La scène du bateau fut la première à laisser une impression de malaise intégral sur Matthieu. L accomplissement total de sa logique, sa complète humiliation ainsi la correction reçue le firent définitivement basculer sur la défensive. Pire, sa mère lui glissa, alors quils sen retournaient à lhôtel, quelle navait vraiment pas apprécier son attitude et son égoïsme. Son beau-père en avait profiter bizarrement pour lui glisser à l oreille : les égoïstes sont toujours ceux qui ne pensent pas qu à moi.....
Dès leur arrivée à l hôtel, Matthieu se dirigea vers la douche afin de se rincer de l eau de mer. Il nétait pas dans son état normal, et n entendit pas la porte de la chambre s ouvrir et se fermer sur sa mère. Il repassait dans son esprit, inlassablement le film de la journée. Jean-Charles le suffoquait Devant tant de manœuvres, le jeune garçon se sentait démuni, tel quil était en son état naturel, et cette prise de conscience le rendait amorphe de caractère, et craintif. Ce regard qui disait : Essaies toujours, çà ne changera rien et jen tirerais encore plus de plaisir , le fascinait tout en lui tirant des accents intérieurs de désespoir absolu devant son impuissance sans contours.
Il ne s était pas passé trois heures depuis sa première fessée donnée par Jean-Charles. Matthieu, dans la salle de bains, avait pris un soin extrême à fermer la porte. C est seulement au bout de trois vérifications qu il sétait décidé à ôter son slip et à se glisser sous la douche Il fut alors confronté de nouveau à l étrange comportement de son nouveau beau-père.
Sa surprise fut totale alors qu il laissait l eau glisser sur son dos, quand la porte s ouvrit comme d elle même et que son beau-père entra, un grand sourire aux lèvres. Celui-ci referma la porte alors que le jeune homme, paralysé et incrédule, voyait son intimité une nouvelle fois violée.
S arrêtant devant lui, son beau-père laissa couler son regard sur son corps nu, le détaillant de la tête aux pieds. Pour le coup, Matthieu en rougit. Puis, chuchotant, -son imperceptible sourire éternel aux lèvres- Jean-Charles lui dit :
J ai bien aimé sentir tes petites fesses sous ma poigne aujourd hui, tu peux te préparer dès maintenant à ce que çà devienne une habitude.....
Le temps que cette phrase fasse le tour de son cerveau, Matthieu vit son beau-père venir droit vers lui et, glissant sa main sous l eau chaude, la poser en travers de ses fesses puis lui susurrer à l oreille :
Elles et moi auront à l avenir beaucoup plus à faire ensemble que n importe quelle partie de ton corps. Tu peux préparer tes jolies petites fesses, de toute façon, un jour tu m en remercieras !
Se sentant coupable comme seuls les enfants savent l être face des adultes, Matthieu ne dit rien. Puis, Jean-Charles, après avoir noté son manque total de réaction, le retourna fermement et d une traction sur le dos, le pencha et commença ouvertement à examiner ses fesses, puis à les malaxer fermement. Il retourna le garçon par les hanches, lui faisant de nouveau face, et après lui avoir redressé le menton dune main très ferme, lui asséna sur un ton doucereux :
Tu n as pas intérêt à me décevoir car je tiens exprès pour toi une très lourde ceinture à portée de mains ! Cest compris ???
Oui, Jean-Charles murmura Matthieu d une voix enrouée.
Cette nuit là, Matthieu eut du mal à s endormir. Il savait pertinemment au fond de lui qu il était battu d avance. Mais quelle difficulté pour accepter linévitable !....
Deux jours plus tard, il avait déjà la peur au ventre : cette boule dangoisse indicible qui prends les peureux devant l inéluctable. La veille au soir, sa mère, encore une fois visiblement sous l influence de son beau-père, lui avait demandé de couper la télévision quil souhaitait faire fonctionner dès le matin. Ce nest pas que la réponse de Matthieu fut insolente, non. Mais très visiblement, son beau-père en avait fait une histoire de principe assez étrange, et après avoir con_d_a_m_n_é l attitude si neutre dun enfant qui défends ses distractions dérangeantes sans oser en faire un plat, il avait autoritairement décrété que déjà plus rien allait à cause de ce garçon ! . Très bouleversée, sa mère était partie faire les courses pendant que son beau-père, souriant jusqu aux oreilles prenait tranquillement son café sur la terrasse.
