Des liens indéfectibles 1
Nombres déléments dans cette histoire sont vrais. Dautres ont été inclus afin de rendre une unité à lensemble. Je ne préciserai pas lesquels J Cette première partie décrit le contexte, un peu complexe et réel. Jai essayé déliminer les longueurs ; mais afin de retranscrire au mieux un véritable situation, je ne pouvais faire moins que cela. Que les lecteurs assommés me le pardonnent :)
Cest pendant ma première année au lycée que je vis Marc LEBLEU pour la première fois. Javais 15 ans. Je fus tout de suite frappé par son air fragile, son regard très doux, et pour tout dire son physique très excitant. Assez grand, très mince, son visage était comme illuminé dune aura très claire, qui disparaissait dès quon le regardait dans les yeux. Son regard timide tombait alors sur le sol et ne sen dégageait quune fois lobstacle passé. Mais, il nétait pas le seul des garçons de cette école à avoir attiré mon attention. Et je ny prêtais pas plus attention.
Cest seulement lorsque eut lieu le premier cours déducation physique (le sport) quil rencontra de nouveau mon attention et mes regards déjà avides. Pour nous préparer, nous avions à notre disposition un large vestiaire que nous partagions avec une autre classe. Et cette classe était celle de Marc. Je savais ce qui allait suivre, aussi pris-je un soin extrême à me placer bien en face de lui, sur le banc collectif opposé. Nous avions lobligation de nous changer en la tenue adéquate, ce qui voulait dire en short, baskets et tee-shirt. A la fin des années 80, personne à notre âge ne venait en cours avec un survêtement, cela aurait paru décalé, voire vulgaire.
Pour ma plus grande joie, je vis donc Marc commencer à se déshabiller. Dailleurs, moi aussi je faisais de même. Je ne le vis pas enlever un par un, puis immédiatement le remplacer, chacun de ses vêtements , mais ôter tout ce quil devait enlever, et, seulement une fois quil était en slip et chaussettes commencé à enfiler sa nouvelle tenue. Lorsque il fit glisser son jean, il révéla à ma vue et à ceux que çà pouvait intéresser (nous étions en fait trois) un slip en coton dune horrible couleur vert armée. Son corps était complètement imberbe, mais, quelques poils tout aussi timides que son esprit, dépassaient de son slip un peu étroit, et surtout aux élastiques distendus par les lavages. Quand il écarta un peu les jambes, une fugitive vision de quelques millimètres de ses testicules mapparurent et cest avec regret que je le vis enfiler un short trop court quun grand frère avait dû lui passer.
Pendant trois mois, chaque semaine, jeus droit à ce déshabillage quasi-complet. Cela variait peu, seuls ses mouvements, la position différente quil prenait alors, pendant quil était seulement vêtu de son slip pouvaient moffrir un plus appréciable. Même ses slips variaient peu dans leur caractéristiques générales : en coton, de couleur unie, et aux élastiques toujours lâches.
Mais jai petit à petit remarqué que Marc avait une faiblesse : il était totalement pudique. Et seule sa totale innocence lui permettait de ne pas rougir en se déshabillant hebdomadairement devant moi et vingt-cinq autres garçons de son âge. Il prenait toujours un temps infini afin darriver à ôter enfin son jean, et nous nous retrouvions tous deux, systématiquement derniers à être fins prêts.
Et puisque nous étions systématiquement les derniers, cest ainsi que nous nous sommes connus et parlés. Du fait de ce que javais deviné de son caractère, il ma été très facile, finalement, de nouer un premier contact.
A force de nous voir en sport, à force de nous croiser trois ou quatre fois par jour dans des salles connexes de notre lycée en attendant larrivée des professeurs. Et surtout a force de lobliger à ce que nos regards se croisent, jai eu, un jour, laudace de venir vers lui et de lui tendre la main afin de le saluer.
Oh ! Il a été encore plus timide que dhabitude, cest pour dire...
