Camping Sauvage Strictement Interdit French 1


by Frenchspanker <Paret530@hotmail.com>

Jamais je navais été aussi heureux ! Nous pédalions comme des fous, la route fuyait sous nos roues, et le paysage, ce beau paysage des Pays de Loire en juillet défilait sous nos yeux. Serge allait devant. Je voyais son T-shirt flotter sur son dos brun, ses jambes musclées et légèrement poilues qui montaient et descendaient à toute allure. Ah ! quil était beau ! Serge, cétait mon idole secrète depuis deux ans au moins, depuis quil était arrivé au lycée en Première. Javais immédiatement été saisi par sa beauté, son teint mat, ses yeux verts qui firent aussitôt chavirer tous les cœurs ! Et dès le premier cours de gym, tout le monde sétait aperçu de son excellente forme physique et de ses dons en matière de sport. Il était dailleurs excellent élève, fort bien éduqué, bref, tout ce quil fallait pour me rendre fou. Malheureusement, il tomba au bout de trois semaine dans les bras de la fille la plus libérée de la classe. Cela me rendit malade, mais que faire ? Parallèlement, nous nous liâmes damitié, une amitié qui, évidemment, de mon côté était plutôt de lamour, mais il ne le savait pas, ou feignait de ne pas sen apercevoir. Il faut avouer que nous étions même devenus très intimes, à la faveur des longues après-midi de travail que nous passions ensemble, chez moi ou chez lui. Mes parents lappréciaient.

La belle histoire damour se gâta. La fille en question nen était ni à son premier, ni à son dernier. Javoue que je ne comprenait absolument pas comment on pouvait laisser tomber un garçon qui, pour moi, était beau comme un dieu. Mais dun autre côté, cette séparation nous rapprocha. Dans les moments les plus difficiles, il eut besoin de moi. Je le vis pleurer, et me risquai à passer mon bras autour de ses épaules. Ce jour-là, je sentis que notre intimité se faisait plus grande. Mais je nosai aller plus loin. Lui-même se remit peu à peu, et le bac approchant, nous essayâmes de tout noyer dans le travail.

Arriva la fameuse semaine de révisions, juste avant les épreuves. Nos meilleurs amis dans la classe décidèrent daller dans la maison de campagne de lun deux pour réviser. En principe, nous devions aller avec eux. Nos parents étaient daccord. Mais, la veille du départ, Serge me dit : Écoute, toi, je sais pas, mais moi, jestime avoir déjà tout révisé, je nai absolument pas envie daller menfermer une semaine dans cette baraque avec eux, je vais me barrer. Je vais faire un grand tour en vélo au bord de la Loire pendant ce temps-là. Ce grand tour au bord de la Loire, nous en avions déjà parlé, mais plutôt pour après le bac. Toi si tu veux va avec eux, et comme çà tu me sers de couverture, tu diras à mes parents que je suis avec toi .

– Ah, parce que tu ne vas pas le dire à tes parents ?

– Non, cest hors de question, je suis censé réviser, je peux pas leur dire que je men vais faire du tourisme à une semaine du bac !

– Effectivement ! je me vois pas dire çà non plus aux miens !

– Pourquoi, tu viendrais avec moi ?

Ah ! cela je lattendais, jen rêvais déjà depuis le début de la conversation sans oser le demander.

– Pourquoi pas.... mais cest osé quand même.... Je dis pas pour le bac, parce que je crois que je suis prêt moi aussi, mais les parents.... sils sen rendent compte....

– En fait jen ai déjà parlé à Philippe, il ma dit quil ny avait aucun problème, quil me couvrait, il peut te couvrir aussi.

– Oui, Philippe, on peut compter sur lui (cétait un de nos amis qui allait réviser avec le petit groupe).

Et cest ainsi que quelques jours avant de passer le bac nous nous retrouvâmes à des kilomètres de chez nous, sans que nos parents soient au courant, en train de pédaler comme des fous sur les bords de notre chère Loire. Moi, jétais mort de bonheur, enfin javais mon Serge pour moi tout seul, et je couchais même.... à côté de lui tous les soirs dans la petite tente que nous avions emmenée avec nous. Ah ! quelle sensation, lentendre respirer si près de moi, de sentir que son sac de couchage touchait le mien, après lavoir vu sy glisser, vêtu dun simple slip. Je demeurais les yeux ouverts pendant des heures, obsédé par la vision de son beau corps brun, de ce slip blanc qui cachait une intimité que malgré la situation il cachait habilement, par pudeur naturelle ou parce quil avait quelques doutes sur moi, je ne sais pas. Je mimaginais en train de poser ma main sur ce paquet apparemment très avantageux, de le toucher, de le masser, de le faire bander, dy poser les lèvres peut-être.... Je ne pouvais mempêcher de penser quil devait en avoir bien besoin, maintenant quil était seul. Quant à moi, javais des érections tous les soirs pendant que je me faisais mon petit cinéma....

