Un étrange Comportement 6 Fin


by Cyrion <Cyrionlejeune@hotmail.com>

Note: Je ne pensais pas publier cette 6ème partie, sur les 14, mais beaucoup de lecteurs m'y ont encouragés. Toutefois, si je ne devais la dédier qu'à un seul ce serait à John Simon. J'ai perdu son mail par deux fois. Qu'il veuille bien me ré-écrire s'il le veut bien. Et comme mot de passe, qu'il me dise ses deux compositeurs préférés:) (Non, pas Wagner, sinon j'ai envie d'envahir la Pologne comme dirait Woody Allen:) )

M. Baudouin Mahaux, qui envoie plein de virus pas très à jour est prié de s'abstenir.

Un étrange comportement 6

Tu pourras si tu le veux, porter le maillot de ton choix.

Matthieu et son beau-père avaient quitté leur hôte, et bien que lensemble de son corps lui fasse encore mal, le garçon commençait enfin à se détendre devant la perspective de passer le reste de la journée au parc aquatique dont il rêvait depuis longtemps.

Il répondit donc avec un timide sourire :

Le short, si tu veux bien .

Pas de problème, cest toi qui choisiras.

Les deux roulèrent donc pendant une heure et demie encore. Tout au long du trajet, Jean-Charles discuta avec son beau-fils, lui posant de multiples questions sur Supermarine, _s_e_x_clamant devant tous les détails merveilleux des perspectives qui les attendaient et décrites par Matthieu. Celui-ci recommençait enfin à sourire, et ne pensait plus quà son après-midi de loisirs.

Après lentrée, les deux se dirigèrent vers le vestiaire. Jean-Charles insista pour quils se dirigent vers les vestiaires communs, puisqu une file dattente sétait formée pour les cabines individuelles. En se déshabillant, Matthieu fut terriblement gêné. Outre le fait quil ne portait pas de slip, ce quil avait un peu vite oublié, lensemble de son dos portait très visiblement les marques de ses corrections reçues plus tôt dans la journée.

Cest donc avec des précautions infinies quil ôta son short, le posa en travers de ses jambes et veilla à noffrir que le minimum de vue sur son corps tout au long de lopération consistant à enfiler son maillot.

Enfin, Jean-Charles et lui sen furent vers les premiers bassins. Laprès midi de loisirs commençait....

A peine plongé dans leau de la première piscine à vagues, que Matthieu oublia tous les tourments de la journée. Cest avec un plaisir délectable quil sentit leau glisser sur son corps, même si la totalité de la peau recouverte par son short de bains restait très sensible. Jean-Charles, lui, après quelques brassées, séloigna un peu et se vautra dans un large fauteuil en plastique qui lui permettait dentretenir le bronzage de son corps. Peut être que dans son esprit, celui de son beau-fils était trop parfait.

Mais ce qui était trop parfait, cest ce que Matthieu navait pas du tout perçu. Le short de bains blanc, une fois mouillé, ne cachait plus grand chose de son porteur. Le tissus fin collait à la peau, et même les nuances du bronzage ainsi que les rougeurs caractéristiques du garçon corrigé peu de temps auparavant apparaissaient à la vue de tous.

Si Matthieu avait eu conscience de la vue quoffraient ainsi ses fesses et du regard que tout un chacun pouvait leur jeter, peut être aurait-il commencé à sinterroger sur le nombre dhommes qui prenaient soudainement le temps de se reposer à proximité immédiate de lui. Certains sarrêtaient le temps de sétonner et de sourire, dautres pour fixer immanquablement dessus leur regard et admirer les moindres recoins à chaque mouvement que faisait son petit bassin.

Au bout dun très long moment, Jean-Charles rappela à lui autoritairement son beau-fils, tout en gardant un œil suspicieux sur les hommes aux alentours. Il navait pas imaginé un tel succès , et finalement, une sourde petite jalousie sétait fait jour dans son esprit.

Matthieu, veille à rester pas très loin de moi. Tu sais, un accident pourrait arriver et je men sentirais très coupable, si je nétais pas là pour te sauver.

