Instructions in French then in English. Story in French only. Translation forbidden. FRANÇAIS FRENCH ******** Membres de MMSA : cette histoire a été écrite le 26-DEC-2002 pour le site français ClubFessée http: www. clubfessee. com entretenu par Claude. Il s'agit d'une histoire vraie protégée par les droits d'auteur pour des raisons évidentes. Si je dois poursuivre des histoires (des fois qu'il y aurait d'autres fessées !), je publierai le tout sous le nom de code FrenchyThomas1982. ENGLISH ANGLAIS ******** Members of MMSA : this is a real story happened and written on Dec, 26th 2002. It was published on the French site ClubFessée. All rights reserved. If there are other spankings (real stories of course), I publish them with the nickname FrenchyThomas1982.
Note au sujet du titre : je m'excuse auprès des invalides pour ce titre qui doit les choquer. Mais il est une réalité que les invalides subissent des brimades, vexations, infantilisations, voire maltraitances (de type fessée justement). Dans mon cas, il s'agit d'un copain qui était plâtré et que j'ai soumis à la fessée puisque le priver de sortie aurait été déplacé... vu que son plâtre l'empêche déjà de beaucoup de choses. La fessée était pour moi une bonne punition... à cette date, il est encore soumis à la fessée car pas encore remis de son accident.
L'histoire que je vais vous raconter est vraie et date de ces vacances de Noël 2002 (je l'ai écrite le même jour que je l'ai vécue). Je suis du nord de la France, j'habitais jusqu'à cet été à Bray-Dunes, la commune la plus au nord de France. Mes parents ont quitté la ville il y a deux ans, après ma terminale quand j'avais 18 ans, mais j'étais resté là-bas pour faire mes études à Dunkerque. Mon deug obtenu, je cherche désormais un boulot dans la fonction publique, passant des concours en octobre et au printemps prochain. J'ai 20 ans maintenant et j'habite désormais à Toulouse-même, où j'ai rejoint le nouveau domicile parental. Même si je ne suis plus étudiant, je vais dans les universités de Toulouse et au contact des étudiants de là-bas, car j'adore faire la fête avec ceux de mon âge. Enfin... je fréquente finalement des 15-25 ans, plutôt des gens classes et branchés, des citadins. Je n'ai reçu la fessée que peu à Bray-Dunes, mais j'avais des amis qui la recevaient encore au lycée, et plus que quelques-uns mais ce n'est pas non plus la punition de référence dans le coin ! La différence avec certains d'entre vous quand je lis les histoires sur ClubFessée, c'est que la fessée dans le dunkerquois est plutôt bannie dans les milieux bourges, par opposition aux milieux populos où on gifle et fesse à tout bout de champ. La fessée, de ces amis qui me les racontaient, m'a toujours intriguée et intéressée, mais quand ils me racontaient comment ça leur faisait mal, je n'ai jamais osé leur parler de ce côté intrigant. J'étais bien décidé à essayer un jour. Plutôt la recevoir en fait. Mais j'ai eu une occasion de la donner, punitivement c'est vrai, et j'en ai à la fois profité et tiré des leçons.