Nous avions lhabitude de planter la tente un peu nimporte où, quand le soir venait. À cette époque de lannée, il y avait encore très peu de tourisme et les flics ne surveillaient pas trop. De toute façon nous nous arrangions pour trouver des coins discrets. Le quatrième soir, il faisait déjà nuit lorsque nous décidâmes de nous arrêter. Nous étions dans une région vallonnée, bien connue pour son charme, ses routes sinueuses, ses châteaux encore habités par les ultimes descendants de laristocratie française.... Nous fîmes comme dhabitude un petit dîner avec des conserves, du pain et du saucisson. La conversation tomba sur le _s_e_x_e, le désir, la masturbation.... ce soir-là , jeus limpression que Serge voulait quelque chose, mais rien ne se passa, parce que javais peur, comme toujours, de dire le mot quil ne fallait pas, et qui était peut-être le mot quil attendait.... Mais comme par ailleurs il parlait des filles, comment savoir ? Aujourdhui, je sais que dans ces situations il vaut mieux passer à lacte, plutôt que chercher à dire les choses. Un refus, voire une rupture, sont, à tout prendre, moins douloureux que les tourments du non-dit. Mais jétais encore jeune....

Quand je me réveillai le lendemain matin, la lumière envahissait déjà notre petite bulle. Serge dormait encore. Il était hors du sac de couchage, sans doute à cause de la chaleur. Je jetai un coup dœil sur son beau corps brun, son slip tendu par lérection matinale, sa main posée sur sa cuisse, ses jambes luisantes, la perfection de ses pieds, ombrés par quelques poils. Sa respiration était profonde et régulière ; il semblait dormir encore profondément. La tentation était grande de poser ma main sur son torse, ou sur sa cuisse. Je brûlais denvie. Déjà je tendais la main vers lui, lorsque un cri retentit à lextérieur :

– Il y a quelquun là-dedans ?

Je me redressai, haletant. Serge fit un mouvement, mais ne se réveilla pas. La voix retentit à nouveau.

– Il y a quelquun, oui ou non ?

Cette fois Serge se réveilla en sursaut.

– Quest-ce quil y a ? quest-ce qui se passe ?

– Je ne sais pas, il y a quelquun qui appelle....

Serge ouvrit la tente, et comme nous nous apprêtions à sortir, nous nous retrouvâmes nez à nez avec des bottes de motard. Nos regards remontèrent le long des jambes dun immense type en uniforme de la gendarmerie. Nous sortîmes précipitamment. Le flic nous observa un moment sans rien dire, dun air narquois, un léger sourire au lèvre. Vêtus chacun dun simple slip, devant ce grand type en uniforme, nous nous sentions complètement démunis. Une idée affreuse me passa par la tête : les copains avaient lâché le morceau, et nos parents avaient lancé un avis de recherche. Mais non, ce nétait pas çà. Le flic commença à parler :

– Çà vous arrive souvent de camper comme çà dans la nature sans autorisation préalable ?

– On fait pas de mal, monsieur lagent, répondit Serge avec une certaine assurance, on nettoie tout après, on laisse jamais rien quand on sen va....

– Oui mais quand cest interdit, cest interdit, et çà ne se discute pas mon petit bonhomme, coupa le flic sur un ton sec qui nadmettait aucune réplique. Et le plus grave, cest que vous êtes sur une propriété privée....

– Excusez-nous, monsieur lagent, on ne savait pas.

Le flic sesclaffa :

– Ah ! vous ne saviez pas ? Eh bien , pourtant, cest pas les panneaux qui manquent !

Et il nous montra, juste au-dessus de notre tente, cloué à un arbre, un panneau assez grand, rouge et blanc, sur lequel on pouvait lire : Propriété privée. Camping rigoureusement interdit sous peine de poursuites . Suivait un numéro de décret de mairie. Merde ! on aurait pu le voir ! Mais dans lobscurité, et tout à nos occupations, nous navions rien vu. Le flic nous indiqua un autre panneau, juste à lentrée du chemin que nous avions emprunté pour venir nous installer dans ce petit coin. Cest vrai quon était avisé !

Le flic reprit la parole :

– Vous savez où vous êtes au moins ?

