson
Oui, tout ce que tu veux, dis-je dans un souffle....
Et surtout accepter que je m'occupe de ton éducation , çà fait bien longtemps que j'en ai envie....
Je ne sais pas pourquoi, mais malgré l'air extrêmement sérieux avec lequel il disait tout cela, la situation ne me déplaisait pas complètement, je sentis tout mon être glisser sur une pente qui offrait un certain plaisir. Sa main se glissa entre mes cuisses, ses doigts s'introduisirent entre mes fesses, il toucha mon anus, et le pénétra d'un coup sec avec un doigt. Coincé entre le mur et son corps musclé qui explosait sous sa chemise et son pantalon, je haletai, surpris, possédé, dominé. Je m'aperçus que je bandais.
Il me poussa dans la chambre, m'obligeant à marcher à reculons, sa main toujours entre mes fesses, son doigt planté dans le cul. Nous nous retrouvâmes sur le lieu de mes crimes. Alors il me souleva et me jeta sur le lit.
Tiens, puisque tu aimes les miroirs, tu vas en profiter, tu vas assister à ta première correction.... Remets-toi dans la position où tu étais, çà va être très efficace.
Je me remis à genoux, face au miroir. Je vis mon cul en face de moi, à nouveau bien exposé, en l'air, encore à moitié couvert par mon slip déchiré. Mais tout à coup l'image disparut. Jean-Claude avait ouvert la grande porte centrale de l'armoire et je vis apparaître les piles impeccables de draps blancs. Je vis aussi comment Jean-Claude se haussait pour atteindre quelque chose, tout en haut de l'armoire. Quand il la referma, je revis mon cul et mon slip en lambeaux, et Jean-Claude, derrière moi, qui tenait quelque chose dans sa main droite. Je me retournai : c'était un martinet, mais pas un de ces martinets qu'on trouve maintenant dans les quincailleries et qui semblent être des jouets, mais un martinet ancien, tout noir, avec de grandes lanières.
Tu vois celui-là ? me demanda Jean-Claude en me montrant la grande photographie de mon grand-père. Eh bien, lui, il savait manier cela, dit-il en frappant le manche du sinistre instrument dans la paume de sa main gauche. Et toi, tu vas voir l'effet que çà fait.... Allez, en position. !
Il s'approcha de moi. De la main gauche, il déchira un peu plus le slip pour bien dégager mes fesses. Il semblait prendre tout son temps dans ces préparatifs.
Hein que tu n'as jamais reçu une vraie correction ?
Non....
C'est bien ce que je pensais, ton père est un mou, avec moi tu vas voir....
Il laissait courir ses doigts sur mes fesses, s'insinuant dans la raie, touchant mon anus, palpant toute la partie entre l'anus et les couilles.
Désormais, et jusqu'à la fin de tes vacances ici, ton petit cul m'appartient, entendu ? dit-il en déchirant encore un peu plus le tissu, pour faire apparaître mes couilles à l'air libre. A chaque fois que j'aurai un moment, je m'en occuperai, et tu vas voir comme tu vas devenir un petit garçon modèle. Tu as compris ?
Oui....
Ses doigts s'introduisirent dans le slip et il toucha ma queue. Je bandais.
Oui, en ce moment tu bandes, on dirait que tout çà te déplaît pas, il est temps qu'on passe à la correction, parce que tu vas finir par croire que c'est une partie de plaisir, hein ? dit-il en retirant sa main et en me donnant une bonne claque sur les fesses.
Je risquai un regard latéral, et je vis son pantalon, à la hauteur de la braguette, qui semblait au bord de l'explosion. Il bande aussi, pensai-je, il aime çà.... Comment çà va finir ?
Je n'eus pas le temps de poursuivre mes réflexions. Slach ! le premier coup de martinet tomba. Slach, slach.... le troisième déjà. Je ressentis une brûlure terrible sur les fesses. Dans le miroir, je voyais seulement le bras de mon oncle, sa chemise retroussée à hauteur du coude, qui montait et s'abaissait, et les lanières de cuir qui volaient en tous sens.
Au dixième coup, il s'arrêta, passa sa main sur mes fesses en effervescence, déchira encore un peu plus le slip. Il prit les ciseaux et coupa l'élastique : le slip tomba entre mes cuisses écartées ; dans la glace, je vis mon cul complètement exposé.
Alors il reprit la cadence, mais cette fois, avec une précision incroyable, il fit tomber les lanières de sorte que leur extrémité s'abattit juste dans ma raie pleinement offerte. Je tressautai sur le lit et hurlai de douleur. Alors il monta sur le lit, posa un genoux sur mon dos pour m'empêcher de bouger, et appliqua la même technique au moins une dizaine de fois encore. Immobilisé par son poids,. Je ne regardais même plus le spectacle dans le miroir, j'enfonçai la tête dans l'oreiller que je mordais en écumant de douleur. Ce fut horrible, mon corps se tordait sous son genoux implacable.