Jean-Charles appela alors Matthieu. Le garçon arriva sans se presser vers la terrasse qui dominait une plage très proche et déjà bondée d une foule de baigneurs.
Le jeune homme était vêtu dun short long de bains, ainsi que d un tee shirt bien trop large pour lui.
Vire tes fringues, petit con ! lui balança son beau-père. Et vite, que je n ai pas à le répéter !
Matthieu n eut quun mais dhésitation avant que de se soumettre, puis il enleva son tee shirt, avant que d hésiter une nouvelle fois avec son short. Mais un regard furieux de Jean-Charles et sa mine faisant semblant de se lever l obligea promptement à le baisser immédiatement jusquaux chevilles.
Viens là prendre une bonne fessée ! lança son beau-père
Tout en se dirigeant vers Jean-Charles, Matthieu demanda pourquoi , et la seule réponse qu il obtint fut :
Peu importe, le principal c est que tu apprennes les bonnes manières !
Et cest ainsi quil prit une deuxième fessée de la part de cet homme étrange.
Oh ! Bien sûr ! Il ne compta pas les coups assénés avec la main sur ses fesses nues. Pourtant il en prit près de 75. Fortement donnés, la totalité de la surface de ses fesses fut couverte, débordant largement sur le haut de ses cuisses et le bas de son dos. Anesthésié, il ne prit même pas note dans son esprit que les 20 derniers coups s attardaient longuement sur ses fesses, les écartant ouvertement afin dexposer ainsi son anus et l humilier ainsi dans labandon dune sanction qu il ne comprenait pas mais acceptait, déjà vaincu avant même de combattre.
Son beau-père le redressa et Matthieu se tint debout entre ses jambes Alors même que les mains avides de cet homme caressaient ouvertement ses fesses, il reçut cet avertissement prémonitoire et sans fioritures :
Demain soir, pour fêter notre retour et pour que tu comprennes ce qui t attends, je trouverais un prétexte pour te donner la ceinture. Mais je te promets........ que cest ta mère qui le réclamera........
Puis, il fut fermement dirigé vers lextrémité de la terrasse, et disposé mains sur la tête, jambes très écartées afin de rester le nez collé au mur, au piquet. Tous les baigneurs de la plage en contrebas purent donc voir la partie supérieure de ce garçon visiblement puni.
Dès le lendemain matin, Matthieu se leva avec cette si caractéristique boule d angoisse quil allait apprendre à connaître au cours des années suivantes...... Dans ses pensées, une seule vision : la ceinture de son beau-père qui s abattrait impitoyablement sur son corps impuissant. Dès le matin il essaya de penser à une stratégie afin d intéresser sa mère à son sort. Mais le sourire de son beau-père, qu il rencontrait dès le moindre commencement d exécution de sa manœuvre, le paralysait plus sûrement que n importe quel venin au monde. Chaque geste lui semblait pouvoir cacher le piège dune éventuelle confrontation tournant obligatoirement à son désavantage.
Cest vers 17 heures, alors qu il nen pouvait plus de cette sourde tension, qu il vit comme avec un immense soulagement arriver les prémices de l orage. Mais ce n étaient que les prémices. Les valises étaient prêtes, le taxi attendait pour la direction de laéroport quand, ouvertement, comme ayant attendu que sa mère soit là, Jean-Charles lui lança un cinglant avertissement le menaçant de la pire des trempes de sa vie , alors même qu il navait pas bougé et que son beau-père lui lançait un sourire sadique.
Mais, immédiatement, son ennemi repris son attitude urbaine et sympathique vis à vis de tous. La petite famille pris le taxi et se rendit au point de départ, prête à rentrer à la maison.