Devant notre silence interrogateur, il reprit :

– Vous êtes sur la propriété du marquis de M***. Le château est là-derrière. Le marquis a fait interdire le camping non seulement sur ses terres mais dans toute la commune. Il ne supporte pas, vous savez ? Bon, montrez-moi vos papiers.

Nous nous empressâmes de lui fournir nos cartes didentité.

– Tiens, mais vous navez même pas dix-huit ans.... Vos parents savent que vous êtes là, je suppose ?

Serge bredouilla :

– Heu.... oui bien sûr....

– Oui bien sûr.... Je nen suis pas si sûr, mais enfin on verra bien quand on parlera avec eux, car il va falloir les appeler, vous êtes mineurs.

– Heu.... cest peut-être pas nécessaire, monsieur lagent, si il y a une amende à payer, on vous la paye, il ny a pas de problème....

–Regardez-moi ce petit stratège ! je vois quon est près à acheter lautorité de lÉtat, hein ?....

– Non, non, je voulais pas dire çà, mais.....

– Ouais, ouais, ce que je vois cest deux petits jeunes gens qui nont aucune envie que leurs parents sachent quils se baladent dans la campagne.... Au fait, vous êtes au lycée, non ? Quel lycée ?

Merde ! les questions devenaient sérieusement embarrassantes. Nous lui dîmes le nom du lycée, la ville etc. Il fallut même lui dire en quelle classe nos étions.

– Ah ! mais alors vous passez le bac, non ? Mais alors quest-ce que vous foutez ici ? Le bac cest la semaine prochaine, je le sais, mon fils le passe.... Oh, mais il faut que je moccupe sérieusement de votre cas, là, tout çà cest pas clair, vous allez me suivre au commissariat et on va éclaircir tout çà....

Il nous observait avec son air narquois. Il portait une fine moustache qui rendait son sourire encore plus ironique. Bien que nos portions des slips, javais limpression quil nous déshabillait entièrement du regard. Après nous avoir jaugés en silence pendant un moment, il ajouta avec un ton étrange dans la voix :

– Mais si vous préférez....

Là, un petit rayon despoir se mit à luire....

– .... si vous préférez, vous pouvez vous arranger directement avec monsieur le Marquis.... je vous dis pas que ce sera forcément une partie de plaisir, mais si vous voulez pas quon appelle vos parents....

Évidemment, nous ne nous le fîmes pas répéter deux fois, pensant quune petite visite à monsieur le Marquis , même sil était de mauvais poil, était infiniment préférable à des démêlés avec nos parents. Le flic nous ordonna de nous habiller et de le suivre en bicyclette. Il fit aller sa moto à vitesse réduite, et en dix minutes, nous arrivâmes au château.

Cétait une bâtisse très élégante du XVIIIème siècle. Une des ailes, munie dune grosse tour ronde, paraissait toutefois plus ancienne, mais la façade était très harmonieuse, superbe. En fait, nous neûmes pas le temps dadmirer longtemps larchitecture, car aussitôt une silhouette se découpa sur le perron. Cétait sans nul doute le Marquis. En approchant nous vîmes un homme encore jeune, autour de trente-cinq ans, habillé de manière classique mais décontractée : un pantalon gris et une chemise blanche, à moitié ouverte sur un torse imberbe. Il était blond, avec un visage fin, des yeux bleu acier, qui vous transperçaient au premier regard. Maintenant, avec la distance, je pense que le flic lavait averti, car je me souviens lavoir vu utiliser son téléphone, sur la moto, pendant que nous nous rendions au château. Mais sur le moment nous ne prêtions pas attention à toutes ces coïncidences.

– Bonjour, Dubois, quel bon vent vous amène ? dit le Marquis en serrant la main dun air entendu au gendarme. Sensuivit un conciliabule inaudible entre les deux, entrecoupés de regards inquisiteurs sur nos personnes qui me donnèrent à nouveau la sensation dêtre déshabillé. Puis le Marquis sadressa à nous :

– Alors, jeunes gens, on campe sur mes terres ?

Intimidés, nous ne répondîmes que par des sons inintelligibles.

– Vous savez que cest formellement interdit ?

– Monsieur lagent nous la dit, mais nous ne lavions pas vu, nous sommes arrivés de nuit, expliqua Serge péniblement.

– Et il paraît quen plus vous êtes mineurs, et quen plus vous ne voulez pas quon avertisse papa-maman, cest çà....

– Oui, sil faut....

– Oui, monsieur le Marquis, coupa sèchement laristocrate.