En fait à Toulouse j'ai vite sympathisé avec un garçon du coin, un Julien de mon âge, blond aux yeux marrons, grand et mince... bref typé flamand comme j'avais l'habitude d'en croiser avant (d'ailleurs, il ressemble pas mal à Simon Camden, le blondinet de Sept à la maison sur TF1). Il est descendant de Flamands en fait, c'est pour ça. Chez lui, la fessée c'est uniquement pour les tout-petits, et à des fins uniquement éducatives. Les Flamands n'en font jamais trop car ils savent que la fessée n'a pas de vertu. Malgré cela, il n'empêche que des menaces de fessée peuvent être données. A 19 ans il en a eu une fois devant sa famille élargie, et ces menaces ne sont pas faites pour être menées à exécution mais pour faire peur, impressionner, faire honte devant ceux qui sont présents et ramener à la sagesse. Etant sage, il marche assez bien à la menace, à laquelle il ne croit pas d'ailleurs mais c'est toujours humiliant, me dit-il. On est très vite devenus amis. On avait plein de choses à partager, vous comprenez. Mais récemment, alors qu'il était en règle, il s'est fait renverser sur son scooter par une voiture qui roulait trop vite. Plus de peur que de mal, il a simplement été blessé. Les bras sont fracturés mais pas les jambes. Du coup, il a les deux bras dans le plâtre. Pour les vacances de Noël il devait justement aller voir des oncle et tante restés en Belgique, dans la région de Gand (Flandre-Orientale). Ses parents et ses frères et sœur y sont bien allés, mais lui a dû rester à la demande du docteur. Je me suis aussitôt proposé de m'occuper de lui, et il a accepté. Nous n'étions pas encore super intimes au début des vacances, je ne m'étais jamais lavé ou déshabillé ou dormi avec lui, et nous ne faisions que parler de _s_e_x_e comme ça, car lui attend la fin des études pour sortir avec les meufs (précisons que nous sommes tous deux hétéros). Je n'avais pas encore osé lui parler de masturbation, ce que je supposais être sa seule _s_e_x_ualité. Après toutes les mises en garde de tout le monde, j'ai pu enfin m'occ! uper de lui. Je suis chez lui donc, à Toulouse-même, depuis le samedi 21 et ses parents ne reviennent que le 3 ou 4. On s'est promis de s'occuper ensemble. Je m'imaginais que j'allais devoir faire des tas de chose avec lui. Effectivement, je dois l'habiller, le déshabiller, le laver, lui brosser les dents (oui, il ne peut pas se servir de ses mains ni articuler ses bras !), le faire manger et boire (véridique, c'est chiant au début mais après c'est marrant, on s'éclate finalement)... même le faire pisser et chier (le torcher, là par contre c'est toujours pas drôle). Au début ça paraît gros tout ça. Mais c'est réel. Imaginez-vous vos deux bras tendus et inarticulables avec vos mains au bout qui ne peuvent plus faire grand-chose. Normalement il aurait dû rester à l'hôpital, car c'est ce qu'on fait souvent dans ces cas-là. Mais ses parents avaient réussi à le ramener à la maison, à la vie en quelque sorte car l'hôpital c'est morbide. Dès le 21, j'ai posé très clairement les règles du jeu à Julien (les propos sont repris ici à peu près, car je n'ai pas non plus une mémoire d'éléphant) :
" Ecoute Julien, psychologiquement ça va être dur pour nous deux, je suis pas ton papa ni ton frère ou ton cousin, mais je veux quand même que tu m'obéisses et que tu me conseilles si tu sais mieux que moi comment faire. "
" On est copains justement, tu dois pas me contrôler. "
" Ouais, mais là ça va pas être facile. Si je te dis de faire quelque chose, c'est pas pour poser des règles débiles, c'est clair que je suis pas ton père pour ça, c'est justement en tant qu'ami, pour ton bien en premier et le mien ensuite. Si tu vois que j'ai une mauvaise vision de ton bien, tu me le dis, de toute façon quand on n'est pas d'accord tous les deux, en général on se le dit. " (Note : j'ai une mauvaise vision du rôle des parents, d'où ces propos sur les règles débiles des parents)
" Tu t'occupes de moi quand je te le demande, ce sera mieux... "
Et là, j'ai coupé la conversation par cette réplique, sans l'avoir préméditée, avec des propos spotanés et irréfléchis (mon inconscient a parlé) :