C est en déposant les bagages devant un personnel nonchalant que tout se produisit. Alors même que la charmante hôtesse d accueil faisait un sourire appuyé à ce si joli garçon, le beau-père de Matthieu prit prétexte de sa réponse timide pour le saisir par la peau du cou et lui dire dun ton sans appel : Cette fois-ci, tu as dépassé les bornes, Matthieu. Je ne te laisserai pas faire le désespoir de ta mère.
Puis, le menant d une main ferme, il le dirigea vers les toilettes publiques de l aérogare. Bien évidemment, Matthieu n avait rien compris et certainement pas le prétexte. Pire, des dizaines de personnes qui faisaient la queue afin denregistrer leurs bagages, le regardaient dun air neutre voire approbateur. Parmi eux, Matthieu nota dautres enfants, plus jeunes ou plus vieux, à peine sortis de leur tendre enfance avec un regard surpris mais content, ou déjà adolescents et jouissant de la vue du spectacle qui les rendait enfin forts tels quils s imaginaient l être.
La porte des toilettes s ouvrit brutalement surprenant une dizaine d hommes à leur affaire. Dun retentissant : Pardonnez-moi, gentlemen ! , son beau-père mena Matthieu droit au centre de la pièce. Complètement passif, le jeune garçon vit Jean-Charles lui ouvrir le bouton de son short, ouvrir sa braguette, puis, sans pause, baisser le vêtement qui tomba naturellement sur ses chevilles. Il lui asséna alors une mémorable claque en travers de la figure et lui ordonna de disposer ses mains sur son crâne. Puis, dès que le jeune garçon eut obéi, Matthieu vit son slip saisi aux élastiques par un beau-père déterminé à l humilier, et son regard toujours incrédule surprit la vision de son propre slip glisser sur ses chevilles par des mains fermes et impitoyables. A peine le temps d en concevoir l incroyable exposition quil fut saisi derechef, penché en travers d un lavabo que ses épaules rencontrèrent lourdement. Il sentit les mains de son beau-père lui écarter brutalement les jambes afin de mieux le montrer. Ses fesses nues étaient ainsi exposées à la vue de tous les hommes présents, dont certains, encore une fois, étaient de lâge de Matthieu , accompagnant leur père. La porte s ouvrit sur de nouveaux arrivants, à peine surpris par la situation et déjà apaisés par un : désolé gentlemen, je règle une affaire qui ne peut plus attendre ! .
Les cinq secondes suivantes furent les pires de la journée. Cinq secondes seulement. Mais elles parurent être dix ans dans la vie du jeune Matthieu. Dans une salle remplie d hommes et d adolescents, d enfants, tous silencieux et observant, il entendit très distinctement le bruit de la ferraille de la ceinture de son beau-père cliqueter pendant qu il la défaisait. Le premier coup s abattit impitoyablement, le surprenant par son intensité inouïe. Même les fessées récemment reçues n avaient rien à voir avec une telle douleur. Pire, la ceinture continua son œuvre, et bientôt, les coups donnés croisèrent les endroits déjà punis. La douleur était démultipliée, Matthieu pleura immédiatement sans retenue, public, témoins ou pas.
SLAP ! SLAP ! SLAP ! SLAP! SLAP! SLAP! SLAP! SLAP! SLAP! SLAP! SLAP!
Anéanti, Matthieu n esquissait plus aucun mouvement. Puis son beau-père prit la parole :
Tu vois, je te l avais promis : tu aurais droit à la ceinture aujourdhui ! Et tu sais quoi ? Si tu veux pas recevoir le double avec cette ceinture dès ce soir, tu viendras, dans lavion, me demander une bonne fessée pour ton attitude égoïste et inqualifiable !
Sur ce, le beau-père de Matthieu asséna une grande claque sur les fesses nues du jeune garçon puis, le saisissant par les épaules, le retourna et son regard descendit visiblement sur le _s_e_x_e. D ailleurs, tous dans la pièce faisaient de même. Quoiqu en disent certains, le jeune homme ne trouvait rien d excitant à cette situation. Humilié, il fut autorisé à remonter son slip et son short puis à sortir de ce lieu qui avait vu une de ses nombreuses défaites programmées.