– Oui monsieur le Marquis, reprit Serge. Sil faut payer une amende, il ny a aucun problème.

Là, je me disais quil saventurait un peu, car nous navions pas tant dargent que çà sur nous, mais enfin.... de toute façon ce ne fut pas notre problème, vu les intentions du Marquis.

– Payer une amende.... non, ce nest pas çà que je vais vous proposer. Écoutez-moi attentivement. Si vous ne voulez pas quon appelle vos parents, il faut que je me charge moi-même de votre éducation.

Ces derniers mots sonnèrent étrangement à nos oreilles. Je me rappelle que jeus une sensation bizarre, limpression que quelque chose danormal commençait, sans pouvoir encore dire pourquoi. Mais je me rappelle que le mot éducation me parut désagréable.

– Oui, reprit le Marquis, ou bien je laisse le capitaine Dubois appeler vos parents, ou bien vous recevez ici-même la petite correction que vous méritez, et personne nen saura jamais rien, à part vous et moi, bien entendu, ajouta-t-il avec un sourire ironique.

Nous échangeâmes un regard, puis Serge demanda :

– Mais.... quel genre de correction ?

Le Marquis sourit à nouveau, et répondit dun voix douce mais ferme :

– Vous verrez bien. La seule chose que je peux vous dire cest que je suis un adepte des méthodes traditionnelles, ce qui veut dire quil faut vous attendre à repartir dici avec les fesses un peu rouges.

Je crois que ce furent nos visages qui sempourprèrent en entendant ces paroles. Je me rappelle dune sensation de chaleur intense dans tout le corps, accompagnée par un léger tremblement de mes jambes. Tout était en train de basculer de manière inattendue. Je regardai Serge à la dérobée. Il paraissait également décontenancé. Son regard se perdait dans le vide. La voix du marquis nous rappela à la réalité.

– Vous avez le temps de vous décider, si vous voulez réfléchir, je vous laisse....

En effet il séloigna et se mit à bavarder avec le flic. Nous ne savions que dire. Nous essayâmes de rigoler, mais cétait un rire jaune. Nous narrivions même plus à nous regarder en face, comme si nous pressentions que dune part nous allions accepter, et que dautre part cela allait briser notre pudeur habituelle. Tout, en fait, était déjà tracé. Nous nous dîmes en rigolant quil fallait y passer, que même si çà allait être un moment désagréable, cétait mieux que davoir à affronter nos parents, que çà devait être un pervers, mais çà nous étonnait de voir quil avait dit çà devant le flic. Seraient-ils complices ? Cest ce que nous allions découvrir un peu plus tard.

Le Marquis revint auprès de nous et nous demanda si nous avions pris une décision. À travers nos bredouillements, il comprit que nous nous soumettions. Il nous prit chacun par la nuque et nous fit monter lescalier du château. Le flic nous suivit, ce qui ne laissa pas de confirmer nos doutes sur leur complicité. En gardant fermement sa main sur notre nuque, le Marquis nous poussa dans un grand salon ensoleillé dont les fenêtres donnaient sur la cour où nous étions quelques instants auparavant. Les meubles étaient tous de styles, la cheminée était surmontée dun immense miroir, le sol était recouverts de tapis anciens, une odeur des siècles passés flottait partout. À peine entrés, le Marquis ordonna que je me place devant la cheminée, mains sur la tête. Il me fit savoir quil soccuperait de moi après, quil voulait dabord corriger le leader , comme il dit, avec assez de perspicacité. Il sassit sur un canapé Louis XVI et ordonna à Serge de sapprocher de lui. Celui-ci se retrouva debout entre ses jambes.

Jétais comme hypnotisé par ce que je voyais. Le jeune marquis porta la main sur Serge comme sil avait sur lui tous les droits. Serge devait se laisser faire, il le savait. Les mains du marquis exploraient son jeune corps, dabord à travers ses vêtements. Puis il déboutonna sa chemise et palpa directement le torse de mon ami :

– Mmm ! jolis pectoraux ma foi, et ces petits abdominaux bien dessinés, mais cest très bien tout çà.

La chemise tomba sur le sol, et les mains du marquis folâtrèrent longtemps sur le torse bronzé de Serge. Celui-ci fermait les yeux, sa respiration saccélérait.

– Dites-donc, Dubois, vous nous avez amené une petite merveille, là, hein ?, _s_e_x_clama le marquis tout en glissant les mains dans le short de Serge. Et là-dessous quest-ce quon va trouver ? Mmmm.... mais çà a lair bien rempli tout çà, voyons de plus près.... et il déboutonna le short qui bientôt tomba sur les chevilles de mon copain.

