Un étrange comportement 3
C'est vers 18h30 que son beau-père délivra Matthieu de sa pénible position, à genoux au piquet. Il fut " autorisé " à se rendre à la cuisine et à préparer le repas, bien qu 'il n'ait aucune expérience culinaire.
Alors que Matthieu s'affairait, toujours cul nu, depuis un quart d 'heure, Jean-Charles entra et s'assit ostensiblement à la table, frappant lourdement ses doigts sur le bois afin de faire savoir qu'il trouvait le temps long. Matthieu se dépêcha puis fit enfin le service. Bien que ses fesses rouges et exposées le fassent encore souffrir, le garçon n 'était déjà plus préoccupé par cette humiliation. Il s'imaginait, privé de repas ou pire, mangeant parterre. Mais non, il fut finalement autorisé à s'asseoir et à manger à table avec Jean-Charles. Simplement, celui-ci lui fit disposer son assiette tout à côté de la sienne. Le repas ne fut pas silencieux pour autant. Jean-Charles parlait du bon temps passé aux Antilles, de la joie de fonder une nouvelle famille. Puis il commandait à Matthieu de lui servir un peu de vin, ou de lui passer un condiment. Bien sûr, le garçon, maté, obéissait avec empressement. Il apprenait ainsi que le sourire énigmatique de son beau-père devant sa précipitation à lui obéir, sa victoire, était pour le garçon qu'il était le gage que ses fesses n'auraient pas à subir dans l'immédiat les conséquences de son déplaisir. Aussi, Matthieu se surprit-il fugitivement à se trouver soulagé d'obéir aveuglément.
Vers la fin du repas, n'ayant donné apparemment aucun motif à son beau-père pour le corriger, celui-ci se mit même à plaisanter, et posant une main sur les cuisses nues du garçon, il lui raconta quelques anecdotes qui obligèrent Matthieu à rire franchement. Puis, sur un commandement, le garçon se leva et se dirigea vers le réfrigérateur pour servir les desserts prévus. Il croisa le regard de Jean-Charles s'attardant sur ses fesses et, un peu gêné et souriant, lui dit :
" Tout à l'heure, il ne faut pas que tu oublies de me donner ma fessée quotidienne. " Puis, il se pencha vers le fond du réfrigérateur pour saisir les crèmes glacées, et exposa ainsi largement ses fesses à la vue totale de son beau-père.
Quand il se retourna, son beau-père affichait un grand sourire satisfait devant le changement d'attitude du garçon. Matthieu continua sur sa lancée et se permit même de déposer un baiser sur la joue de cet homme qu'il voulait apaiser.
Puis Jean-Charles partit vers le salon et commanda à Matthieu de débarrasser la table et de nettoyer la cuisine, tout en veillant à venir rapidement lui servir une tasse de café. Ce qui fut fait promptement. Matthieu revint se poster debout devant son beau-père dès qu'il eut terminé de remettre en ordre la cuisine et, celui-ci vit avec délectation le garçon cul nu disposer ses mains dans le dos en attendant le bon plaisir de son beau-père qui regardait les actualités.
Matthieu gardait un œil sur la pendule murale et dès 20h15 précises, il dit :
" Jean-Charles, est-ce que je peux s'il te plait, recevoir ma fessée quotidienne ? "
Son beau-père le fit disposer en travers de ses genoux, les mains croisées sur la tête, lui remonta le tee shirt sur les épaules, écarta grandement ses jambes afin qu'il s'expose plus intimement, et lui donna quelques claques retentissantes sur les fesses.
SLAP ! SLAP! SLAP! SLAP! SLAP!
Puis il reprit son café et son autre main se mit à parcourir les fesses du garçon, les malaxant sans retenue, et les écartant largement afin de mieux en contempler les secrets. Après quelques minutes, il reposa sa tasse et se remit sans prévenir à fesser son beau-fils.
SLAP! SLAP! SLAP! SLAP! SLAP!
Matthieu, passif, se laissa faire et n'émit qu'une petite plainte quand la main frappa trop parfaitement un endroit ayant trop récemment testé la ceinture.
Et Jean-Charles s'interrompit de nouveau et recommença de caresser les fesses qui lui étaient présentées.
Cela dura trois quarts d'heure pendant lesquels Matthieu ne bougea pratiquement pas, se laissant caresser ouvertement et fesser sans opposition, montrant ainsi un peu plus sa nouvelle soumission.
Enfin, à 21h, Jean-Charles l'envoya se mettre au lit. Le matelas habituel de sa chambre fut disposé aux pieds du lit parental et Matthieu qui allait apprendre à ne plus mettre désormais de pyjamas, fut couché et bordé.