Ils se remirent dans la file d attente d enregistrement des bagages et sa mère lâcha : Tu vois, mon chéri, je te l avais bien dit que même toi tu ne pourrais supporter son attitude !
Dès leur retour, Matthieu fut informé qu ils déménageaient. Ils iraient désormais vivre, son beau-père, sa mère et lui dans le beau pavillon que Jean-Charles venait dacheter dans la proche banlieue. Il y avait beaucoup de terrain, aussi Matthieu était-il censé en être extrêmement heureux. Devant le regard de sa mère, alors même que son beau-père attendait en lui tendant ses bras, Matthieu se sentit obligé de jouer la comédie de l enfant surpris et heureux et se jeta dans les bras de cet homme qui ne lui inspirait que répulsion. Il sentit les mains plus que jamais étrangères s attarder longuement sur ses fesses, alors même que le regard de son beau-père lui signifiait sa défaite.
La petite famille s installa donc dans cette maison que Matthieu détestait déjà, comme il détestait cet homme qui lui voulait du mal ; comme il détestait sa mère de son amour manipulé avec tant de facilité. Mais ses silences reflétaient surtout son impuissance. Une impuissance dont il était parfaitement, complètement conscient.
Rapidement, sa mère se fit embaucher dans une entreprise à linternational grâce à son mari. Matthieu vit avec inquiétude les perspectives de séjours à l étranger se préciser, mais son beau-père, souriant, le rassurait à table, en mentionnant que sa mère ne serait pas absente plus de 15 jours – 3 semaines d affilée et que ça passerait vite..... Sa tendre maman, constatant tant de sollicitude chez son mari, n eut plus de scrupules et sauta rapidement le pas pour un voyage de déjà 10 jours.
Elle n était pas partie depuis 20 minutes, que Matthieu entendit son prénom hurlé depuis le salon un étage plus bas.
Déjà, la boule à lestomac avait reprise sa place désormais familière.
Approche ! lui ordonna Jean-Charles.
Matthieu approcha doucement, persuadé que ce qui allait suivre n allait vraiment pas lui plaire.
Mon garçon reprit son beau-père, tu es arrivé à un âge où il te faut prendre conscience de tes responsabilités. Je suis un adulte, et je ne me laisserai pas faire ! Tu vas devoir rapidement apprendre à obéir au doigt et à l œil et comprendre qui est le patron ici ! Est-ce que c est bien compris ?
Oui, Jean-Charles murmura le jeune garçon, qui ne comprenait pas où son beau-père voulait en venir.
J en ai discuté avec ta mère, ton indépendance, ton manque de discipline créent des désordres dans cette famille que je ne tolérerai plus. Jai donc décidé de prendre certaines mesures de ré-éducation te concernant. Est-ce que c est clair ?
Oui.
Bien tant mieux, mais tu devrais me remercier de prendre ainsi ton intérêt en considération, de moccuper de toi, de ton avenir, et de lhomme que tu deviendras. Jattends.....
Merci, Jean-Charles croassa un Matthieu pas du tout convaincu.
Ca manque de conviction, mais bientôt, je peux t assurer que tu en auras plus qu il nen faut. Tout d abord, j ai décidé d introduire certaines règles dans cette maison. Vas chercher une feuille de papier, un stylo, assieds toi à la table, et prends-les en note.....
Matthieu obtempéra et quelques instants plus tard, il était assis à la grande table du séjour, et commençait à écrire :
Règle n°1 : Afin de pouvoir être correctement surveillé, je dois toujours être visible de mon beau-père : je dois donc être dans la même pièce que lui à chaque instant de la journée, à l exception des périodes scolaires, et des nuits, lorsque je serai autorisé à dormir dans mon lit. Une autorisation préalable doit être demandée et accordée pour toute autre exception. Il m est interdit, sans autorisation, de fermer la porte d une pièce dans laquelle je me trouverai seul. Ceci concerne aussi bien ma chambre, que la salle de bains, ou les toilettes.
Dès la première phrase, Matthieu releva la tête, incrédule. Un grand sourire de Jean-Charles lui répondit. Il ne s imaginait pas avoir à supporter la présence, la surveillance de cet homme les trois-quarts de la journée. Mais quand après bien des difficultés il eut enfin réussi à écrire la première partie de cette nouvelle règle, il lui fut impossible de retenir un cri dindignation concernant la deuxième, celle de linterdiction formelle de fermer une porte afin de s isoler.