Il se retrouva en slip et chaussettes. Son beau corps bronzé parut tout entier, contrastant avec le coton blanc. Je crois quà ce moment-là il ne bandait pas, mais son paquet était bien rempli, comme je lavais déjà maintes fois remarqué. Ses jambes poilues et musclées enchantèrent le marquis qui les caressa longuement. Ses mains népargnaient rien ; il malaxa le slip de mon ami, devant et derrière, puis fit rentrer le tissu entre ses fesses, de façon à les exhiber et à pouvoir les toucher directement. Ses doigts jouèrent un bon moment sur le duvet qui les recouvrait, plus fin que les poils des cuisses. Finalement il arrêta son examen et lui tint ce discours : – Bien, tout cela cest bien agréable, mais je crois que vous avez commis une infraction, nest-ce pas ? et cela doit être puni. Puisque vous préférez que tout cela reste entre nous, et quen plus çà ne vous coûte rien, nous allons maintenant vous donner une petite correction. Enfin , vous , je veux dire, maintenant cest toi qui va y passer. Quant à ton petit copain, ajouta-t-il en me désignant, jai une petite fête pour lui ce soir.... Bien, pour le moment, je vais moccuper de toi mon bijou, dit-il en attirant Serge contre lui. Mets-toi sur mes genoux, voilà comme çà, bien, oui, les mains sur le sol, parfait....

Serge était maintenant couché sur les genoux du marquis, les mains et la pointe des chaussettes touchant le tapis du salon, sans doute un tapis persan de grande valeur. A vrai dire, je navais guère le loisir dexaminer les meubles. Toujours en état dhypnose, les mains sur la tête, je sentais seulement que je commençais à bander ferme en voyant mon idole manipulée comme un objet par ce type, manifestement très pervers. Et je navais pas fini dhalluciner. Le marquis baissa le slip de Serge à mi-cuisse, posa la main sur ses fesses et lui annonça quil allait recevoir une fessée : – Cest ce que méritent tous les garnements de ton âge qui rentrent sans vergogne dans les propriétés privées. Il caressa encore un long moment les fesses et les cuisses de mon copain, tout en lui posant des questions : – As-tu déjà reçu une fessée, comme çà, sur les fesses nues ? – N.... non. –Est-ce que tu penses que tu la mérites ? – Ou.... oui. – Oui monsieur le Marquis ! – Oui monsieur le Marquis. – Répète : je mérite la fessée que vous allez me donner, monsieur le Marquis. – Je mérite la fessée que vous aller me donner, monsieur le Marquis. – Cest bien, tu apprends vite, jaime les jeunes gens dociles, dit le Marquis en baissant encore un peu plus le slip de Serge, qui sarrêta sur ses mollets.

Devant ce tableau, je peux vous dire que çà y était : je bandais à en avoir mal. Çà devait se voir à travers mon short de cycliste, mais comme on mavait ordonné de garder les mains sur la tête, je ne pouvais pas dissimuler mon érection. Je ne sais pas si le marquis sen était aperçu, car il ne semblait plus sintéresser à moi, mais le gendarme ne pouvait pas ne pas lavoir vue, puisquil était assis en face de moi. Lui-même était très excité par la scène, sa queue faisait une bosse énorme sous son pantalon duniforme, quil ne se privait pas de malaxer à travers le tissu avec sa grosse main. Quant au domestique, il rentra dans le salon, et sassit également, jambes écartées, la main sur la braguette, pour contempler la scène. Imaginez donc, les cinq personnages que nous faisions, dans un salon entièrement dix-huitième, le flic et le domestique assis sur des fauteuils Louis XV, le marquis sur le sien, Serge sur ses genoux, slip baissé, prêt à recevoir une fessée comme un petit garçon, et moi debout, mains sur la tête, les yeux exorbités, les jambes tremblantes démotion, lesprit confus, et bandant comme jamais. En outre, dans ma tête résonnaient les paroles du marquis : Jai une petite fête pour lui ce soir . Quest-ce que cela voulait dire ? Mais je neus pas le temps de penser à lavenir, car le spectacle commença.

