Le jeune Fabrice entra dans le hall impresionnant du siège de M***, grosse boîte inernationale dinformatique, avec toutes les illusions et lambition infinie que lui permettait davoir son curriculum. Sorti premier dHEC, il avait toutes les chances dêtre pris. Cétait son dernier entretien, avec le PDG de la boîte, le directeur du personnel et son adjoint. Dans lascenceur, il jeta un regard satisfait sur son look impeccable : costumebleu foncé, cravate élégante. Il savait que, par surcroît, il pouvait compter sur son physique agréable de jeune blond athlétique, ses yeux bleux, son sourire charmeur, son rire encore enfantin. Son coeur battait un peu plus vite que dhabitude, mais il se sentait prêt pour cete dernière bataille. On lavait suffisamment exercé pour ce genre dentretien, il savait ce quil fallait faire pour convaincre et prouver sa motivation.
Lorsquil entra dans le bureau du directeur général, il fut un peu ébloui par la lumière provenant de limmense baie vitrée située derrière limmense bureau du patron. Les trois hommes, quil navait jamais vus, le surprirent par leur âge et leur aspect : ils semblaient encore jeunes et physiquement en forme. Même le PDG ne ressemblait pas à limage quon se fait habituellement de ce genre de personnage. Après les salutations dusage, il fut invité à sasseoir devant le bureau du PDG, et bientôt lentretien commença. Le feu des questions ne le désarçonna pas. On lui demanda sil était marié, ce à quoi il eut le plaisir de pouvoir répondre affirmativement, puisque son mariage avait eu lieu un mois auparavant. Il savait que cela était toujours bien vu dans ce genre dentreprise, où le statut social des ingénieurs a son importance. Il fut simplement surpris par le sourire quéchangèrent les trois hommes après avoir entendu sa réponse. Mais il neut pas le temps dy penser davantage, car le PDG linterrrogea sur ses motivations. Il se lança alors dans un grand disours, où il usa de toutes les armes de sa rhétorique pour prouver son désir de se vouer corps et âme à la réussite de lentreprise. Il fut cependant un peu déstabilisé quand le PDG linterrompit assez sèchement pour lui demander si réellement il était prêt à tout pour lentreprise. Il reprit de plus belle son discours, assurant quil était prêt à faire des heures extras, à organiser sa vie autour de lentreprise etc. etc. Le PDG linterrompit à nouveau pour lui demander comment il pouvait prouver quil était vraiment prêt à tout sacrifier pour lentreprise. Fabrice resta silencieux un moment, car il ne sattendait pas du tout à cette question. Le PDG reprit la parole : Est-ce que vous pouvez nous prouver maintenant votre capacité de sacrifice pour lentreprise ? . Fabrice à nouveau resta silencieux. Le directeur du personnel prit alors la parole : Si par exemple je vous demandais maintenant denlever votre cravate, est-ce que vous le feriez ?! . Là, Fabrice se senti plus à laise, car il retrouvait lesprit HEC auquel il était habitué, avec ces défis apparemment incongrus qui permettent de juger des facultés de réactions dun individu. Il réagit comme il pensa quil devait le faire : au lieu de répondre à lhypothèse du Directeur du personnel, il choisit de dénouer aussitôt sa cravate quil plaça sur laccoudoir. Il regarda en souriant ses trois interlocuteurs, sûr davoir fait un bon coup. Leur sourire lui parut de bon augure. Cest alors que le PDG se leva, fit le tour du bureau, se planta devant lui, et le foarça à se lever en lui prenant le menton. Pour Fabrice, ce fut comme un cataclysme, car il avait tout prévu sauf un tel geste. Vous seriez vraiment prêt à TOUT ? demanda celui quil voyait déjà comme son futur patron, sur un ton extrêment ferme et en insistant dune manière étrange sur le mot tout . OUI, bien sûr , bredouilla le jeune ambitieux. alors, mettez-vous en slip . Fabrice commença à trouver que lentretien prenait un tour étrange, mais très vite lui revinrent à la mémoire les images de son bizuthage en prépa, quand il avait été obligé de se foutre à poil devant un jury constitué par les 2ème année, si bien quil en vint rapidement à penser que tout cela, finalement, était dans la tradition des grandes écoles par lesquelles, bien