Mais désormais, un contact était établi. Jai donc pris lhabitude de venir le saluer tous les jours. Et tous les jours il me répondait, timidement, bêtement, de son murmure craintif et obscur. Mais je progressais.
Le voir ainsi si timide, si réservé, discret, secret, ménervait un peu et surtout me stimulait en même temps, afin de progresser : que lattente de la victoire était bonne ! Et je nen doutais pas...
Cette situation dura des mois et des mois, que je ne peux décrire sous peine de tous vous faire endormir dun sommeil sans fin.
Nous sommes devenu petit à petit plus proche. Et enfin, jai osé laborder un midi, pendant cette pause dune heure et demie que nous avions quotidiennement. Nous sommes allé discuter sur lherbe qui entourait lensemble des bâtiments du lycée. Ca a été très timide au début, comme si de rien était, comme si on ne sétait jamais rencontré. Et au bout de quelques jours, enfin, tout à basculé......
Je men souviendrais toujours. Au départ, je navais même pas prévu den arriver là, mais voilà : je lui ai simplement proposé de venir chez moi à la sortie du lycée, vers 17 heures, afin que nous jouions ensemble sur mon ordinateur. Jai lu dans son regard lenvie, mais sa réponse ma laissé surpris : Non, je ne peux pas mon père veut pas .
Je nai rien dit si ce nest regretté sincèrement, mais jai en revanche noté son regard changé. Et franchement, cest à partir de ce moment que jai décidé de tirer le meilleur parti de lui.
Pour le meilleur et pour son pire.
Ce garçon était trop timide, trop timoré. A aucun moment il ne ferait rien qui puisse changer quoique ce soit à sa vie. Et bien, je men chargerai...
La catastrophe eut lieu pour lui au printemps suivant. Je venais de nouveau de linviter à la maison. Cétait au moins la dixième fois. De nouveau, il avait refusé poliment, quasiment confondu en murmures dexcuses qui trahissaient des tourments denvie et de contraintes. De nouveau je men suis sentis déçu, mais cette fois-ci, je men suis fâché car je sentais ma bonne fortune venue. Je lui ai reproché aigrement, disproportionnellement, son petit caractère, ses refus successifs, assimilés à autant dinsultes continuelles. Il ma alors avoué à demi-mots, que son père était sévère, très strict et navait jamais permis à un seul de ses amis de venir chez lui, ou lui chez un autre.
Mon esprit fut immédiatement en éveil. Que de perspectives ! Je lai questionné mais, non, il ne pouvait révéler des détails : impossible de savoir en quoi son père était sévère, inutile de questionner sur le point déclaircir en quoi il était différemment traité que ceux quil côtoyait durant la journée. Il murmurait des borborygmes incompréhensibles et considérait ses réponses comme complètes. Je fini par me lasser et lui poser un ultimatum : ou bien il minvitait chez lui dici une semaine, ou nous terminions ainsi notre relation. Il en eut un choc et dit un petit oui , puis se reprit et se lança sans conviction dans un monologue dexcuse sur les difficultés que son père poserait. Je lui opposait alors en ultime argument, que de toute façon, je ne pourrais que plaire à son père (!), et que de toute façon, cela ne le regardait pas....
Il sest en fait passé prêt de deux mois avant que je vienne enfin chez lui. Dune situation de refus regretté de sa part pour ne pas venir simplement chez moi, - ce qui lui aurait plu, cela se sentait, - on en était passé à des discussions sans fin, mais au combien prometteuses et donc passionnantes sur le fait quil devait me montrer sa bonne volonté en minvitant chez lui...
Il minforma, lair de rien, un mardi après-midi, que son père mattendait le samedi midi chez eux, afin de faire ma connaissance. Il était visiblement inquiet et me précisa maintes fois que son père était contrairement aux apparences quelquun de super , de cool et autres superlatifs adolescents. Dans mon esprit, seule comptait lexpression contrairement aux apparences . Etait-il un monstre de vulgarité ? Une brute épaisse et éthylique ? Un taré congénital croisé avec une folle qui auraient donné miraculeusement naissance à ce garçon dont japercevais les testicules de temps en temps, et qui faisait naître en moi des envies de dominations sadiques ?