" ...Julien, tu sais que je suis protecteur moi, ça se voit dans mon comportement. J'aime bien les gens et je veux m'occuper de toi librement car tu sais que je dois toujours avoir champ libre à 100% pour réussir ce que j'entreprends. Je te l'ai déjà dit ce problème de personnalité que j'avais. Alors maintenant, tu m'obéis et me conseille si je fais une erreur. Si tu n'obéis pas ou te mets en danger, de toute façon, t'es déjà privé de liberté naturellement, alors je vais pas te priver de sortie, de dessert ou je sais pas quoi, mais je te donnerai la fessée. Mais enfin, des fessées d'adulte maintenant, plus celles que quand on était tout-petits. C'est la seule punition que je vois. Et ça vaut dès maintenant car sinon on va discuter des heures. Je resterai ton ami de toute façon, en dehors de ces fessées ou menaces que tu pourrais trouver inamicales. Je ne compte pas te fesser à la base, c'est juste au cas où. "
Dans ma tête, il faut savoir que je n'avais pas du tout calculé le coup. Comme je l'ai déjà dit, je m'imaginais plutôt recevoir la fessée un jour. Mais là, ça m'est passé par la tête, je me suis engagé à le fesser si nécessaire et je m'en suis convaincu car je déteste les propos en l'air. Le jeu de la fessée était du coup donné. Ce premier week-end a été parfait entre nous. On n'a pas trouvé ça drôle, on a essayé de prendre nos repères. Je me lavais d'abord, puis je m'occupais de lui. Lundi matin, on a commencé au contraire à se laver ensemble. Il savait que je n'aime pas l'injustice et l'inégalité, alors je lui avais dit que si je le voyais nu, je trouvais normal qu'il me voit nu. Lundi soir, au lit ensemble pour une sorte de veillée (car nous dormons normalement dans deux lits différents, disposés dans sa chambre), nous avons parlé de _s_e_x_e, et donc de masturbation. Pris dans le sujet, nous nous sommes masturbés. Enfin, presque, car lui ne pouvait pas. Je l'ai masturbé puis je me suis masturbé. C'était la première fois que je le faisais, lui aussi pour le côté " mutuel " de la masturbation collective. Ca m'a fait bizarre, mais ça nous a rapprochés beaucoup. On a tout pris à la rigolade. Mardi matin, on a même remis ça, mais pour qu'il puisse me masturber, il m'a... sucé. Ca nous a paru légitime car il n'avait que ça pour me le rendre. Mais j'avoue que s'il était pas plâtré, ça m'aurait fait bizarre de me faire sucer par un mec ! Pour pas dire anormal. Enfin, maintenant qu'on se sentait proches, Julien oubliait un peu qu'il devait faire attention à son plâtre. Le jeudi 26, c'est en fait ce matin au moment où j'écris sur son PC pour le mailer à Claude, car je connais les sites de fessée depuis le lycée, quand ça a commencé à réellement m'intriguer avec l'étude des Confessions de Rousseau, Julien a voulu se servir lui-même. Juste pour prendre son bol. Je lui ai dit qu'il ne devait pas. Mais je sais pas trop, je crois quil voulait se sentir indépendant. Il a essayé de faire pipi lui-même. C'est vrai que ç! a fait bientôt quinze jours son plâtre et que la réparation doit être bien entamée. Mais pas une fessée pour ça, faut quand même pas être con. Néanmoins, j'avais remarqué qu'aujourd'hui, Julien n'était pas très discipliné et raisonnable. La faute la plus grave, c'est un peu après. Il savait très bien que je lui avais interdit de sortir seul. Pourtant, vers 11h, il a été de lui-même à la boulangerie pour acheter des petits pains et une baguette. En revenant vers 11h15, il m'a trouvé dans le salon, après avoir refermé la porte d'entrée. Il m'a regardé comme bouche bée puis dit :
" Je l'ai pas fait exprès. "
Il avait l'air de savoir que je n'appréciais pas cet écart de conduite, fort inhabituel chez lui. Ni que je le lui pardonnerai. Peut-être était-ce aussi mon attitude à ce moment-là qui lui a fait peur, dans son inconscient. Enfin, je lui ai dit, d'une manière normale comme si pas pour le punir :
" Donne-moi ça Julien, tu sais que tu dois pas travailler tes bras. "
Il est venu jusqu'à moi me les donner et je les ai posés sur la table. Je suis retourné vers lui :
" Julien, on était bien d'accord pour les sorties et je crois que j'ai pas besoin de te sermonner car tu es quelqu'un de responsable. Il ne me reste plus qu'à te punir comme tu t'y attends, car je te l'avais bien dit samedi. "