Enfin il s'arrêta. Toujours dans la même position, il examina les dégâts. Je sentis ses doigts passer et repasser sur mon anus. Progressivement, la douleur, la chaleur, ses caresses, me firent à nouveau bander. Il me força à me relever. Il me fit mettre debout à côté du lit. Je titubais, les yeux brouillés, tuméfiés de larmes involontaires. Je ne voyais plus rien. Il me renversa sur ses genoux et commença à me fesser à main nue. Après le martinet, cela me parut moins douloureux, même si çà faisait mal. Il me força de nouveau à écarter les jambes, et ses claques commencèrent à tomber entre les fesses. Bientôt il frappa directement mon anus. Il laissait ses doigts quelques secondes reposer sur mon intimité, puis il recommençait. Alors je me mis à pleurer comme un enfant. Tout mon corps était secoué de sanglots.
Tu regrettes ce que tu as fait ?
Oui, oui....
Tap ! tap ! tap ! tap ! il continuait malgré tout à frapper mon petit trou vierge, complètement dilaté sous ses doigts.
Alors il m'assit sur ses genoux, à califourchon. Son visage était à deux centimètres du mien. Ses doigts folâtrant toujours dans ma raie, il me dit :
Tu vas faire plaisir à ton oncle, pas vrai....
Oui, tout ce que tu veux Jean-Claude.
Alors il me laissa glisser sur le sol. Mon visage se retrouva à la hauteur de sa braguette. Il l'ouvrit, défit sa ceinture, et en un tour de main fit tomber son pantalon et son slip sur ses chevilles. Je me retrouvai la tête coincée entre ses cuisses poilues et musclées, très bronzées, devant une queue énorme, vibrante, dressée en l'air. Il m'attira, et pour la première fois de ma vie je suçai un mec, et c'était mon oncle ! Il guida ensuite mes lèvres vers ses couilles, puis m'obligea à sucer à nouveau son gros gland. Il reprit le martinet, et pendant que j'apprenais à avaler cette bite énorme, il recommença à me donner des coups de lanières sur le bas du dos. Puis il se leva, arracha sa chemise, me prit par la taille et me fit faire le trépied, la tête en bas. Alors je sentis qu'il me bouffait le cul, je sentis sa barbe, sa langue, sa salive se répandre sur mon anus. Dans la position où j'étais, je pouvais voir toute la scène dans les glaces de l'armoire. Puis il se rassit sur le bord du lit, et me remis à califourchon sur ses cuisses puissantes. Il introduisit un doigt dans mon cul, s'assura que j'étais bien lubrifié et bien dilaté, retira son doigt, me souleva un peu au-dessus de ses cuisses, et m'embrocha sur sa bite dressée. Quand il m'eut pénétré à fond, il m'immobilisa et me demanda :
Alors comme çà t'es puceau, j'imagine....
Oui....
T'as jamais couché avec une nana ?
Euh.... non....
Ni avec un mec....
Non....
Eh bien il est temps de commencer, murmura-t-il.
Et il commença à me faire monter et descendre sur son énorme pieu. Nos lèvres s'unirent. Alors il recommença à me donner d'énormes claques sur la partie latérale des fesses, pendant qu'il me pilonnait et que sa langue s'engouffrait dans ma bouche jusqu'à me faire étouffer. Je regardai par dessus son épaule : je vis, dans le miroir que j'avais placé sur le lit, un mec de dix-sept ans, de dos, les jambes écartées, en train de se faire sodomiser par un mec de trente-deux ans, dont je voyais les cuisses musclées, les couilles brunes et velues, et le pieu épais, luisant, qui apparaissait et disparaissait entre les fesses du petit mec, dans un lent mouvement de va et vient. Le petit mec avait le cul très rouge, et recevait des claques sonores et régulières. Et bientôt, je vis que les claques s'arrêtaient, que les mains du mec de trente-deux ans se crispaient sur le dos de l'adolescent, que ses cuisses brunes se fermaient comme une tenaille sur le petit cul sodomisé, et que les deux corps, convulsivement, s'abattaient sur le lit. Et je pus voir encore, le regard embué, dans le miroir qu'il allait falloir raccrocher, un ruban de sperme couler entre les fesses bien rouges du jeune mec de dix-sept ans.
Tel fut mon baptême : première fessée, première fellation, première sodomisation, premier baiser, premier amour....