Tout cela, dit avec un franc sourire et une tape amicale sur lépaule, rencontra le oui, Jean-Charles immédiat de Matthieu. Celui-ci se pencha alors, et ostensiblement devant tous les hommes présents par hasard , déposa un baiser sur la joue de son beau-fils. Matthieu, touché, le regarda dun air indéfinissable et suggéra :

On peut aller à la piscine aux raz de marée ?

Bien sûr, avec plaisir .

Et cest en menant le jeune garçon par les épaules que Jean-Charles montra à tous ceux qui ne pouvaient sempêcher de lorgner son short de bains, que pour avoir affaire à Matthieu il fallait dabord passer par lui, quil le protégeait éventuellement et surtout se trouvait très jaloux de ses privilèges.

Il rejoignirent donc la piscine à raz de marée. Immédiatement, Matthieu plongea et invita son beau-père à le rejoindre. Ils passèrent une bonne heure à samuser dans leau, et Jean-Charles sembla lui aussi se distraire. Matthieu apprécia énormément ces moments au cours desquels son beau-père abandonna le masque de sévérité quil lui connaissait. Il lui apparut enfin comme la figure dautorité masculine dont il avait besoin naturellement à son âge. Jean-Charles, lui, faisait une démonstration. Une partie des hommes présents à côté de la piscine précédente, les avait suivie sur le lieu de celle-ci et ne perdait pas une miette de la scène. De nouveaux venus sétaient joints à eux. Et si chacun deux napercevait quoccasionnellement une partie de ce quils désiraient apercevoir, chacun restait patiemment en place, face au soleil. Mais bien sûr, Matthieu ne vit rien de tout cela.

Il ne réagit même pas lorsque son short, quelque peu malmené par Jean-Charles, sabaissa largement, révélant trois bons centimètres de la raie de ses fesses. Trois hommes se redressèrent immédiatement.

Enfin, les deux sortirent essoufflés de leau et sassirent confortablement dans les deux transats sur lesquels ils avaient posé leurs affaires. Rapidement, Matthieu se releva et alla chercher deux grandes glaces que Jean-Charles lui avait proposer doffrir.

Puis, soudainement, celui-ci se leva et se dirigea vers deux hommes portant le maillot de bains identique qui les identifiaient comme des maîtres nageurs chargés de la surveillance. Matthieu ne prit pas attention pendant que les trois hommes discutaient et, cest un peu surpris quil les vit arriver vers lui.

Matthieu, puisque Supermarine te plait tant, jai décidé de te faire un cadeau. Un abonnement qui te permettra en plus dy venir prendre des cours dans les piscines à vagues géantes. Tu prendras des cours de surf et de natation avancée avec ces deux hommes, des maîtres confirmés et titrés. Tout à lheure, nous irons dans la partie sportive du complexe et ils testeront ton niveau.

Matthieu poussa un cri de joie bruyant. Puis après avoir pris rendez-vous pour le test, Jean-Charles et Matthieu sallongèrent sur les transats pour un repos bien mérité.

Tu vois, lui dit Jean-Charles au bout dun moment, quand tu es comme il faut, tout se passe bien.

Oui, Jean-Charles, répondit Matthieu. Je te remercie pour tout çà.

Bien sûr, Jean-Charles comprit que les remerciements incluaient également les corrections de la matinée.

Je veux que tu mobéisses en tout, aveuglément. Dà partir du moment où tu es parfaitement soumis et régulièrement corrigé, tu nas rien dautre à craindre de moi, que ton bonheur, une éducation riche et un avenir serein.

Je te promets de tobéir aveuglément sans limite. Merci de me corriger régulièrement.

Jean-Charles regarda intensément le garçon. Il nétait pas surpris de ce que venait de dire son beau-fils. Celui-ci sétait déjà complètement soumis lors de la première phase de la prise de contrôle. Mais depuis, les choses avaient évoluées, étaient allé plus loin, et Jean-Charles nota avec plaisir que Matthieu, vaincu et conquis, venait à linstant de baisser pavillon pour la deuxième phase.