Le marquis leva la main. La fessée fut longue. Très longue. Pauvre Serge ! Dans le salon, on nentendait rien que le son des claques qui sabattaient sèchement sur les fesses de plus en plus rouges de mon ami, progressivement accompagnées par un gémissement qui se transforma ensuite en râle, puis en cris, enfin en sanglots involontaires et désespérés. Car le marquis avait une technique apparemment très au point. Très méthodiquement, il fessa dabord la partie supérieure des fesses, pour atteindre peu à peu la naissance des cuisses. Aucune surface de chair ne fut épargnée, la totalité du derrière de mon ami devint cramoisi. A certains moments, il faisait tomber les coups plusieurs fois exactement au même endroit, ce qui devait être très douloureux, car quand il faisait cela, le corps de Serge se tordait, et ses cris sintensifiaient. Quand je vis Serge verser ses premières larmes, je crus que jallais éjaculer. Le flic et le domestique avaient sorti leurs queues et se masturbaient ouvertement. Jen aurais volontiers fait autant, bien que mon désir était fort contrarié par des sentiments de compassion pour Serge et dappréhension pour moi-même. Car je noubliais pas : Jai une petite fête pour lui ce soir.... . Mais le côté fascinant de la scène lemportait, et je brûlais du désir dempoigner ma queue comme les deux autres spectateurs.

Tout cela nétait pourtant quun début. Le marquis ordonna à Serge de se relever. Le pauvre se mit à grand peine sur ses pieds. Quel spectacle ! Les yeux rouges, remplis de larmes, haletant, les jambes tremblantes, le slip tombé sur ses chevilles, sa queue lourde à demi en érection, il titubait. Le marquis se leva. –Bien, passons au second acte. Serge bredouilla quelque chose, sans doute voulait-il protester, mais le Marquis linterrompit : – Tu ne crois tout de même pas que tu vas ten tirer comme çà. Allez, mets-toi au milieu du salon ! Et dabord, enlève complètement ce slip qui ne fait que nous embêter.... voilà. Allez, viens. Voilà, maintenant tu te baisses en avant, voilà. Comme çà, plus bas la tête, voilà, écarte un peu plus les jambes, bien, prends tes chevilles avec tes mains, oui, cest çà, parfait. Voilà, maintenant, tu es dans la position idéale. Cest comme çà quon nous punissait dans le collège où jai étudié, tu sais, ils utilisaient les méthodes anglaises, et çà marchait très bien, regarde le résultat ! Finalement tu vas avoir droit à un échantillon déducation aristocratique, tu as de la chance !

Je ne sais pas si mon ami, lui, pensait quil avait de la chance. Moi qui le voyait, je navais pas cette impression. Placé comme jétais, je voyais ses fesses ouvertes, son anus au fond dune petite forêt de poils noirs, ses magnifiques testicules qui pendaient comme deux beaux abricots entre ses cuisses écartées, ses genoux un peu pliés, sa tête renversée entre ses jambes. Je rencontrai son regard. Il savait que javais une vue plongeante sur son intimité. Il savait aussi que cétait la première fois. Il savait peut-être quau fond je le désirais. Enfin, je ne savais pas ce quil savait, mais le fait est que ce regard fut intolérable. Il chercha désormais à éviter le mien, bien que la position ne lui permît guère de regarder ailleurs. Il fixa son regard sur mes baskets. Pendant ce temps le marquis avait décroché du mur une cravache noire, pas très longue, terminée par une petite pièce de cuir un peu plus large que le reste. Il se plaça à côté de Serge, posa lextrémité de la cravache sur la tête de celui-ci, puis remonta doucement le long de son dos. La cravache arrêta son chemin juste au-dessus de la raie ouverte de Serge. Le marquis tapota le bas du dos du garçon avec linstrument, et lui annonça les règles.

– Dans mon collège, les règles étaient simples : on recevait six coups, il fallait les compter à haute et intelligible voix. Si tu fais un pas en avant, cest un coup supplémentaire. Compris ?

– Oui....

– Oui, monsieur le Marquis, rectifia laristocrate en donnant un coup de cravache inattendu.

– Oui, monsieur le Marquis, corrigea le garçon dans un gémissement.

– Je préfère çà.

Les six coups de cravaches furent appliqués de manière aussi méthodique que la fessée. A la fin, on voyait parfaitement six marques parfaitement parallèles, la première sur le haut des fesses, la dernière à la naissance des cuisses. Dans le silence absolu du salon, les six coups rendirent un son de couperet, immédiatement suivi par un gémissement du garçon, quil étouffait en sempressant de compter intelligiblement, comme le lui avait bien recommandé le marquis. Il réussit à ne pas bouger de place. Mais le spectacle de ses grimaces me faisait mal au cœur. La douleur devait être affreuse. Après le sixième coup, le pauvre garçon haletait, ses jambes tremblaient. Quand le marquis le lui ordonna, il se releva lentement. Il chancelait. Le marquis le poussa dans un fauteuil et lui dit :

– Allez, maintenant je vais te finir au petit fouet. Bernard, sil vous plaît....