Il nétait rien de tout cela.
Avec le recul, je crois quil a été -pendant un peu plus de deux ans- mon complice conscient et joyeux. A cette époque je ne percevais pas tout de son plaisir ; je le trouvais imprévisible, énigmatique et parfois trop cruel. Mais, Dieux ! Que jai du plaisir à me remémorer tout cela et à vous le faire vivre, un peu, avec de simples mots qui ne peuvent transcrire les images imprimées sur des rétines adolescentes et qui mont définitivement transformées...
Je ne suis pas très grand, châtain clair et très mince, et lorsque jarrivais le samedi midi chez Marc, je me souviendrais toujours du premier regard, étrange, que madressa son père en me souriant de toutes ses dents.
Cétait un homme simple, dans la condition. Il avait visiblement fait un effort pour shabiller correctement, et sentir bon . Un peu trop à mon goût. Il y avait en lui une indéfinissable vulgarité commune, un contact direct qui ne laissait pas de place à autre chose quune familiarité immédiate et dérangeante pour ladolescent inexpérimenté que jétais. De ce fait, il ma tout de suite déplu. Jétais pour la première fois confronté à ce que jimaginais de Marc, et voilà que je tombais sur un père qui avait enfilé à la hâte une chemise à peine repassée et aux couleurs du plus mauvais goût. Qui sentait le déodorant plus que le parfum, et affublé en plus dune horrible moustache grotesque, stalinienne, dépassée et monotone.
Je limaginais déjà porteur dun horrible slip blanc et épais, aux élastiques sans fin qui lui remontait lensemble jusque sur le nombril.
Je vivais sur des images et des stéréotypes : je navais pas compris encore sur qui jétais tombé.
Il a de suite été extrêmement aimable avec moi. Il ma complimenté en me répétant à lenvie les nombreuses qualités que Marc me trouvait. Et là, je me suis trouvé timide devant cet homme qui en imposait.
Il ma sobrement expliqué, avec intelligence, que sa femme avait été fauchée par une voiture sur le bas côté de la route, en pleine ville, alors que Marc navait que 8 ans. Et je lai vraiment senti concerné par la réaction de son fils, ému à la seule mention de sa mère. Lui-même navait-il pas les yeux un plus brillants ?
Et pourquoi nai-je pas remarqué ce jour là que Marc faisait le service pour tout ? Que son père était en train de me démontrer quil lavait bien en main ? Mais voilà, à 16 heures, tout a basculé. Soudainement, ce père étrange, énorme tant dans lespace que dans la conscience, ma questionné sur ma famille. Conquis, déjà impressionné, je lui ai répondu. Seules des pointes dagacement vis à vis de ce que je montrais à Marc mempêchait de me laisser heureusement aller vers plus de démonstration obséquieuse vis à vis de cet homme.
Puis, soudainement, il me questionna sur la discipline quappliquait de manière habituelle mon beau-père. Très gêné mais toujours quelque peu, je lui expliquai que mon beau-père appliquait au delà du stade des menaces, des sanctions corporelles, et ce de manière relativement courante si nécessaire.
Le monologue qui suivit me semble aujourdhui sorti tout droit dune autre époque : le père de Marc me fit toute une démonstration explicative des bienfaits de la correction des adolescents grandissants, que ceux-ci en conviendraient plus tard tout en remerciant leur bienfaiteur... Quil restait persuadé quil valait mieux donner trop que pas assez sur ce plan, et quun contrôle strict simposait de lui-même dans tous les domaines afin de ne pas permettre une moindre entorse.
Que répondre ? Un oui général, très lâche et peureux, et aussi, au fond de moi, une excitation sourde, hypocrite devant la perspective de mon ami, Marc, discipliné par un père un peu fou.