Dans les jours qui suivirent, Matthieu s'habitua à la routine de sa nouvelle vie. Levé relativement tôt par son beau-père, il allait préparer le petit-déjeuner pendant que Jean-Charles prenait sa douche. Les deux prenaient leur repas du matin. Matthieu n'était bien sûr habillé que d'un tee shirt mais ne se formalisait déjà plus que Jean-Charles put ainsi jeter un regard permanent sur sa quasi-nudité. Souvent, son beau-père lui posait la main sur la cuisse au cours du repas, ou lui intimait l'ordre d'enlever son tee shirt afin qu'il fut complètement nu.
Ensuite, la matinée était occupé à des travaux ménagers. Tous les jours, le garçon passait l'aspirateur dans la totalité de la maison, y compris le sous-sol. Puis il devait nettoyer la salle de bains et les toilettes et parfois le sol. Jean-Charles, prenant le prétexte d'un travail plus minutieux et que cela permettrait à son beau-fils de mieux montrer son obéissance, exigeait que Matthieu fit tout cela à quatre pattes. Matthieu prit donc sans qu'on lui demande l'habitude de disposer systématiquement ses fesses en vue directe de son beau-père afin que celui-ci puisse le contempler dans son intimité la plus intégrale.
Puis Matthieu partait - puisque le temps le permettait- entretenir un peu le jardin. Aucun voisin ne pouvant avoir une vue directe sur ces lieux, il fut rapidement à l'aise dans cet exercice, malgré sa tenue très légère.
Enfin, il terminait la matinée par quelques travaux scolaires et allait ensuite préparer le déjeuner. En début d'après-midi, après le café qu'il avait servi, il s'installait en travers des genoux de Jean-Charles et recevait une première fessée, qui bien que n'ayant pas été prévue à l'origine dans les règles édictées, s'installa rapidement comme une obligation très naturelle. L'après-midi, Jean-Charles l'autorisait alors à se distraire de la manière qu'il le souhaitait à la condition expresse de ne pas sortir de la maison, et de le prévenir dès qu'il voulait changer de distraction. Ainsi, Matthieu, lorsqu'il changeait de jeu sur sa console ou avait besoin de se rendre aux toilettes, passait d'abord voir Jean-Charles afin de lui en demander l'autorisation préalable.
C'est quelques jours avant le retour de sa mère que Matthieu constata que l'attitude de son beau-père se durcit de nouveau. Les fessées étaient données plus fortement, et pire, il eut de nouveau droit trois fois à la ceinture. Il eut alors le réflexe de montrer encore plus sa soumission, restant pendant ses loisirs autorisés auprès de Jean-Charles , et lui proposant de lui-même de s'installer en travers de ses genoux afin de le rassurer sur sa soumission. Relevant son tee shirt, le garçon disposait comme habituellement ses mains croisées sur sa tête et écartait ses jambes afin que son beau-père puisse selon son bon plaisir le fesser ou lui caresser le dos et les fesses. Il prit également plusieurs fois le prétexte de la chaleur afin de demander l'autorisation d'enlever son tee shirt afin de se montrer nu, fut souriant et enjoué et se permit même de montrer de la tendresse à son beau-père. Celui-ci, rassuré, sembla se détendre.
Moins d'une heure avant le retour de sa mère, Jean-Charles dit à Matthieu :
" Bien sûr, pendant que ta mère est à la maison, il est nécessaire que tu sois habillé, puisque c'est une femme et qu'un garçon ne doit pas s'exposer ainsi continuellement devant une femme, même sa mère. Je t'ai donc préparé des shorts que j'ai choisi dans ton armoire. Inutile que tu mettes un slip en dessous. Je ne veux pas de problèmes pendant que ta mère sera enfin de retour à la maison. On fera le point entre nous dès son nouveau départ. "
Matthieu compris instinctivement ce dont il se serait de toute façon douté : les " règles " applicables étaient atténuées en présence de sa mère. Mais la perspective de " faire le point " après un nouveau voyage de sa mère, l'incitait à jouer le jeu de son beau-père. Et puis, s'il se doutait bien que sa mère réagirait négativement à certaines des règles édictées par son mari, il était dors et déjà persuadé qu'un conflit tournerait à son désavantage, et ne ferait qu'empirer les choses. Aussi, comprit-il d'emblée ce que souhaitait Jean-Charles et il lui dit :
" Ben, de toute façon, ce qu'on fait entre hommes pour mon éducation quand elle n'est pas là, çà doit rester entre nous. "
Jean-Charles eut l'air quelque peu sidéré par cette réponse. Il regarda de longs instants son beau-fils dans les yeux, essayant de comprendre les tenants et aboutissants de cette phrase. Là où certains auraient immédiatement déduit une perversité qui se découvre, il y avait plus probablement un choix innocent de mots, et surtout, une envie bien naturelle : celle d'avoir le moins de contraintes possibles de la part d'un adulte pouvant lui en causer de nombreuses.