Le domestique remit dans la main tendue du marquis le petit fouet , qui nétait autre quun classique martinet : manche de bois et souples lanières de cuir. Serge eut un regard effaré. Je suppose quil estimait que çà suffisait comme çà. Mais il neut pas le temps de protester. Le marquis demanda au gendarme de laider. Apparemment celui-ci savait parfaitement ce quil fallait faire. Il saisit les jambes de Serge et les ramena au-dessus de sa tête en passant derrière le fauteuil. A nouveau, toute lintimité de Serge soffrit à notre vue. Plus encore que précédemment, car maintenant, couché sur le fauteuil, le jambes relevées et écartées, maintenues solidement par le gendarme, il était contraint de souvrir au maximum. On voyait parfaitement, entre ses cuisses, sa grosse queue posée sur son ventre, ses testicules bien ronds, la zone sombre du scrotum, la raie poilue, lanus rose, plus ouvert maintenant. Le marquis contempla le tableau un instant. Tout le monde dans le salon était maintenant très excité. Le domestique et le gendarme avaient déjà ôté leurs pantalons, leurs queues énormes sortaient de leurs slips. Le marquis avait une érection manifeste sous son pantalon. Quant à moi, ma queue emprisonnée dans le lycra avait déjà les spasmes prémonitoires de lorgasme.

Le marquis reprit la parole :

– Ne tinquiète pas, on va laisser tranquille ton petit cul pour linstant, on va soccuper dautre chose.

Il ordonna alors à Dubois denlever la chaussette gauche de Serge. Une fois son pied dénudé, le marquis le massa légèrement entre ses doigts, caressant la plante du pied, offerte au-dessus de la tête de Serge. Les trois hommes échangèrent un sourire de connivence. Le marquis fit un signe à Dubois :

– Tenez sa jambe, solidement !

Dubois serra le mollet de Serge entre ses deux mains, comme dans un étau. Le gendarme continua à maintenir lautre jambe en lair. Mon pauvre Serge était pratiquement suspendu à ces deux pervers. Son dos reposait tout de même sur la fauteuil. Alors le marquis appliqua violemment des coups de martinet sur la plante du pied qui venait dêtre dénudé. A chaque coup Serge hurlait de douleur. Tout son corps était soulevé par un soubresaut. Ses couilles bondissaient à chaque claquement du martinet. Le marquis lui dit quil avait de la chance, quil aurait pu faire la même chose avec la cravache mais quil tenait à ce quil sorte de chez lui sur ses pieds. Quand il eut fini avec le pied gauche, la même opération recommença avec le pied droit. On sentait chez Dubois une sorte de volupté dans le simple fait de retirer la chaussette du garçon. Il procédait lentement, comme si cétait un acte qui lui donnait un plaisir particulier. Le marquis fit pleuvoir une série de coups sur le pied droit. Serge sursautait à chaque coup comme sous leffet dune décharge électrique. Il lâcha un arrêtez gémissant qui ne fit que déclencher le rire des trois complices. Car maintenant je voyais bien que les trois étaient en harmonie parfaite, et devaient sêtre souvent livrés à ce genre de scène, car ils se comprenaient à demi mot.

–Attends, je redescends, dit le marquis.

Il fouettait maintenant les jambes de Serge. Tout y passait, les mollets, lintérieur des cuisses. Finalement, le martinet sabattit à nouveau sur les fesses, mais dans la position où le garçon était maintenu, les lanières frappaient dautres parties beaucoup plus sensibles. Elles atteignaient indistinctement les testicules, le scrotum, la verge même. Le marquis termina dune manière très cruelle, en sarrangeant pour que lextrémité des lanières sintroduisît entre les fesses et vînt frapper le tendre anus de mon ami.

Enfin le marquis sarrêta et contempla son œuvre. Le garçon brun, costaud, mon idole, mon copain, était maintenant entièrement nu, au bord de lasphyxie, maintenu les jambes en lair par deux hommes en slip, les fesses rouges, zébrées par des coups de cravache. Il râlait de douleur, ses yeux étaient tuméfiés, rouges, larmoyants. Honteux, il nous révélait toute son intimité. Le marquis ne put sempêcher de passer la main sur les parties les plus secrètes du corps de Serge, qui ferma les yeux, de honte ou dépuisement. Les doigts du marquis népargnèrent rien, ils sattardèrent dans la raie de Serge, plus précisément sur lanus qui se mit à palpiter légèrement sous les attouchements.