Tu viens de gagner 5 coups avec la ceinture commenta son beau-père. Remercie-moi.
Matthieu, sous le choc, ne put retenir deux larmes de couler sur ses joues, mais fut incapable de prononcer le moindre mot. Quand il y parvint enfin, remerciant Jean-Charles, la mise avait doublée et il était promis à 10 coups. Il reprit alors l écriture de ses nouvelles règles de vie, ne pouvant s empêcher de pleurer ouvertement désormais, tant du fait de ce qu il écrivait, que de la correction en attente.
Règle n°2 : Mon emploi du temps est strictement coordonné et je dois rendre compte à mon beau-père de la totalité de mes occupations. Je dois me coucher tous les jours à 21 heures précises. Y compris les week end et pendant les vacances. De mon temps libre, mon beau-père a la complète disposition, étant entendu que je me dois de passer l essentiel de ce temps à rendre les services quil me rends en veillant sur mon éducation. Je me ferai donc un devoir d accomplir des tâches ménagères nombreuses, de servir mon beau-père et de rester à sa disposition selon son bon plaisir.
Dans l esprit de Matthieu, l enfer terrestre commençait à prendre forme. Il avait hâte que sa mère rentre, mais était abasourdi par la perspective qu elle ait donné son accord à tout çà.
Règle n°3 : Un garçon comme moi doit veiller à être correctement et régulièrement discipliné. Je me présenterai donc tous les jours à mon beau-père, à 20h15 précises, afin de lui demander le privilège de bien vouloir me donner ma fessée quotidienne. Toutefois, si mon comportement n a pas donné satisfaction, je recevrai à la place la ceinture pour payer mes fautes.
Une fessée par jour ! Matthieu n en revenait pas ! Et à condition quil nait pas déplût au monstre ! Sinon.....Il se remit à pleurer de plus belle, sous le regard hilare de son beau-père.
Règle n°4 : Je dois mériter les privilèges de mon confort. La télévision, l ordinateur, la musique, les jeux ne peuvent être pratiqués qu après autorisation préalable de mon beau-père. De même, je ne peux bénéficier du privilège d un lit. Je dormirai donc aux pieds du lit de mon beau-père, sur le sol. Afin de faciliter ma nécessaire discipline et les conséquences de mes manquements, je ne suis pas autorisé à porter quoique ce soit sur la partie inférieure de mon corps, sans en avoir reçu l autorisation préalable. Ma tenue normale à la maison, est donc cul nu.
Matthieu ne put sempêcher de nouveau de pousser un petit cri de surprise totale. Bien que sa protestation s arrêta là, le total de la correction à venir fut immédiatement porté à 15.
Règle n°5 : Je ne manquerai pas de manifester à tout moment de la journée, ma gratitude envers mon beau-père, en le remerciant, et en lui montrant mon tendre attachement. Souriant quand je le servirai, je le remercierai du moindre de ses bienfaits, et lembrasserai joyeusement dès quil me sera possible.
Matthieu se demanda pour le coup si cette règle n était pas la pire de toutes. Mais en repensant rapidement aux autres, il se dit que non, puis fut incapable de continuer de penser.
Jean-Charles lui ordonna alors de se lever et lui précisa que d autres petites règles seraient ajoutées au fur et à mesure. Pour l instant, seuls comptaient la correction méritée, ainsi que la mise en conformité immédiate de la vie de Matthieu avec ces règles.
Enlèves tes chaussures.
Matthieu s assit à même le sol et se déchaussa rapidement. Pendant que tu y es, ôtes également tes chaussettes. Tu n en as plus besoin dans la maison. Il obéit lentement, vaincu mais pas convaincu.
Relèves-toi et ouvre ton pantalon. Encore une fois, le jeune garçon procéda avec lenteur mais obéit au commandement et après avoir défait sa ceinture, il déboutonna son jean, laissant ainsi apparaître son slip sur lequel les yeux de son beau-père se posèrent immédiatement, lequel souriait de plus belle.