Avant de passer à la troisième, Jean-Charles décida de tester Matthieu :

Bien, je suis fier de toi. Tu vas alors me montrer tes bonnes résolutions. Je veux que tu ailles aux vestiaires, que tu amènes ici un des slips de bains que nous avons acheté ce matin. Tu enlèveras ton short devant tout le monde, et enfileras le slip.

Lequel tu veux que je mette ? Le bleu ou le blanc ?

Hum.... Le bleu ira très bien.

Matthieu, résolu à montrer sa soumission, se leva de suite et dun pas décidé se rendit aux vestiaires. Cest seulement sur place quil se rendit compte quil navait pas la clé. Se maudissant, ayant peur des conséquences, il revint vers Jean-Charles lui demander. Avec un simple sourire, celui-ci lui tendit la clé et Matthieu, réconforté, extirpa de leur casier le slip de bains bleu.

Il revint vers Jean-Charles. Allez, lui dit son beau-père. Montre ton petit cul bien corrigé à tout le monde .

Cest de dos face à la piscine que Matthieu, en essayant de ne pas réfléchir, descendit très rapidement son short sur ses chevilles. Dun mouvement continu, il lôta, et le plus rapidement quil était capable, passa le slip de bains bleu.

A sa surprise, le slip était bien trop petit. Il avait oublié ce détail. Il le serrait fortement. Son tissus bien trop fin sarrêtait en outre à la limite de son _s_e_x_e, devant, et révélait deux bons centimètres de ses fesses sur le dos. Les traces de son bronzage apparaissaient complètement, et, pire, le slip remontait également par le bas. Trois bons centimètres de ses fesses étaient révélés au dessus de ses cuisses, et son _s_e_x_e ainsi que ses bourses étaient moulées par le maillot sans rien en cacher.

Matthieu tint bon, se forçant à ne pas penser et cest avec un grand sourire, quil se dirigea vers Jean-Charles pour déposer un baiser sur sa joue. Jean-Charles, lui était on ne peut plus satisfait, tant de lattitude soumise de son beau-fils, que de voir la réaction des hommes présents, dont certains sétaient redressés afin de mieux fixer la scène.

Cest donc avec une délectation totale quil prit Matthieu dans ses bras et quimmédiatement une de ses mains se dirigea vers les fesses de son beau-fils. Il lembrassa gentiment, le regardant dans les yeux, et malaxa fermement les fesses avant que de forcer lélastique du slip et de les caresser ouvertement devant les personnes présentes. Matthieu neut aucune réaction, si ce nest un sourire.

Tournant son regard, Jean-Charles aperçut celui des deux maîtres nageurs, et leur rendit leur sourire.

Cest avec une grande déception que tous les hommes qui les avaient suivi les virent peu de temps après rassembler leurs affaires et se diriger vers les deux maîtres nageurs.

Les quatre se dirigèrent vers une aire à part du complexe aquatique et même ceux des hommes qui les avaient suivi en furent pour leurs frais : cette partie de Supermarine était réservée et le public ny avait pas accès.

Bien loin des installations communes, ils arrivèrent au bord dune piscine classique de 50 mètres. Matthieu vit les trois se disposer à lécart. Il sensuivit une assez longue conversation dont Matthieu fut naturellement exclu.

Matthieu ! linterpella son beau-père au bout dun moment. Je te confie à ces deux maîtres confirmés. Ils vont te tester. Tu leur obéis en tout, sans limite, je te prie. Ils me rapporteront ton attitude. Ils vont te tester complètement afin de savoir si tu mérites dêtre leur élève.