Alors, jen ai rajouté, et même rajouté jusquà lenvie, devant les yeux tout à la fois horrifiés et compréhensifs de Marc. Jai décris, avec de fausses pudeurs, la façon dont jétais moi-même soumis à un strict régime. Presque tout était faux mais je me prenais à mon propre jeu : et me voilà décrivant la première correction, véritable celle-là, reçue de mon beau-père.
Incroyable : jen étais à confesser ce que je navais jamais dit à personne et devant Marc. Et je mexcitais moi-même. Et voilà que je raconte ces vacances dans le sud-ouest, à 11 ans, les pots de résine que mon grand-frère et moi avions cassé, les gendarmes qui nous ont ramenés penauds, et la fureur de mon beau-père. La correction, avec la ceinture, fesses nues devant lofficier de gendarmerie qui pour le coup avait décidé de persuader le propriétaire de ne pas porter plainte.
Le père de Marc ma écouté sans minterrompre puis a voulu savoir si javais depuis reçu régulièrement de semblables corrections. Vicieusement, je lui ai expliqué que oui , mais que cétait désormais rare. Mais que je croyais que certains devaient y être soumis plus que dautres... Il ma sourit comme personne avant cela quand jai dit ces mots. Lui mavait mieux percé à jour que moi je ne lavais fait de ma personnalité.
Il a pris un ton solennel, et devant un Marc embarrassé, gêné au delà des mots, il ma expliqué que Marc recevait régulièrement des corrections, quil les voulait les plus embarrassantes possibles et que rien ne le ferait changer davis.
Pris entre lui, qui me contait des mots fascinants, et Marc, qui peut être ne me pardonnerait pas davoir écouté ou peut être mené tout cela, je ne savais que répondre, et imperceptiblement, jai commencé à défendre la position du pauvre adolescent qui nest pas compris par ses parents .
Il a souri et ma dit :
- Vous êtes intelligent, mais vous ne dites que des mots creux: répétez donc ceux-là à votre beau-père ce soir, jaimerai savoir ce quil en dira. Je naime pas qui utilisent leur intelligence contre eux-mêmes...
Je lui promis donc de répéter notre conversation à mon beau-père. Je ne le fis jamais, vu que jimaginais son ricanement instantané, mais je lui fis croire quil avait effectivement bien ri.
Mais il poursuivit et cela ma définitivement marqué :
Marc prends régulièrement des trempes ! Il sait que cest pour son bien ! Nest-ce pas Marc ?
Un petit oui timide sortit de la bouche de mon ami, et son père continua :
Marc est jeune et je laime plus que tout comme lui maime aussi, nest-ce pas Marc ?
Oui, papa.
Mais il nétait pas encore satisfait de lhumiliation en parole de son fils et de limpression quil me faisait.
Par exemple, Marc ne doit pas faire de mauvaises études. Je me tue depuis quil est très petit à lui apprendre que les mathématiques sont essentielles à son ascension sociale. Il y trois jours, il a eu un 11 20. Je ne tolèrerai jamais une note aussi médiocre. Je suis ouvrier, mais comme je veux son bien, je me trouve obligé de ré-apprendre avec lui. Sauf que moi, je comprends et je sais ce quest une factorielle ! Lui, on lui demande en interro surprise les définitions simples de ce que cest, il ne sait pas ! Alors, vous allez voir ce qui se passe dans ce cas-là ! Et vous me répondrez enfin plus clairement, après, est-ce que votre beau-père aurait fait pareil ?
Puis, se tournant lentement vers fils, il lui asséna un : Allez tu connais le business ! . Et Marc partit vers sa chambre.
Jétais trop surpris mais aussi un peu choqué pour répondre. En fait à ce moment-là je nétais pas du tout excité : cet homme me faisait peur.
Il minterrogea à mon tour sur les factorielles, et je lui répondit timidement, en membrouillant. Il finit par sourire, et je crois me souvenir quil me dévorait des yeux.
Se levant, il mintima lordre de le suivre et nous traversâmes un couloir assez court avant que daboutir dans la chambre de Marc.