Sur un autre ordre de son beau-père, Matthieu fit lentement glisser son jean sur ses chevilles, puis, toujours debout il l enleva complètement. Il apporta le tout aux pieds de Jean-Charles confortablement assis dans un fauteuil.
Viens- là !
Suivant les ordres de son beau-père, Matthieu se positionna debout devant lui, puis il se retourna fin de présenter son dos. Il releva son tee shirt sous ses aisselles et l y maintint sans bouger, conformément aux ordres reçus.
Puis il sentit les mains de Jean-Charles se saisir des élastiques de son slip par le bas, tirer, et descendre la dernière et ultime protection des ses fesses. Son beau-père descendit son slip sur ses chevilles, et autoritairement, l enleva à son tour, le jetant sur la pile de vêtements déjà formée. Il écarta brutalement les jambes de Matthieu, qui se retrouva ainsi bien exposé, offrant une vue parfaite de ses fesses à celui qui allait les corriger.
Puis le jeune homme entendit son beau-père se lever, un bruit de boucle de ceinture que lon défait et le cuir qui glisse sur un tissus. Il en déglutit d appréhension, puis il vit Jean-Charles faire le tour et se poster devant lui. Toujours souriant, son regard se fixa dans les yeux du garçon et descendit lentement sur son corps offert à sa vue, prit le temps de parcourir la poitrine et le ventre de son beau-fils avant que de se fixer de nouveau, longuement sur son _s_e_x_e et ses testicules. Un gloussement satisfait salua la vision, moquerie et victoire à la fois. Matthieu, lui, ne pouvait s empêcher de regarder fasciné et horrifié à la fois la lourde ceinture que tenait son beau-père.
Si tu bouges ne serait-ce que d un doigt de pied, je recommencerai depuis le début .
Il refit alors le tour du garçon, se posta à la gauche des fesses présentées et asséna un terrible coup de sa ceinture en plein milieu de sa cible. Matthieu ne put se retenir de pousser un cri déchirant de surprise et de douleur.
Tu peux crier et pleurer, c est encore mieux, commenta Jean-Charles.
Un deuxième coup survint, et Matthieu chancela avançant son pied. Erreur fatale.
Je t avais prévenu. 15 coups, si tu bouges on repart à zéro. C est reparti .
Un troisième coup fut donné sur le haut de ses fesses. La force que donnait son beau-père n était pas retenue. Le quatrième atteignit le haut des cuisses, s attardant sur la partie la plus sensible de ses fesses, à la limite de la jambe. Puis les coups tombèrent soudainement drus, s abattant en plein milieu. Matthieu ne put de nouveau s empêcher d avancer, erreur que son beau-père attendait. Il continua inlassablement, souriant pleinement jusqu aux oreilles de son œuvre. Le garçon criait, pleurait et bavait mais se concentrait du mieux qu il le pouvait pour ne pas bouger.
Mais il flancha. Il se jeta au sol, suppliant son beau-père, rendu incompréhensible par ses pleurs et ses hoquets nerveux. Jean-Charles se précipita droit sur lui et asséna une très longue série de coups de la ceinture sur les cuisses de Matthieu. Puis le retournant très brutalement, il zébra ses reins, descendit de nouveau sur ses fesses et continua de longs instants à punir les fesses qui lui étaient offertes. Enfin, relevant la jambe gauche de son beau-fils, il frappa l intérieur de ses cuisses, remontant, et ne s arrêta que lorsque deux coups terribles atteignirent les testicules du jeune garçon.
Si Matthieu avait compté les coups reçus, il aurait relevé qu il avait reçu plus de 20 coups supplémentaires, même en comptant la règle du recommencement.
Alors que son beau-père, essoufflé, se prélassait dans son fauteuil devant la télévision, cest un Matthieu cul nu, à genoux, les mains sur la tête au piquet dans un coin de la pièce qui passa ainsi les deux heures suivantes. Bien sûr, son beau-père avait exigé quil cambre fortement ses reins afin doffrir une parfaite vision de ses jolies fesses bien punies.