Jean-Charles séloigna après un dernier sourire, et Matthieu fut laissé seul aux mains des deux hommes. Ceux-ci limpressionnaient carrément. Le plus jeune, qui avait la trentaine, était carré dépaules. Une musculature harmonieuse rehaussait un visage disgracieux, aux yeux étroits et enfoncés, bordés par quelques boutons qui empiraient lensemble. Des poils drus et très noirs dépassaient sans complexe de son slip de bain noir. Le deuxième, dune petite cinquantaine, semblait éclater de vigueur. De ses tempes grisonnantes, de son visage carré, un charme indéfinissable et une autorité naturelle semblaient émaner de lui comme dun homme impossible à cerner, une sorte de supérieur naturel doté dun charisme irréductible. Sa musculature était impressionnante pour le garçon quétait Matthieu : ses abdominaux, couverts de fins poils noirs, ressortaient plus que le plus développé des muscles du garçon. Ses biceps avaient la taille des cuisses du jeune homme, et ses mains auraient facilement pu enserrer sans problème son cou gracile.

Matthieu, pas très à laise mais décidé à donner le meilleur de lui-même, sentendit commandé :

Bien, tu vas commencé par 50 mètres en brasse.

Il fut mené par le maître le plus jeune pendant que celui qui apparaissait naturellement comme le chef des deux se saisissait dun chronomètre. Au top Matthieu sélança.

Quelle ne fut pas sa surprise et sa honte quand, sétant élancé le plus fortement possible du bord du bassin quil le pouvait, il sentit que le choc de la rentrée dans leau lui avait littéralement arraché son slip de bains, et quil se retrouvait ainsi incapable de nager dans de bonnes conditions, le slip sur les chevilles.

Quand il remonta, déjà rouge de honte mais surtout davoir déjà échoué, il fut rassuré par le rire très franc des deux hommes. Ce nest pas grave, çà peut arriver. Jettes donc ton maillot sur le bord de la piscine, et prépares toi à repartir.

Matthieu ne se posa que très fugitivement la question de la légitimité de cet ordre, et voulant à toute fin réussir le test, nayant que cela en vue, ôta prestement le slip de bains, et le posa aux pieds des deux hommes, comme un trophée.

Il sélança au signal et tout au long de sa course, fut suivi par le plus jeune des deux maîtres, pendant que le deuxième restait au point de départ, chronomètre en main.

Quand il revint, un simple Pas mal accueillit sa performance.

Il dut recommencer la même performance dans trois autres types de natation et, exténué, commença à faiblir. Dautant que le papillon, le dernier test, nétait pas son fort. A sa grande surprise, alors même quil commençait à savouer vaincu, le maître nageur qui dirigeait lensemble lâcha :

Cest même pas mal du tout. Félicitations .

Il sen trouva instantanément revigoré et reprit confiance.

Sors de la piscine et viens devant nous que lon examine ta musculature .

Complètement nu, Matthieu vint timidement devant les deux hommes. Dans son esprit, sa nudité ne comptait déjà plus. Mais il appréhendait fortement la comparaison entre ces deux hommes puissants et son corps gracile de jeune adolescent.

Dun signe de tête, le plus âgé des deux fit signe au second de mieux disposer Matthieu pour lexamen qui allait suivre.

Venant droit vers lui, lhomme lui fit croiser les mains sur la nuque et écarter les jambes. Enfin, il lui redressa la poitrine afin de le montrer très droit à leurs regards.

Tu es un très beau garçon, commenta le chef des maîtres.

Sur ce, il sapprocha et se posta droit devant Matthieu. Il le regarda droit dans les yeux, et celui-ci ne put alors soutenir ce regard trop intense. Instinctivement, il baissa son regard vers le sol.

Lhomme descendit alors lentement tout au long de son corps. Détaillant la poitrine puis le ventre, un fin sourire apparut à la commissure de ses lèvres.

Pas mal . Puis son regard tomba sur le _s_e_x_e et les bourses de Matthieu.

Hum. Tu as quelques poils épars autour du _s_e_x_e, tu es donc pubère ?

Matthieu rougit complètement à ces mots, au point que même sa poitrine en prit des couleurs.

Oui, monsieur.

Il faudra que jen parle à ton beau-père, si on te prends, car je ne veux pas dactivité superflue la veille dun entraînement.

Sans comprendre, Matthieu répondit : Oui, monsieur .

Tournes toi que je te vois bien .

Cest seulement alors quil venait de se tourner que Matthieu prit conscience des traces visibles de ses corrections que les deux hommes ne pouvaient pas ne pas voir.