Lorsque sa mère arriva, Matthieu portait donc un short en coton qui lui arrivait à mi-cuisses. Assez rapidement, sa mère s'informa auprès de chacun d'eux séparément de leurs relations pendant son absence. Matthieu entendit très distinctement son beau-père le qualifier de " petit garçon formidable et très attachant ", " de fils qu'il avait toujours voulu avoir ", " des longues heures passées ensemble ", et " qu'il était totalement rassuré ". Sa mère, agréablement surprise au delà des mots, en fut extrêmement émue et ne put naturellement pas s'empêcher de verser quelques petites larmes irrépressibles. La conviction de Matthieu s'en trouva renforcée : il n'aurait pas voulu faire de peine à sa mère en présentant la situation très différemment.
Pendant les deux semaines de présence de sa mère, Matthieu vécut donc dans l'ambiguïté de sa soumission extrême à Jean-Charles, tout en essayant de ne surtout pas la montrer à sa mère.
Alors même que sa mère était aux anges, que Matthieu se trouvait avoir plus de temps libre devant lui qu'il ne lui en avait été permis ces derniers temps, le garçon constatait quotidiennement que son beau-père n'avait pas abandonné sa stricte attitude à son égard. Dès que les circonstances le permettaient, Jean-Charles exigeait de lui qu'il reprenne immédiatement les déjà " bonnes habitudes ".
Matthieu eut ainsi droit presque tous les soirs à une visite nocturne de son beau-père, qui, entrant dans sa chambre, soulevait les draps afin de vérifier que Matthieu n'était vêtu que de son tee shirt. Puis, quelques fois, et alors même que Matthieu lui adressait un timide sourire, Jean-Charles lui caressa ouvertement les fesses, lui promettant à l'oreille d'en prendre soin dès que possible, et de rattraper le temps perdu.
Jean-Charles entra également dans la salle de bains pendant que son beau-fils se douchait. Bien sûr, Matthieu, ne cherchait pas à se cacher et, encore une fois lui souriait amicalement.
Quand sa mère partit chez une amie, Matthieu n'eut qu'à attendre dix minutes avant d'être convoqué et de s'entendre dire les instructions qu'il allait devoir suivre dans les trois minutes suivantes.
Et c'est ainsi qu'il se retrouva au sous-sol. Quand Jean-Charles descendit, conformément aux ordres reçus, Matthieu avait enlevé son short et ses chaussures. Puis il avait relevé son tee shirt sur ses épaules et l'avait coincé par dessus sa tête afin qu'il ne retombe pas. Il était cul nu et debout, faisant face à un mur de ciment brut. Ses mains étaient disposées bien à plat sur le mur, ses jambes complètement écartées, ses fesses très cambrées.
Jean-Charles admira la vue de ce garçon si soumis, qui lui avait obéit sans contester en rien ses exigences, et savoura sa puissance et la facilité avec laquelle il en avait obtenu le résultat dont il se repaissait. Son regard resta de longs instants à parcourir ce corps. En particulier, ses yeux s'arrêtaient naturellement sur les fesses, blanches, en contraste total avec le reste de ce corps bien doré par un soleil généreux. Leur forme, pleine et entière, musclées tout en ayant une rondeur parfaite, la fermeté qu'il leur connaissait, tout retenait son regard qui avait du mal à glisser encore un peu afin de descendre sur les testicules.
Avec les jambes très écartées, ceux-ci étaient en parfaite vision. Très ronds, assez gros, leur vue rajoutait à ce spectacle une touche d'intimité surprise qui ne le faisait plus douter du choix de sa nouvelle vie.
Puis il approcha, et ne put s'empêcher de s'agenouiller, toujours silencieux, afin d'avoir une vision plus directe et en gros plan de l'intimité de Matthieu. Il posa ses mains sur chacune de ses fesses, et les écarta très largement afin d'exposer ainsi son anus à ses regards avides, savourant complètement le manque de réaction du garçon dont il exposait ainsi autoritairement l'intimité la plus secrète.
Il dit à Matthieu : " Je suis satisfait de toi, je ne te donnerai finalement pas la ceinture ".
Matthieu, poussa instinctivement un " ouf " de soulagement, et le remercia.
Alors qu'il s'était mis de côté par rapport à lui, Jean-Charles posa sa main gauche sur le bassin de son beau-fils, exerçant une pression à l'opposé du mur afin de le pencher plus encore. Puis il abattit lentement sa main en travers des fesses si soumises. Il recommença une bonne trentaine de fois, et Matthieu constata que sa nervosité augmenta au fur et à mesure. Les coups gagnèrent en force, le faisant pousser de petits cris, puis les larmes coulèrent sur ses joues.
C'est avec un simple " C'est bien " que Jean-Charles quitta la pièce, satisfait. Matthieu se rhabilla alors et la vie reprit son cours " normal ".