évidemment, ses trois interlocuteurs étaient passés. Quand le PDG lui lâcha le menton, il commença donc à ôter sa veste, quil mit soigneusement sur le dossier de son fauteuil. Il déboutonna sa chemise, laisant appraître son torse imberbe et ses jolis muscles, dont il était assez fier. Il plaça la chemise sur la veste. Il se pencha ensuite pour délacer ses chaussures. Quand il se releva, les trois hommes remarquèrent quil était un peu rouge. Il marqua un moment dhésitation. Le silence était total dans le bureau. Puis il défit sa ceinture, sa braguette, et enleva rapidement son pantalon quil plaça également sur le fauteuil. Il se retrouva donc en slip et chaussettes noires, debout, sous le reg! ard fixe des trois hommes. En effet vous avez lair dêtre prêt à aller loin pour satisfaire vos supérieurs... , dit le PDG en sapprochant à nouveau de Fabrice. Il se plaça à côté de lui et ajouta : On va voir jusquoù vous pouvez aller ; en prononçant ces mots, il posa la main sur les fesses de Fabrice. Celui-ci commença à avoir des doutes. Car il se disait que cétait peut-être un test où il devait montrer au contraire quil savait refuser des propositions malhonnêtes. Il essayait de penser le plus vite possible, mais la sensation de la main de cet homme qui caressaient ses fesses lempêchait davoir toutes ses facultés. Et tout à coup il crut percevoir quelque chose de vicieux dans le regard et le sourire goguenard des deux autres, assis en face de lui. Il comprit quil était pris dans un piège étrange. Le PDG reprit : Vous le voulez vraiement, ce poste ? . Fabrice sentit sa tête bourdonner. La main du PDG venait de se glisser sous son slip, il sentait directement le contact de ses doigts sur ses fesses. Il sentendit alors répondre dans un souffle : Oui, bien sûr . Je vois que vous êtes un bon garçon , commenta le PDG, en lui passant la main familièrement dans les cheveux, comme le ferait un bon père, puis il alla se rasseoir à son bureau. Le Directeur du personnel lui demanda alors de sapprocher de lui. Toujours assis, il posa sa main sur la cuisse de Fabrice, qui lui plut par sa cambrure et les poils blonds qui la couvraient. Il malaxa un moment le paquet du jeune homme, caressa également ses fesses, puis le poussa vers son adjoint qui fit de même. Fabrice se sentait comme un objet aux mains de ces hommes, qui continuaient à lui en imposer malgré la situation.
Le PDG reprit la parole : Vous navez pas obéi correctement, jeune homme . Fabrice le regarda sans comprendre. Quest-ce que je vous ai demandé ? De me mettre... en slip prononça Fabrice dune voix hésitante. Vous êtes sûr davoir obéi exactement ? insista le PDG. Fabrice baissa les yeux. Ah ! oui, les chaussettes... et il fit mine de les ôter. Non, inutile dit le PDG dune vois tranchante. Il se leva, prit Fabrice par le cou et sapprocha du fauteuil. En revanche cette petite désobéissance mérite une petite correction . Il sassit sur le fauteuil et força Fabrice, qui ne crut pas opportun de résister, à se placer comme un gamin sur ses genoux. Il le cala fermement sur ses cuisses. Fabrice dut prendre appui sur le sol avec ses mains. Il se sentit complètement à la merci de cet homme de 45 ans, dont les mains commencèrent à malaxer ses fesses à travers son slip. Il remonta un peu le slip de façon à dégager la naissance des fesses, juste au-dessus de la cuisse. La main se promena longtemps sur le bas du dos, les fesses et les cuisses du jeune homme. Puis il commença à lui administrer une fessée en règle, régulière, précise, sans complaisance. Au début, Fabrice ne trouva pas cela trop douloureux, mais au bout dune dizaine de minutes dune pluie incesante de claques savamment appliquées, il commença à ressentir de cruels picotements, et à pousser une léger gémissement à chaque coup. Ses jambes sagitaient, de sorte que les deux autres hommes les immobilisèrent en prenant chacun une jambe. Ils en profitèrent pour lui masser les mollets et les pieds, encore enveloppés de leurs chaussettes. Fabrice nen pouvait plus. Désormais chaque claque administrée par le PDG lui provoquait une brûlure si intense quil avait envie de crier. Enfin le PDG sarrêta. Maintenant, au bureau , dit-il.