A ce moment-là, je l'ai saisi par sa hanche gauche pour l'emmener près du canapé. Je l'ai laissé debout, et de profil, je lui ai donné dix grandes claques sur les fesses. J'ai pas pu voir sa réaction mais il a poussé un grand " haaannnnn " (comme quand on reprend sa respiration) pour le premier coup, en restant silencieux pendant les dix coups. Je me suis alors assis sur le bord du canapé et je l'ai tiré vers moi, en faisant attention à ce qu'il retombe en partie sur le canapé à cause de ses plâtres. Comme il s'est laissé faire, ça a marché. Je crois qu'il réalisait pas trop ce qui lui arrivait. Je lui ai alors dit :
" Julien, t'es un jeune homme, comme moi d'ailleurs vu qu'on a que deux mois d'écart (et en plus, il est en fait plus vieux que moi), et je ne peux pas te donner dix coups comme à un petit garçon. Tu vas recevoir une fessée d'adulte, et c'est pas mal de coups. La différence, c'est que c'est qu'une punition, et pas une infantilisation. Je te traite pas comme un enfant, mais comme un jeune homme qui est mon ami en plus, qui doit recevoir une fessée d'adulte pour parfaire son éducation, et surtout parce que j'ai pas trop le choix des punitions. Tu ne dois plus recommencer. "
Là-dessus, les claques ont commencé à tomber. Je visais une fesse après l'autre. Il n'a rien dit les vingt (environ) premières claques, plutôt fortes, ni même essayé de se débattre. Mais les coups étaient suffisamment espacés pour pas être douloureux. La douleur du coup précédent devait être passée quand le coup suivant arrivait. Après ces vingt coups environ, je l'ai déculotté. Il était donc en slip (faut dire aussi que le slip, c'est moi qui le lui avais imposé samedi dernier pour des raisons pratiques). Les coups plus sérieux ont pu commencer. J'ai commencé par des claques plus rapprochées, pas forcément intenses. Il a commencé à dire " arrête ", " ça fait mal " à ce moment-là. Il a commencé à débattre les jambes, prises au piège pourtant du pantalon qui les empêchait de bien se mouvoir. Il a eu ses premières larmes. Je suis resté comme ça trois à quatre minutes. Mais avant la fin, il était déjà en pleurs, pas encore en sanglots. Il est mince, a un beau postérieur en fait, et peut-être pour ça est résistant. Le déculottage est ensuite intervenu. Je sais pas pourquoi, mais c'est là que j'ai senti que la fessée commençait vraiment. Peut-être ai-je trop lu d'histoires publiées sur ClubFessée ! J'ai commencé par dix grandes claques, les plus puissantes possibles. A chaque coup il hurlait et me priait d'arrêter. J'ai essayé de les faire le plus rapproché possible. Puis j'ai donné des plus petites claques, sur chaque fesse par moment, au même endroit en continu à d'autres moments. Une bonne cinquantaine. Puis je n'ai plus compté les coups, car il a éclaté en sanglot et gigotait. J'ai alors compté le temps, de manière à ce que la partie cul nu durait au moins un quart d'heure et la fessée entière vingt-cinq minutes. Les coups pleuvaient, il a même dépassé le stade des pleurs. Je saurais pas décrire comment c'était, mais j'avais déjà connu ça petit, et pas forcément à cause de fessées. Quand on n'arrive plus à pleurer, qu'on est toujours en larmes, on ne sait même plus parler, plus rien faire, on est comme ! tétanisé sauf qu'on arrive encore à gigoter dans tous les sens, on a même l'impression que c'est nécessaire pour notre survie. Ben il était dans cet état (s'il ressent les choses comme moi bien sûr). La fessée a cessé après trente minutes environ. Je sais pas combien de coups ça fait tout ça, mais je crois que j'ai bien été inspiré par ClubFessée pour savoir comment faire ! Je l'ai mis au piquet, lui disant que c'était pour voir l'état de ses fesses (ce qui était la vérité, car dans les histoires sur ClubFessée je trouve pervers et malsain les histoires de mises au piquet ; je l'ai pourtant fait aussi me direz-vous). Peu après midi, je l'ai ramené dans sa chambre, je l'ai entièrement mis à nu et je l'ai réconforté. Allongé sur son ventre, je le massais aux épaules, au cou, au dos, aux jambes et aux fesses en mettant de la Nivéa. J'ai essayé de m'expliquer avec lui. Vers une heure (13h), il avait repris et je l'ai rhabillé. Il m'a alors dit :
" Je veux plus que tu me frappes. Tu vas trop loin. "
Je lui ai alors répondu :
" C'était une fessée d'adulte Julien. Pour une première j'ai frappé fort volontairement. Mais à l'avenir, je tâcherai de me contenter de plus petites fessées, pour ne pas te perturber. Développe-toi normalement encore, cette fessée t'a appris à ne pas mettre ta vie en danger. D'autant plus que ça coûte cher de recommencer des plâtres si besoin. " (Note : les propos semblent un peu à côté, mais lui et moi nous sommes compris)