– Mmmm, mais çà réagit tout çà.... commenta le marquis, sournoisement.

Il fit rouler les bourses de Serge entre ses doigts, puis il prit sa verge, la soupesa, la massa légèrement, décalotta le gland, ce qui acheva de provoquer une érection assez manifeste du garçon.

– Vous voyez, çà fonctionne toujours, finalement ils aiment çà, dit le marquis en riant. Les deux autres sesclaffèrent, tout en maintenant les jambes de Serge dans leur position. Le marquis développa toute une théorie sur la peine, le plaisir et leurs rapports réciproques tout en caressant les parties intimes de son cobaye. Il prit sur un guéridon un petit pot de vaseline et commença à enduire la raie de Serge. Avec ses doigts lubrifiés il massa doucement la rondelle, provoquant des frémissements dans les chairs les plus intimes du garçon, qui maintenant gémissait sur un autre ton. Enfin le doigt entra. Il continua pendant un bon moment à lubrifier consciencieusement lanus maintenant dilaté de mon copain, qui fermait les yeux, la respiration haletante.

Cest alors que le marquis me regarda. Il mavait à peu près ignoré jusquici, agissant comme si je nétais pas là.

– Regardez-moi celui-là, _s_e_x_clama-t-il sur un ton narquois. Regardez dans quel état il est. Mais dis-donc, apparemment çà te met dans tous tes états de voir ton petit copain les jambes en lair, hein ?

Tout en parlant, il continuait à masser doucement lanus de Serge.

– Viens ici !

Je mapprochai. Il porta aussitôt sa main sur mon membre, à travers le lycra.

– Enlève tout çà, déshabille-toi entièrement, allez, vite !

Je mexécutai rapidement, car lordre était sans réplique. En dix secondes je me retrouvai nu comme un vers. Je dus tout enlever, même les chaussettes. Ce déshabillage, loin de calmer mon érection, me mit les nerfs à fleur de peau. Le marquis sempara de mon _s_e_x_e et le massa doucement. Ses doigts, déjà enduits de lubrifiant, allaient et venaient sans problème sur ma queue frémissante. Je crus que jallais exploser comme çà, sur le beau tapis persan. Mais le marquis sarrêta.

– Eh bien , puisque tu en as tellement envie, profites-en, dit-il en me poussant vers Serge.

– Ah non, pas çà ! mécriai-je, horrifié. Je croisai le regard de Serge, également effaré.

– Comment, pas çà ? coupa le marquis en haussant le ton. Ici on fait ce que je dis, entendu ? Il me semble que vous nêtes pas en position de poser vos conditions, nest-ce pas ?

En prononçant ces mots, il sempara du martinet et me fouetta vigoureusement le derrière. Ceci eut pour effet de me projeter en avant. Mon membre effleura la raie de Serge. Je tentai de me rejeter en arrière, mais le marquis mattrapa par les bourses. Il serra tellement fort que je poussai un cri. Il continua à appliquer des coups de martinet sur mon petit cul qui commençais à me brûler, tout en emprisonnant mes couilles dans son poing. Je ne pouvais plus échapper. Il promena ma queue sur la raie lubrifiée de Serge. Celui-ci maintenait les yeux fermés, comme pour échapper au spectacle. Et moi je bandais toujours, irrésistiblement. Le marquis maintint mon gland sur lanus frémissant de Serge. Je sentais les spasmes de sa chair, cétait comme des ondes quil me transmettait. Avant que jai eu le temps dy penser, jétais en lui. Nous hurlâmes tous les deux, horrifiés, mais le martinet sabattit violemment sur mes fesses, de sorte que je menfonçai à fond dans le cul de mon copain. Je voulus me retirer, mais des coups cinglants de martinet me renvoyèrent à ma tâche. Le marquis me prit par les cheveux et tout en me fouettant me criait :

– Allez ! va-z-y ! encule ton petit copain, çà fait tellement longtemps que ten a envie !

Je voyais ma bite bien gonflée aller et venir dans lanus de Serge, je voyais sa bite, et nous nous regardions, affolés, égarés, mais nos corps jouissaient, cétait plus fort que nous, nos corps jouissaient, jouissaient, si bien que tout finit dans une double éjaculation et un double hurlement. Oui, jai joui en Serge. Je nen revenais pas, haletant, éperdu de douleur et de plaisir, de honte et de lubricité. Le marquis cessa de me fouetter. On relâcha les pieds de Serge. Le marquis nous ordonna daller nous doucher et donna des consignes au domestique pour nous préparer en vue de la soirée. Car la fête nétait pas finie !

(à suivre)


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