Je vois que ton beau-père a pris soin de te montrer le droit chemin, Matthieu. Tes fesses ont été punies aujourdhui, non ?

Oui, monsieur . Matthieu fut incapable den rajouter plus, mais lhomme sen chargea :

Cétait mérité ?

Oui, monsieur, complètement.

Cest bien. Jaime les garçons qui savent ce qui est bon pour eux. Un entraînement de haut niveau, cest toujours comme çà. Bon, Eric, ajouta t-il en sadressant à son plus jeune collègue, mène-le dans le bureau du Président et ensuite à mon bureau pour les papiers et la fin du test.

Matthieu neut pas le temps de penser à reprendre possession de son slip de bains que déjà une main ferme posée à la base de son cou lemmenait vers les locaux administratifs du complexe.

Cest donc totalement nu quil traversa des couloirs vides, un peu dépassé par la rapidité des évènements, mais toujours, plus que jamais désireux de réussir le test.

Ils arrivèrent devant une porte fermée, et après avoir frappé deux fois contre la porte, le dénommé Eric et Matthieu entrèrent dans un large bureau qui bordait le complexe. De larges vitres intérieures donnaient directement accès aux vestiaires communs réservés aux scolaires.

Un homme absolument adipeux se tenait assis dans un très large fauteuil. Il semblait quelque peu sale, mais Matthieu, toujours dans son optique, lui adressa un timide sourire, bien que sa nudité le gêne encore un peu devant un inconnu total.

Bonjour, Monsieur le Président, je voudrais vous présenter Matthieu, que Stan supervise pour les tests.

Approche mon garçon

Matthieu fut rondement mené devant cet inconnu, qui se mit immédiatement à le détailler de la tête aux pieds, sarrêtant longuement sur son _s_e_x_e et ses testicules.

A t-il réussi les quatre tests de 50 mètres ?

Oui, et même brillamment.

Cette phrase fit à Matthieu leffet dun terrible baume. Un voile de contentement absolu déferla sur lui. Il prit automatiquement son plus large sourire, quil adressa directement à linconnu se tenant devant lui et dont il sentait que lavis était primordial. Celui-ci, ravi de lattitude du garçon lui rendit son sourire, et lui demanda :

Tournes toi mon garçon que je te vois de dos.

Sans quil soit besoin de lui répéter, Matthieu obtempéra, mais ne put sempêcher de tourner son visage toujours souriant jusquaux oreilles vers lhomme, dont il surprit le regard se poser immédiatement sur ses fesses. Instinctivement, il remonta son bassin, afin doffrir une meilleure vision.

Eric précisa :

Le jeune Matthieu a besoin dêtre régulièrement corrigé, comme vous pouvez le voir. Son beau-père nous a dailleurs expressément encouragé à montrer la plus grande sévérité nécessaire. Matthieu lui même nous en remerciera.

Cest bien vrai Matthieu ? demanda le Président.

Sans réfléchir, le jeune homme sentendit répondre :

Oh ! Oui ! Cest pour mon éducation ! Et puis jobéis en tout ce quon me demande !

Un silence satisfait suivit cette déclaration. Lhomme demanda alors à Matthieu, sur un ton très naturel, de se pencher complètement, la tête vers les pieds, et à laide de ses mains, décarter ses fesses.

Matthieu obéit immédiatement. Il y a encore deux mois, le fait de devoir montrer son anus ne serait ce quà sa mère laurait révolté au plus haut point. Désormais, de parfaits inconnus avaient la possibilité de lui ordonner de _s_e_x_poser sans quil ne se pose de questions. Il lui suffisait que les formes dune certaine légitimité soient acquises ou que Jean-Charles lexige.

Bien. Si Matthieu réussit le dernier test, je crois que jaurais plaisir à linviter de temps en temps avec moi.

Cest sur cette phrase quelque peu mystérieuse que le Président signifia la fin de lentrevue, et Matthieu, après un merci très souriant, fut emmené vers la dernière épreuve du test.


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