Le jeune homme fut donc conduit devant le bureau du directeur géneral, qui le regardait dun air amusé en caressant sa bite à travers son pantalon. Il dut se pencher en avant sur la surface lisse. Le directeur du personnel lobligea à bien sa cambrer, puis caressa à nouveau le sip blanc du jeune candidat. Il massa ses fesses à travers le tissu pendant un bon moment. Le directeur général ouvrit sa braguette, et sa bite sauta au visage de Fabrice, qui comprit très vite ce quil avait à faire. Il commença à sucer avec application son futur patron. Pendant ce temps, les mains balladeuse du drecteur du personnel sétaient insinuées dans son slip, qui commença à glisser sur ses jolies fesses duvetées, et déjà bien rouges. On eut bientôt un fort beau spectacle : Fabrice, le torse couché sur le bureau, cul nu, le slip à mi-cuisse, et suçant le PDG. Le directeur du personnel lui fit écarter les jambes, ce qui eut pour effet de tendre au maximum lélastique de son slip, qui finit même par se déchirer un peu. Puis il reprit ses caresses indiscrètes. Ses doigts maintenant parcouraitent la raise ouverte du jeune homme, descendaient entre les cuisses, malaxaient ses couilles, remontaient dans la raie. Des claques sabattirent à nouveau, rendant un son plus sec. Mais cette fois elles étaient souvent interrompues par des inspections minutieuses. Le directeur du personnel se mit à lui écarter fortement les fesses, au point de bien faire apparaître son anus rose entouré de poils plus sombres. Il lui caressait mantenant cette partie encore vierge du jeune hétéro fraîchement marié, exécutant avec son index des cercles concentriques autour de lorifice frémissant. Fabrice laissa échapper quelques râles, mais il ne put _s_e_x_primer beaucoup plus, tout à son travail de fellation. Cest alors que ladjoint aux ressources humaines rentra dans la pièce avec un martinet. Le directeur du personnel lâcha sa proie et lui laissa le champ libre. Après avoir contemplé un moment ce cul splendide totalement offert, ladjoint retira sa ves! te de co stume, puis commença à cingler sans pitié les fesses de Fabrice. Il ny allait pas de main morte. La douleur surprit Fabrice, au point quil tenta de se redresser pour protéger son cul devenu cramoisi. Les coups cessèrent immédiatement, et Fabrice, dans un silence de mort, vit que les trois hommes le regardaient inténsément avec un air interrogateur. Il comprit que sil voulait le poste, il fallait continuer, il ny avait pas dautre solution. Il se remit en position et avala de nouveau la bite de son patron. Les trois hommes se sourirent dun air entendu et le martinet sabattit à nouveau sur les jeunes fesses. Il se contenta de se tortiller sous les coups. De temps en temps, il ne pouvait sempêcher de plier une jambe en arrière, sous leffet de la douleur. Le directeur du personnel saisit loccasion pour lui prendre fermement la cheville. Bon, maintenant il va falloir les enlever, ces chaussettes dit-il. Il glissa un doigt dans la chaussette noire et dénuda lentement le pied de Fabrice. La chaussette resta accrochée aux orteils, mais la plante du pieds était dégagée. Il la massa un moment, en enfonçant son pouce dans la chair, pendant que Fabrice continuait à sucer le PDG. Puis il fit signe à son adjoint, qui se mit à fouetter le pied dénudé avec le martinet. Fabrice hurla. Le PDG appuya sur son cou pour le plaquer contre le bureau. A chaque coup, Fabrice sautillait sur lautre jambe. La chaussette finit par tomber sur le sol. Ladjoint sarrêta. Fabrice gémissait de douleur, mais nosait pas bouger. Le directeur du personnel lâcha sa jambe. A lautre, maintenant . Oh ! non ! gémit Fabrice dans un souffle. Mais sans aucune pitié les deux hommes firent subir le même sort à lautre pied. Quand le supplice fut fini, il laissèrent un moment à Fabrice pour se remettre. Il se redressa lentement. Il titubait. Quand il eut repris sa respiratin, les trois hommes le placèrent à nouveau sur le bureau, mais cette fois sur le dos, les deux jambes relevées, maintenues au-dessus de sa tête par le PDG, pend! ant que les deux autres caressaient toute lintimité du jeune homme, complètement exposée dans cette position. Le martinet reprit alors du service. Ce fut tellement douloureux que Fabrice crut sévanouir plusieurs fois. Les lanières pénètraient directement dans sa raie, cinglant les parties les plus sensibles de son anatomie, lanus, les couilles, lintérieur des cuisses. Ses cris étaient à nouveau étouffés par la bite du PDG, quil dut à nouveau enfourner, la tête renversée en arrière. La tête lui tournait, il se sentit au bord du nauffrage, et préféra fermer les yeux. Enfin les coups de martinets sarrêtèrent, il y eut un silence, puis il sentit une pression contre son anus. Il ouvrit les yeux, effaré : ladjoint du directeur de personnel, toujours en costume, avait simplement ouvert sa braguette et cherchait à le pénétrer. Il avait enduit sa bite de lubrifiant. Une forte poussée vint à bout du petit cul vierge déjà dilaté par la douleur. Ladjoint le baisa longuement. Le PDG lui maintenait toujours les jambes en arrière. Dans cette position, toute résistance était inutile. Fabrice vit que le directeur du personnel avait sorti sa bite, énorme, qui émergeait, parfaitement droite, du pantalon de son costume. Il se branlait en regardant oeuvrer son adjoint. Fabrice comprit quil allait devoir assouvir les trois hommes. Il ne se trompait pas. Pendant près dune heure, il fut baisé sans relâche. Ce qui le surprit infiniment, fut la sensation ambiguë de douleur et de plaisir quil ressentit malgré lui. Un moment, limage de sa femme flotta dans son imagination, comme un fantôme venu dun autre monde.
Trois jours après, il reçut à la maison sa lettre dengagement, dont les stipulations financières était extrêmement avantageuses. Ce fut comme un baume réparateur sur ses fesses encore sensibles. Il lut le contrat à sa femme, qui lembrassa en lui témoignant sa joie. Il la retint dans ses bras, et ils échangèrent un long baiser. Ils firent lamour au milieu du salon. A chaque fois que sa femme lui caressait les fesses, il était sur le point de jouir. Au milieu de l'orgasme, Fabrice vit flotter dans son imagination trois hommes en costumes, braguette ouverte, bite en érection, qui le baisaient après lavoir sévèrement fouetté.