Il était en slip ! Marc ne portait rien dautre quun ridicule petit slip blanc, aux élastiques lâches, qui ne cachait même pas à la première vue que jen avais, une tout petite partie de ses testicules.
Il se tenait debout, mains dans le dos, dans une position de respect, devant son lit, et avait déjà perdu tous ses moyens.
En le découvrant ainsi, je me suis perdu.
Jai eu peur pour lui, pitié pour ses défaites programmées, pour la sévérité de ce que je devinais être assez courant dans sa vie. Mais rien, rien, naurait pu menlever également le sentiment terrible de vouloir quil subisse tout cela. Une partie inaltérable de moi voulait le voir souffrir et se soumettre. Jen étais au point assez étrange où un ami, qui métait cher, mexcitait du fait de sa future souffrance, de lhumiliation de son présent. Et déjà, je me languissais de vouloir connaître tout de son passé.
Son père me prit autoritairement par le bras et me conduisit devant le lit de Marc et minvita à my asseoir. Je me souviens de mon attitude comme si cétait hier : jétais en fait paralysé, incapable de réaction, comme Marc, et je tremblais légèrement. Le pire était de constater que je ne pouvais me contrôler : trop de sentiments et dinflux nerveux qui se manifestaient dun seul moment, avaient raison de mon esprit adolescent si sûr de lui.
Slip ! cria presque son père.
Et Marc, comme dans un état second, porta ses mains à son bassin, et descendit le sous-vêtement de coton dun geste brusque, jusque sur ses mollets avant que de le descendre complètement et de lôter entièrement.
Voilà. Ma première victoire. Il était enfin complètement nu devant moi. Mais il était difficile den goûter les fruits, une terrible gêne men empêchait encore.
Je ne me souviens plus de tous les détails. Je revois encore mes yeux se fixant imperceptiblement, de manière automatique sur son _s_e_x_e. Je revois son pubis peu fourni, ses yeux qui croisent les miens et ma honte, augmentée quand tournant mon visage pour fuir le sien, je rencontrais celui triomphant de son père et ce regard qui disait je tai percé à jour mon garçon ....
Il se leva cérémonieusement, ôta avec une lenteur étudiée sa ceinture et, à mon horreur, agrippa Marc, le pencha brutalement sur le lit, et commença à lui asséner des coups dune force terrible sur toutes la surface de ses fesses.
Marc hurlait, ses mains nosaient visiblement pas rejoindre ses fesses. Il commençait à pleurer et à baver de désespoir. Ses fesses se resserraient juste sur chaque coup appliqué avec force, en même temps que le cri qui perçait, me semblait-il, tous les murs du quartier.
Toute excitation avait disparu en moi, je nétais quhorrifié devant un spectacle si terrible. La souffrance de mon ami ma amené les larmes aux yeux et jai quitté la pièce.
Je suis resté seul au salon pendant dix minutes. Bien sûr, devant mes rétines surchargées, dansait le corps nu de Marc, mais aussi sa souffrance. La ceinture continuait son oeuvre en moi, au travers de sons terribles : ceux du cuir rencontrant la chair et des cris qui suivaient.
Son père vint un peu plus tard mexpliquer que cétait pour son bien....
Japprouvais timidement, ayant définitivement peur de lui.
Et cest alors quil dirigea sa main vers mon _s_e_x_e. Constatant les restes dune érection irrépressible mais totalement involontaire, il me balança littéralement :
De toute façon, je te dis que cest pour son bien ! Non ?
Japprouvais timidement de la voix, terrorisé de ce quil dirait à Marc, en chantage, et repris mon manteau. Cet homme était diabolique, et de manière concomitante il ny avait en moi quune fascination perverse pour ce diable.
Juste avant de refermer la porte de sa maison sur mon départ, et alors que Marc pleurait toujours dans sa chambre, je lui répondit enfin :
Cest vrai que cest pour son bien, je prendrais beaucoup de plaisir à vous rencontrer de nouveau .
Il me sourit enfin, et me dit que jallais être de nouveau invité.
TBC...