On a discuté comme ça, mais on a convenu en début d'après-midi qu'il n'y aurait plus de fessée terrible comme celle de ce matin. Il m'a promis de n'en parler à personne, tant mieux d'ailleurs pour moi. Il ne veut plus de fessée en fait, mais sait que je le ferai. Il a cherché à imposer des limites, et pour son bien, j'en accepte. On a convenu alors à pas plus de... quinze minutes par fessée (c'est moi qui voulais le fesser longtemps, comme tout adulte se doit l'être une assez longue durée), pas plus de dix coups consécutifs rapprochés car ce sont ceux-là les plus douloureux, pas beaucoup de grandes claques, et des coups répartis sur l'ensemble du globe fessier. En outre, il veut être déculotté dès le début s'il doit l'être (ce à quoi je tiens), mais si une petite fessée devait survenir, il restera habillé et ne prendra pas plus de dix coups. Je dois aussi faire attention à ce qu'il ne pleure pas immédiatement, c'est-à-dire à le fesser progressivement. Et je ne dois jamais le prendre par surprise. Mais j'ai tenu à ce que les fessées soient spontanées plutôt que mises en scène en différé. Voilà, ce condensé des consignes de fessée ne s'est pas décidé comme ça. J'ai dû les écrire sur un papier pour me mettre d'accord avec lui. Comme si la manière de donner une fessée se décidait à l'avance, j'avoue que ça fait bizarre et pervers ce genre de procédé. Mais bon, il veut des sécurités alors on est obligés d'en parler. Et je lui ai promis que quand il serait remis, il pourrait lui aussi me fesser. Ce qu'il refuse, mais je suis sûr que je vais arriver à le faire changer d'avis. Si nous nous masturbons ensemble pendant qu'il est plâtré, je suis sûr qu'on le fera aussi après. Et je suis sûr que j'arriverai à le convaincre de me fesser, ne serait-ce que par souci d'égalité et parce que je " m'en veux " de l'avoir fessé si méchamment. Qu'il me donne au moins des petites fessées !
Voilà, je vous tiendrai au courant. Je m'appelle Thomas au fait. Ecrivez-moi à funaisir@excite. com pour vos réactions, vos similitudes avec ce qui m'arrive. Cette histoire est vraie, et je tiens à ce qu'elle ne soit pas trop diffusée. Toute reprise est donc interdite. Les droits d'auteur je me les garde. Sites de diffusion : ClubFessée et MMSA (sous réserve d'acceptation par ces sites).
Ajout : voilà j'ai écrit cette histoire vers 17h quand Julien se reposait. Là il est 20h10, je le laisse chier tranquille (mais je vais devoir le torcher), mais tout à l'heure on en a reparlé. Il m'a dit qu'il ne m'en voulait pas de l'avoir puni, car il savait que j'avais voulu prendre soin de lui (nous sommes deux garçons raisonnables). Il regrette que je sois allé trop loin. Il m'a dit qu'il n'en parlerait pas parce que son père lui interdira de me voir sinon, mais il demande à ce que je ne le fesse plus pour le punir car il n'en a pas besoin. Je lui ai dit que je le ferai tant qu'il serait à ma charge, mais j'ai pris l'engagement de ne pas dépasser cinq minutes ou cent coups, et de m'arrêter au plus tard lorsqu'il sera en pleurs, mais pas après. Il a accepté notre marché, certain je pense qu'il n'en prendra plus (et vu que c'est un garçon sage, j'ai peur que ce soit vrai). Il sait que je n'abuse pas de lui. C'est le principal. Il a confiance en moi et j'ai confiance en lui. Ce soir (disons en début de nuit car on se couche tard !), on a prévu justement de se branler ensemble (parfois c'est classe les activités entre moi et lui...) et il m'a dit que ce sera lui le maître de cérémonie. J'ai peur qu'il me demande quelque chose que je ne veuille pas, comme le sucer car il sait que j'ai horreur de ça, encore plus si je dois avaler (même s'il est vierge, on a fait ensemble, avec deux autres mecs et la copine de l'un d'eux, un test anti-sida fin octobre, on est tous les cinq négatifs bien sûr)... Mais bon puisqu'il est vierge et ne fait que bander en voyant une meuf (j'assiste en auditeur libre à ses cours des fois, et en fait on bande souvent pour les mêmes !), je ne serais pas étonné qu'il soit un roi de la masturbation, même s'il me répond toujours évasivement à la question de sa fréquence de masturbation. De toute façon, demain j'aurai ma revanche, car on va en boîte et je brancherai toutes les filles sur lui pour voir sa réaction ! Vivement demain soir !